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janvier 22, 2025
AGRICULTURE ( Comment et quand planter du maïs doux ? )
Le maïs doux (ou maïs sucré) ne va pas pousser autant que le haricot magique, mais il n’en sera pas moins doux, tendre et délicieux – surtout si vous le cuisinez aussitôt après la récolte. Un maximum de soleil et un temps sec sont indispensables pour former de beaux épis aux grains bien rangés.
-Les variétés de maïs doux
Les hybrides F1 produisent les fruits les plus sucrés, et dans ce registre ‘Early Extra Sweet’ met la barre très haute, même si peuvent aussi être cités ‘Marika’, ‘Sweet Perfection’ et ‘Early Bird’.
Les dernières innovations horticoles ont mis au point des variétés encore plus sucrées, comme ‘Butterscotch’ ou ‘Swift’. Mais si vous préférez une texture moins élastique, alors les cultivars tendres comme ‘Lark’ et ‘Extra Tender and Sweet’ vont vous plaire.
L’équipement indispensable pour bien faire pousser le maïs doux
Avant de vous lancer dans la plantation ou le semis de maïs doux, vérifiez que vous avez bien tous les outils :
Des graines de maïs
Du terreau universel
Des godets ou une caissette de semis avec un couvercle
Du fumier ou du compost bien décomposé
Une fourche et une bêche
De l’engrais potager en granulés et liquide
Un arrosoir
Cultiver du maïs
Comment et quand planter le maïs doux ?
Faire pousser le maïs sucré
Sélectionnez un emplacement qui reçoit beaucoup de soleil tout en étant abrité des vents violents. Le maïs doux n’est pas très exigeant quant au sol, à condition qu’il soit bien drainé, tout en retenant au maximum l’humidité.
Avant le semis ou la plantation du maïs doux, améliorer la terre afin qu’elle soit riche en nutriments et en matière organique en ajoutant du fumier bien décomposé, du compost de jardin ou un amendement. Puis ajoutez un engrais en granulés à libération lente.
Semer le maïs doux
Les maïs doux se pollinisent entre eux grâce au vent : les plants doivent donc être rassemblés dans une parcelle carrée ou rectangulaire et non en rangées ou éparpillés dans le jardin.
Si vous attendez jusqu’à fin mai ou début juin, vous pourrez semer directement en pleine terre. Vous obtiendrez de meilleurs résultats si le sol est réchauffé deux semaines avant grâce à des cloches ou une bâche plastique. Laissez les protections en place après semis jusqu’à ce que les pousses les atteignent.
Si vous préférez commencer et récolter plus tôt, semez les graines de maïs doux dans des godets ou une terrine de semis remplis d’un terreau de semis, à 2,5 cm de profondeur, fin avril ou début mai. Faites lever les graines au chaud : cela devrait prendre une bonne semaine. Les plantules resteront en intérieur jusqu’à début juin, jusqu’à ce qu’elles soient prêtes à intégrer le jardin. Tournez régulièrement le pot pour ne pas que les pousses penchent trop vers la lumière.
Semez ou plantez le maïs sucré à 45 cm d’écart dans la plate-bande.
Semis de maïs
Comment entretenir le maïs doux ?
Arrosez le sol généreusement pendant les périodes de sécheresse : c’est indispensable à la fois lorsque la plante s’enracine et lorsque les épis grossissent. En temps ordinaire, un arrosage hebdomadaire suffit.
Un engrais liquide universel peut être ajouté tous les 15 jours lorsque les maïs commencent à fleurir et les épis gonflent.
Si des racines apparaissent au pied, ajoutez du terreau pour augmenter la résistance au vent.
Tapotez la plante lorsque les fleurs mâles en plumeau apparaissent pour aider la pollinisation, car une fécondation limitée entraîne des épis vides.
Récolter le maïs doux
Lorsque les soies (fleurs femelles) de la plante sur le haut de la plante tournent au marron chocolat, testez la maturité des grains. Epluchez quelques feuilles qui couvrent l’épi et pressez un ou deux grains de maïs entre vos ongles. Si le contenu est crémeux, vous pouvez récolter. Si c’est clair, l’épi est trop jeune, il vous faut attendre. Enfin, si rien ne sort et que les grains sont solides, il est trop tard.
Cuisinez aussi vite que possible les maïs doux après cueillette en plongeant les épis dans de l’eau chaude non salée. Evitez de trop récolter, car un séjour au frigo amoindrit leur goût.
Culture du maïs
Les maladies et nuisibles du maïs doux
La rouille se manifeste quant à elle par des petits points orange sur les feuilles, qui flétrissent et meurent. Surveillez vos plants et éliminez rapidement les premières feuilles touchées.
Enfin, des attaques de pucerons peuvent affaiblir la plante. Surveillez régulièrement vos épis et ôtez les insectes mal intentionnés à la main. Si leur nombre est conséquent, pulvérisez un insecticide polyvalent adapté aux cultures potagères.
AGRICULTURE ( Quand semer et planter les petits pois ? )
Relativement simples à cultiver, les petits pois ont l’avantage de figurer parmi les légumes les plus rassasiants de notre régime alimentaire.
Ils sont également riches en vitamines A, C, complexe de vitamines B et K et sont sources de fibres, protéines et antioxydants, tout autant que de calcium, fer, cuivre, zinc et manganèse.
-Les variétés de petits pois à cultiver
Vous trouverez comme d’habitude une gamme variée de petits pois, depuis les précoces jusqu’aux super-sucrés, donc prenez un peu de temps pour choisir ceux qui vous conviennent le mieux.
Les pois lisses et ronds sont plus rustiques que les pois ridés, mais ces derniers sont plus sucrés. Parmi les lisses, essayez ‘Petit Provençal’, très doux et ‘Rois des conserves’. Les amateurs de grains ridés n’auront pas de surprise avec ‘Merveille de Kelvedon’ et ‘Téléphone’.
Essayez aussi les pois mangetout (‘Normand’ est une variété très goûteuse) ou gourmands pour ajouter un peu de diversité à votre potager et à vos repas.
L'équipement incontournable pour semer les petits pois
Voici ce dont vous aurez besoin pour une belle récolte de petits pois :
Des graines de petits pois
Des godets ou pots si vous semez en intérieur
Du terreau potager
Un transplantoir
Un arrosoir
Des tuteurs ou un treillage + des liens
Un engrais spécial potager
Du paillage
Un filet anti-oiseaux
Culture des petits pois
Quand planter le petit pois ?
Quand semer le petit pois ? Si vous semez les petits pois directement en pleine terre, faites-le au printemps (de mars à juin), afin que le sol soit suffisamment réchauffé et les pousses épargnées par un froid ou des gelées tardives. Vos graines vont pourrir si vous plantez dans un sol glacé.
Vos petits pois auront besoin d’un emplacement ensoleillé, avec un sol riche et humifère. Assurez-vous également d’avoir de la place pour les variétés les plus hautes.
Avant le semis, prenez le temps de creuser et bien préparer le sol, en ajoutant suffisamment à l’avance du compost ou du fumier bien décomposé.
Si vous choisissez deux variétés différentes (hâtive ou tardive, de saison) ou si vous plantez dans un intervalle de deux semaines, vous pouvez escompter une culture de petit pois de juin à octobre.
Semez les graines de petit pois dans la terre de jardin mélangée à un terreau potager, à 2-5 cm de profondeur et 6 cm d’écart (ou 10 cm si vous prévoyez un tuteurage avec des cannes de bambou ou un treillage). Recouvrez les graines de terreau et tassez.
Vous pouvez commencer à tuteurer lorsque les petits pois atteignent environ 6 cm de hauteur. Si vous manquez d’espace, il est tout à fait possible de cultiver des petits pois en pot ou en carré potager.
Cultiver les petits pois
En fonction de la variété choisie, les petits pois arriveront à maturité entre 12 et 16 semaines plus tard. Une fois fleuris, assurez-vous que les plants ne souffrent pas de la soif. Pensez aussi à leur apporter un engrais spécial potager une fois par semaine.
Ajouter un paillage au pied des petits pois contribue à diminuer les arrosages, sans pour autant les diminuer : contrôlez régulièrement l’humidité et arrosez au moins une fois par semaine.
N’oubliez pas que les oiseaux apprécient autant que nous les petits pois. Vous devrez donc les protéger avec un filet ou protéger les graines jusqu’à ce que les pousses soient bien en place.
Comment récolter les petits pois
Lorsqu’ils commencent à mûrir, ne tardez pas à cueillir les petits pois : plus ils sont jeunes, plus ils sont tendres et sucrés. Ne vous reposez pas sur vos lauriers cependant : une récolte régulière encourage la mise en production des petits pois tout au long de la saison. Plus vous cueillez, plus ils poussent !
Commencez la cueillette depuis le bas de la plante, là où les cosses sont plus vite mûres, puis remontez. Coupez les cosses avec des ciseaux. Vous pouvez ensuite congeler les petits pois, mais ils sont meilleurs consommés frais.
A la fin de la saison, taillez le feuillage, mais laissez les racines en place : elles aident à fixer l’azote dans le sol et préparent la prochaine récolte.
Récolte des petits pois
Apprenez-en plus sur les petits pois
L’origine des petits pois remonte à très longtemps : on a découvert des graines dans des tombes égyptiennes.
Les cosses de petits pois sont comestibles.
Une assiette de petits pois contient autant de vitamines C que deux grosses pommes et autant de fibres qu’une tranche de pain complet.
Comment protéger ses petits pois des maladies et ravageurs ?
Pucerons
Peu importe leur couleur, pucerons verts ou gris cendré ne sont pas synonymes de bonne nouvelles pour vos petits pois. En suçant la sève des plantes, ils l’affaiblissent et mettent en danger la récolte. Surveillez donc étroitement vos petits pois pour traiter dès l’apparition des pucerons. Utilisez un insecticide anti-puceron spécial légumes utilisable en agriculture biologique.
Bruche du pois
Plus ravageur encore, la bruche du pois est un insecte qui pond ses œufs dans les pois. Après leur éclosion, les larves voraces sont reconnues pour ne laisser que peu de chances aux grains qui se dressent sur leur passage. Là encore, un contrôle attentif est de mise, ainsi qu’une élimination des plantes atteintes.
Outre leurs bienfaits diététiques avérés, les petits pois sont aussi très faciles à cultiver et ne demandent que peu de soins, ce qui en fait de bons candidats au potager. Nous serions ravis de savoir comment vous vous débrouillez avec la culture de petits pois, si vous avez des astuces pour les cuire ou les cuisiner, ou même pour les servir à table. Partagez vos expériences avec nous sur les réseaux sociaux, ou laissez-nous un commentaire sous l’article.
L'HOMME ET LA VIE ( Psychologie Psychiatrie Conseils )
Psychologie et psychiatrie : thérapies et conseils pour mieux comprendre les autres et soi-même
Dans un monde de plus en plus connecté mais souvent émotionnellement déconnecté, la psychologie et la psychiatrie jouent un rôle essentiel pour aider chacun à mieux comprendre les autres et soi-même. Ces disciplines, bien qu’interconnectées, offrent des approches différentes mais complémentaires pour traiter les troubles mentaux et émotionnels. Plongeons dans l'univers des thérapies et des conseils pratiques pour améliorer la santé mentale.
Différence entre psychologie et psychiatrie
Avant d’explorer les thérapies et conseils, il est important de comprendre la différence entre psychologie et psychiatrie. La psychologie est l’étude du comportement humain et des processus mentaux. Les psychologues sont des professionnels formés pour évaluer et traiter les problèmes émotionnels et comportementaux à travers des thérapies par la parole, comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC).
La psychiatrie, en revanche, est une branche de la médecine qui se concentre sur le diagnostic, le traitement et la prévention des troubles mentaux graves. Les psychiatres, étant des médecins, peuvent prescrire des médicaments pour traiter des conditions telles que la dépression majeure, la schizophrénie ou les troubles bipolaires.
Les thérapies pour mieux comprendre et traiter les troubles mentaux
1. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC)
La TCC est l'une des approches les plus populaires en psychologie. Elle aide les patients à identifier et à modifier les schémas de pensée négatifs qui influencent leur comportement. Par exemple, une personne souffrant d’anxiété sociale peut apprendre à déconstruire les croyances irrationnelles liées à la peur du jugement.
2. La psychothérapie psychanalytique
Inspirée des travaux de Sigmund Freud, cette approche se concentre sur l’exploration des expériences passées et de l’inconscient pour comprendre les comportements actuels. Elle est particulièrement utile pour traiter des problèmes émotionnels profonds, comme les traumatismes ou les relations conflictuelles.
3. La médiation pleine conscience (mindfulness)
Cette approche, issue des traditions bouddhistes et popularisée en Occident, consiste à pratiquer une attention consciente et sans jugement à l’instant présent. Elle est souvent utilisée pour gérer le stress, l’anxiété et la dépression.
4. Les traitements médicamenteux
Dans les cas de troubles mentaux graves, les médicaments jouent un rôle crucial. Les antidépresseurs, les anxiolytiques et les antipsychotiques sont souvent prescrits par des psychiatres pour réguler les émotions et stabiliser l’humeur.
Conseils pour mieux comprendre les autres et soi-même
1. Écouter activement
L’écoute active est une compétence clé pour améliorer les relations interpersonnelles. Elle implique de prêter attention aux paroles de l’autre sans interrompre, tout en étant attentif aux signaux non verbaux comme les expressions faciales et le ton de la voix.
2. Pratiquer l’empathie
Se mettre à la place de l’autre permet de mieux comprendre ses émotions et ses besoins. Cela ne signifie pas toujours approuver ses actions, mais plutôt répondre avec compassion et bienveillance.
3. Se connaître soi-même
Pour comprendre les autres, il est essentiel de commencer par soi-même. Tenez un journal intime pour explorer vos pensées et émotions. Identifiez vos forces, vos faiblesses et vos déclencheurs émotionnels.
4. Adopter une hygiène mentale
Tout comme une bonne hygiène physique, l’hygiène mentale est essentielle. Cela inclut des pratiques comme éviter les sources de stress inutiles, maintenir des relations saines et consacrer du temps aux loisirs.
5. Chercher de l’aide professionnelle
N’hésitez pas à consulter un psychologue ou un psychiatre si vous vous sentez submergé par vos émotions. Demander de l’aide est un signe de force, pas de faiblesse.
Pourquoi investir dans la santé mentale est crucial
La santé mentale est indissociable de la santé physique. Les problèmes non traités peuvent avoir des conséquences graves, non seulement pour l’individu, mais aussi pour ses relations et sa qualité de vie. En comprenant mieux les thérapies disponibles et en appliquant des conseils pratiques, chacun peut progresser vers un équilibre émotionnel et relationnel.
En conclusion, que vous vous tourniez vers la psychologie ou la psychiatrie, l’objectif ultime est le même : mieux comprendre les autres et soi-même pour vivre une vie plus harmonieuse. Prenez soin de votre esprit, car il est le pilier de votre bien-être.
ENVIRONNEMENT ( Planter Arbres Contreproductif )
Pourquoi planter des arbres à grande échelle pourrait être contre-productif pour l'environnement
Planter des arbres est souvent considéré comme une solution miracle pour lutter contre le changement climatique et restaurer les écosystèmes. Cependant, des initiatives mal planifiées ou mal exécutées peuvent avoir des effets négatifs sur l’environnement. Comprendre les risques liés à la reforestation à grande échelle est essentiel pour garantir que ces efforts profitent vraiment à la planète. Voici pourquoi cette approche peut parfois être contre-productive.
1. La monoculture : un danger pour la biodiversité
Beaucoup de programmes de reforestation favorisent la plantation d’une seule espèce d’arbre, connue sous le nom de monoculture. Bien que cette approche puisse sembler efficace, elle présente des risques majeurs pour la biodiversité. Les forêts naturelles sont composées de multiples espèces qui interagissent pour créer des écosystèmes résilients. En revanche, les monocultures sont vulnérables aux maladies, aux parasites et aux conditions climatiques extrêmes, ce qui peut entraîner la destruction complète de la plantation.
De plus, les monocultures offrent peu d’habitats pour la faune locale, mettant en péril les espèces animales et perturbant les chaînes alimentaires.
2. Les conséquences sur les ressources en eau
Certaines espèces d’arbres, comme les eucalyptus ou les pins, sont souvent choisies pour leur croissance rapide. Cependant, ces arbres ont une forte consommation d’eau et peuvent assécher les sols, réduisant ainsi la disponibilité de l’eau pour les communautés locales et les autres écosystèmes. Dans les régions arides ou semi-arides, la plantation de telles espèces peut aggraver les problèmes d’approvisionnement en eau, entraînant des conflits et nuisant aux cultures agricoles.
3. L'impact sur les sols
Planter des arbres dans des zones où ils ne poussent pas naturellement peut avoir des effets négatifs sur les sols. Certaines espèces peuvent modifier le pH du sol ou libérer des composés chimiques qui inhibent la croissance d’autres plantes. Par ailleurs, les plantations mal gérées peuvent provoquer l’érosion des sols, particulièrement lorsque des terres agricoles ou des prairies sont converties en forêts artificielles.
4. Les risques pour les écosystèmes naturels
Dans certains cas, les programmes de reforestation à grande échelle remplacent des écosystèmes naturels précieux comme les prairies, les savanes ou les zones humides. Ces écosystèmes jouent un rôle essentiel dans le maintien de la biodiversité et la régulation climatique. Les transformer en forêts peut provoquer la disparition d'espèces uniques et dérégler les cycles naturels de ces régions.
5. L’échec des projets mal planifiés
Beaucoup de projets de plantation d’arbres se concentrent sur des objectifs à court terme, comme le nombre d’arbres plantés, sans considérer les besoins à long terme. Si les jeunes arbres ne sont pas entretenus, une grande partie d'entre eux meurent, rendant les efforts inutiles. Par exemple, des millions d’arbres plantés lors de campagnes mondiales ont péri en quelques années faute de suivi.
6. Les émissions de carbone cachées
Planter des arbres à grande échelle peut paradoxalement contribuer aux émissions de carbone. Lorsqu’on convertit des terres naturelles en plantations, des quantités importantes de carbone peuvent être libérées dans l’atmosphère en raison de la perturbation des sols et de la dégradation de la végétation préexistante. Cela peut annuler les bénéfices prévus en termes de captation de CO2.
7. Les problèmes sociaux et économiques
Dans certains cas, les projets de reforestation à grande échelle expulsent les communautés locales de leurs terres ou limitent leur accès aux ressources naturelles. Ces populations, souvent dépendantes des terres pour leur subsistance, se retrouvent marginalisées, ce qui peut exacerber les inégalités sociales et générer des tensions.
Comment réussir une reforestation durable ?
Pour que la plantation d'arbres soit bénéfique, plusieurs principes doivent être respectés :
Privilégier les espèces locales : Planter des arbres endémiques permet de préserver la biodiversité et de s’adapter aux conditions locales.
Considérer les besoins écologiques : Les projets doivent éviter de perturber les écosystèmes existants.
Planification à long terme : Un suivi rigoureux est nécessaire pour garantir la survie des arbres plantés.
Impliquer les communautés locales : Associer les populations à la planification et à l’entretien des forêts assure une gestion plus durable.
Conclusion
Planter des arbres est une initiative louable, mais elle n’est pas sans risques. Mal planifiée, la reforestation peut aggraver les problèmes environnementaux qu’elle cherche à résoudre. Une approche équilibrée et informée, basée sur les besoins écologiques et les connaissances locales, est essentielle pour que ces efforts bénéficient réellement à la planète.
ENVIRONNEMENT ( Extinction Arbres Cause Humanité )
Pourquoi l'extinction des arbres sera-t-elle une catastrophe pour l'humanité ? La réponse en 7 chiffres clés
Les arbres sont souvent considérés comme les poumons de la Terre, mais leur rôle va bien au-delà de la simple production d'oxygène. Leur extinction, un scénario malheureusement envisageable à cause de la déforestation massive et du changement climatique, aurait des conséquences catastrophiques pour l’humanité. Voici sept chiffres clés pour comprendre pourquoi leur disparition serait une véritable tragédie planétaire.
1. 300 milliards de tonnes de carbone stockées
Les arbres jouent un rôle crucial dans la régulation du climat mondial en absorbant le dioxyde de carbone (CO2) de l’atmosphère. Les forêts stockent environ 300 milliards de tonnes de carbone, soit près de 40 fois les émissions annuelles de CO2 causées par les activités humaines. Sans eux, la quantité de carbone dans l’atmosphère augmenterait de manière exponentielle, amplifiant le réchauffement climatique.
2. 20% de l’oxygène mondial
Les forêts tropicales, comme l’Amazonie, produisent environ 20 % de l’oxygène que nous respirons. Bien que les océans soient la principale source d’oxygène, la perte de ces forêts aurait un impact considérable sur la qualité de l’air et la santé des écosystèmes terrestres.
3. 80% de la biodiversité terrestre
Les forêts abritent près de 80 % des espèces terrestres, allant des mammifères aux insectes en passant par les plantes. Leur disparition entraînerait une extinction massive d’espèces, perturbant les chaînes alimentaires et les écosystèmes dont dépendent des milliards de personnes pour leur alimentation et leurs moyens de subsistance.
4. 2,6 milliards de personnes dépendent directement des forêts
Selon la FAO, près de 2,6 milliards de personnes utilisent les produits forestiers pour leur alimentation, leur combustible, leur abri et leurs médicaments. La disparition des arbres mettrait en péril leur survie et aggraverait les inégalités sociales et économiques.
5. 57% des ressources en eau douce dépendent des forêts
Les forêts jouent un rôle fondamental dans le cycle de l’eau en régulant les précipitations et en prévenant l’érosion des sols. Elles fournissent 57 % des ressources en eau douce que nous utilisons pour boire, cultiver et produire de l’énergie. Leur disparition provoquerait des pénuries d’eau à grande échelle.
6. 1,5 milliard de tonnes de nourriture
Les arbres sont essentiels à la production agricole, que ce soit par le biais de l’agroforesterie ou en tant qu’habitat pour les pollinisateurs comme les abeilles. Ils contribuent à la production de 1,5 milliard de tonnes de nourriture chaque année, incluant des fruits, des noix et d’autres produits forestiers comestibles.
7. 4,5 milliards de tonnes de sol préservé chaque année
Les arbres préviennent l’érosion en retenant le sol grâce à leurs racines. Chaque année, ils protègent environ 4,5 milliards de tonnes de sol fertile de l’érosion causée par le vent et la pluie. Sans eux, les terres agricoles se dégraderaient rapidement, menaçant la sécurité alimentaire mondiale.
Quelles solutions pour éviter cette catastrophe ?
Pour prévenir l’extinction des arbres, il est crucial d’agir à plusieurs niveaux :
Reforestation : Planter des milliards d’arbres dans les régions dégradées.
Lutte contre la déforestation : Mettre en place des lois strictes pour protéger les forêts existantes.
Consommation responsable : Privilégier des produits issus de forêts gérées de manière durable.
Éducation et sensibilisation : Informer les populations sur l’importance des arbres pour la planète.
Conclusion
L’extinction des arbres ne serait pas seulement une perte écologique, mais une catastrophe mondiale touchant tous les aspects de la vie humaine : le climat, l’eau, la nourriture, la biodiversité et bien plus encore. Ces sept chiffres clés illustrent l’ampleur de la dépendance de l’humanité envers les forêts. Il est donc urgent d’agir collectivement pour préserver ces êtres vivants qui sont, littéralement, la source de notre souffle.
ENVIRONNEMENT ( Haute Altitude Sherpas )
Haute altitude : le mécanisme physiologique exceptionnel des Sherpas pour s’adapter au manque d’oxygène
Les Sherpas, une ethnie vivant principalement dans les régions montagneuses de l'Himalaya, sont reconnus pour leur capacité à travailler et à survivre dans des conditions de haute altitude que beaucoup trouvent extrêmement difficiles, voire mortelles. Leur adaptation physiologique unique a fasciné les chercheurs et les passionnés de montagne depuis des décennies. Comment ces hommes et ces femmes parviennent-ils à prospérer dans des environnements où la concentration d'oxygène est dramatiquement réduite ? Cet article explore le mécanisme exceptionnel qui permet aux Sherpas de dominer les sommets.
Une vie en altitude, une adaptation héréditaire
Les Sherpas habitent des altitudes supérieures à 4 000 mètres depuis des siècles, ce qui a permis à leur population de développer des adaptations génétiques uniques. Contrairement à d'autres groupes qui vivent à de telles altitudes, les Sherpas présentent des caractéristiques physiologiques distinctes qui les aident à mieux tolérer l'hypoxie (faible teneur en oxygène). Ces adaptations incluent une régulation optimisée de l'hémoglobine, une circulation sanguine efficace et une utilisation accrue de l'oxygène au niveau cellulaire.
Une étude menée par des généticiens a révélé que les Sherpas possèdent une mutation dans le gène EPAS1, surnommé « gène de la vie en altitude ». Cette mutation réduit la production excessive de globules rouges en réponse à l'altitude élevée, évitant ainsi des problèmes comme l'épaississement du sang, qui peut être fatal.
Une consommation d’oxygène extrêmement efficace
Les Sherpas ont également une capacité exceptionnelle à maximiser l’utilisation de l’oxygène disponible. Leur taux de consommation maximale d’oxygène (VO2 max) est supérieur à celui des individus venant des plaines, même chez les athlètes. En termes simples, leur corps est capable d'extraire davantage d'oxygène de l'air à chaque respiration, ce qui leur permet de produire de l'énergie même lorsque l'air est rare.
Un autre facteur déterminant est leur réseau capillaire dense. Les Sherpas présentent une meilleure perfusion sanguine dans leurs muscles, ce qui facilite l’apport d’oxygène aux cellules musculaires. De plus, leurs mitochondries – les « centrales énergétiques » des cellules – sont mieux adaptées à utiliser l’oxygène avec une efficacité optimale.
Une réaction adaptative à l’environnement
Vivre à haute altitude expose les habitants à des conditions extrêmes : faible pression atmosphérique, températures glaciales et rayonnements ultraviolets intenses. Les Sherpas se sont non seulement adaptés physiologiquement, mais également culturellement. Leur alimentation riche en glucides joue un rôle crucial. En consommant des aliments comme le tsampa (farine d'orge grillée) et le thé au beurre, ils fournissent à leur corps une source d'énergie rapidement accessible, essentielle dans des environnements hostiles.
De plus, leur mode de vie actif et leur familiarité avec le terrain montagneux leur confèrent une endurance physique impressionnante. Cette combinaison d’adaptations génétiques et comportementales leur permet de transporter des charges lourdes à travers des sentiers escarpés et à des altitudes que la plupart des gens trouvent inhospitalières.
Un modèle pour la science
Les Sherpas ne sont pas seulement une source d’inspiration pour les alpinistes, mais également pour la recherche scientifique. Les études sur leur physiologie ont des implications à grande échelle. Par exemple, comprendre comment leur corps gère l’hypoxie pourrait aider à développer des traitements pour les patients souffrant de maladies respiratoires ou cardiaques.
Des recherches sur leurs adaptations mitochondriales ont également révélé des pistes pour améliorer les performances humaines en milieu extrême. Ces avancées pourraient être appliquées non seulement à l’exploration en haute altitude, mais également à l’exploration spatiale, où l’oxygène est tout aussi limité.
Un exemple de résilience et d’équilibre avec la nature
Les Sherpas incarnent une harmonie remarquable avec leur environnement. Alors que de nombreux visiteurs en haute montagne doivent s'appuyer sur des technologies avancées pour survivre, les Sherpas démontrent que la nature peut également offrir des solutions adaptatives, à condition de lui laisser le temps.
En conclusion, les Sherpas ne sont pas seulement des guides incontournables dans l'Himalaya. Ils représentent un phénomène biologique et culturel unique, capable de défier les limites humaines dans des environnements extrêmes. Leur capacité à s’adapter à des altitudes élevées continue d’éclairer la recherche scientifique et d’inspirer ceux qui explorent les sommets les plus hauts de notre planète.
L'HOMME ET LA VIE ( Boisson Antioxydante Cerveau )
3 tasses de cette boisson antioxydante ralentiraient le vieillissement du cerveau
Le vieillissement du cerveau est une préoccupation croissante dans une société où l'espérance de vie ne cesse d'augmenter. Les chercheurs s’intéressent de plus en plus aux habitudes alimentaires qui pourraient favoriser la santé cérébrale et ralentir le déclin cognitif. Parmi ces découvertes, une boisson en particulier semble attirer l'attention : le thé vert. Selon de nombreuses études, consommer trois tasses de thé vert par jour pourrait avoir des effets bénéfiques significatifs sur le cerveau, grâce à ses propriétés antioxydantes exceptionnelles.
Les bienfaits du thé vert pour le cerveau
Le thé vert est une source riche en composés antioxydants, notamment les catéchines et les flavonoïdes. Ces molécules ont la capacité de neutraliser les radicaux libres, responsables du stress oxydatif, un processus qui contribue au vieillissement des cellules, y compris celles du cerveau. En réduisant le stress oxydatif, le thé vert aide à protéger les neurones contre les dommages et favorise leur longévité.
Une étude menée par des chercheurs japonais a révélé que les personnes qui consomment régulièrement du thé vert ont un risque réduit de troubles cognitifs liés à l'âge. Ces bienfaits sont attribués à l’épigallocatéchine gallate (EGCG), un puissant antioxydant présent en grande quantité dans le thé vert. L’EGCG est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique et d’agir directement sur le cerveau, réduisant ainsi les inflammations et améliorant les connexions neuronales.
La prévention des maladies neurodégénératives
Le thé vert pourrait également jouer un rôle important dans la prévention de maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer et celle de Parkinson. Des recherches ont montré que la consommation régulière de thé vert est associée à une meilleure mémoire et à une réduction des plaques de protéines bêta-amyloïdes, un marqueur clé de la maladie d'Alzheimer.
En outre, le thé vert contient de la L-théanine, un acide aminé unique qui favorise la relaxation sans provoquer de somnolence. En réduisant le stress et en améliorant la concentration, la L-théanine contribue à maintenir un cerveau actif et en bonne santé.
Combien de thé vert consommer pour des effets optimaux ?
Les experts recommandent de consommer environ trois tasses de thé vert par jour pour bénéficier de ses bienfaits cognitifs. Chaque tasse contient une quantité modérée de caféine, ce qui stimule l'éveil sans causer d'agitation. Toutefois, il est important de noter que la qualité du thé vert joue un rôle crucial. Optez pour des variétés biologiques et évitez les thés contenant des additifs ou des arômes artificiels.
Comment intégrer le thé vert dans votre routine quotidienne ?
Adopter une habitude de consommation de thé vert est simple et agréable. Voici quelques conseils pratiques :
Commencez votre journée avec une tasse de thé vert : Remplacez votre café habituel par du thé vert pour un boost d'énergie naturel.
Accompagnez vos pauses : Prenez une tasse de thé vert lors de vos pauses au travail pour améliorer votre concentration.
Incorporez-le dans vos recettes : Utilisez du thé vert pour préparer des smoothies, des desserts ou même des plats salés.
Les limites et précautions
Bien que le thé vert offre de nombreux avantages, il est important de ne pas en abuser. Une consommation excessive peut entraîner des effets secondaires tels que des troubles digestifs ou des insomnies. De plus, certaines personnes souffrant de carences en fer devraient éviter de consommer du thé vert pendant les repas, car il peut inhiber l'absorption du fer.
Une habitude saine pour un cerveau en pleine forme
En résumé, intégrer trois tasses de thé vert dans votre routine quotidienne pourrait être un moyen simple et efficace de ralentir le vieillissement du cerveau et de maintenir vos capacités cognitives à mesure que vous avancez en âge. Cette boisson millénaire, riche en antioxydants et en composés bénéfiques, s’impose comme un allié précieux pour préserver la santé cérébrale. Alors, pourquoi ne pas adopter cette habitude dès aujourd'hui ? Votre cerveau vous en remerciera.
L'HOMME ET LA VIE ( Ce légume aide le foie à s'autoréparer )
Il est meilleur que le radis noir ou le fenouil.
-Les repas gras ou copieux engorgent le foie. Et un foie engorgé est un foie paresseux et endommagé qui n'est plus capable d'assurer ses fonctions de filtration du sang, de métabolisation des graisses ou de destruction des toxines. Heureusement, le foie est un organe qui peut se régénérer, à condition de lui apporter des aliments faciles à digérer et détoxifiants. L'un des légumes disponibles en ce moment sur les étals des marchés est dit "hépatoprotecteur", c'est-à-dire qu'il facilite le renouvellement des cellules hépatiques et "répare" les lésions. En le consommant régulièrement, le foie se purifie et redevient comme neuf.
C'est notamment grâce à ses deux composés : la bétaïne qui aide le foie à traiter les graisses, empêchant ainsi l'accumulation de dépôts graisseux et la bétalaïne, un pigment aux puissantes propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. Une étude publiée dans la revue Frontiers in Nutrition confirme l'effet hautement anti-inflammatoire de ce légume capable de "réduire le stress oxydatif et les lésions cellulaires et d'inhiber ainsi le risque de maladies inflammatoires". De plus, sa richesse en calcium, en fer, en magnésium, en phosphore, en potassium et en vitamines en font un superaliment au profil nutritionnel complet.
Si sa couleur rouge est séduisante, son goût terreux ne fait pas l'unanimité. Pourtant, ce légume qui n'est autre que la betterave est une mine de nutriments indispensable à la bonne santé du foie et reste bien meilleure - il faut l'avouer - que le radis noir, surnommée "la plante du foie".
-Trouvable toute l'année, la meilleure saison pour la déguster et profiter pleinement de ses bienfaits est l'automne. Elle peut se consommer 2 à 3 fois dans la semaine, par exemple crue ou cuite en salade, mais aussi dans un jus avec des carottes, du pamplemousse, de l'orange ou du citron (globalement, tous les aliments riches en vitamine C améliorent la santé du foie) et pourquoi pas un peu de gingembre, un excellent sécréteur de bile. A boire de préférence à jeun le matin pour profiter de ses bienfaits dépuratifs.
-Ce légume aide le foie à s'autoréparer (idéal dans un jus)
Le foie est un organe essentiel à la santé globale de notre corps. Il joue un rôle clé dans la détoxification, la digestion et la synthèse de nutriments vitaux. Pourtant, avec nos modes de vie modernes souvent marqués par une alimentation riche en graisses, la consommation d'alcool, et l'exposition à des toxines, il peut être mis à rude épreuve. Heureusement, certains aliments possèdent des propriétés naturelles pour aider à régénérer cet organe vital. Parmi eux, un légume se distingue tout particulièrement : la betterave.
Pourquoi la betterave est-elle bénéfique pour le foie ?
La betterave est un légume racine riche en nutriments et en composés bioactifs qui favorisent la santé du foie. Elle contient des bétalaines, des pigments naturels ayant de puissantes propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. Ces substances aident à réduire le stress oxydatif dans les cellules hépatiques, prévenant ainsi les dommages causés par les radicaux libres.
En outre, la betterave est riche en nitrates naturels, qui favorisent une meilleure circulation sanguine et permettent au foie de recevoir les nutriments nécessaires à son fonctionnement optimal. Elle contient également de la bétaïne, un composé qui stimule la production de bile, essentielle pour la digestion des graisses et l'élimination des toxines.
La betterave et la détoxification hépatique
Le foie est responsable de la détoxification de l'organisme, notamment en filtrant les toxines présentes dans le sang. La betterave agit comme un soutien naturel à ce processus en stimulant l'activité des enzymes de détoxification hépatique. Elle contribue à éliminer les métaux lourds, les pesticides et autres substances nocives accumulées dans le corps.
De plus, les fibres présentes dans la betterave aident à réguler le transit intestinal, un élément essentiel pour l'élimination des déchets et le maintien d'une bonne santé digestive. En favorisant un intestin sain, la betterave contribue à réduire la charge de travail du foie.
Intégrer la betterave à votre alimentation : les bienfaits des jus
L'une des manières les plus efficaces de consommer de la betterave est sous forme de jus. En effet, les jus permettent de maximiser l'apport en nutriments et facilitent leur absorption par l'organisme. Voici quelques raisons pour lesquelles un jus de betterave peut devenir votre allié pour un foie en bonne santé :
Rapport nutritif concentré : Un jus de betterave contient une forte concentration de vitamines, minéraux et antioxydants qui soutiennent la fonction hépatique.
Facilité de consommation : Boire un jus est idéal pour ceux qui ont du mal à consommer des portions suffisantes de légumes au quotidien.
Polyvalence : La betterave peut être combinée à d'autres fruits et légumes, comme la carotte, le citron ou le gingembre, pour créer des mélanges savoureux et encore plus nutritifs.
Recette de jus de betterave pour un foie en santé
Voici une recette simple pour préparer un jus délicieux et bénéfique :
Ingrédients :
1 betterave moyenne
2 carottes
1 pomme verte
½ citron (jus)
Un petit morceau de gingembre frais (optionnel)
200 ml d'eau ou de lait dériz (facultatif)
Instructions :
Lavez soigneusement tous les ingrédients.
Épluchez la betterave, les carottes et le gingembre si nécessaire.
Coupez les ingrédients en morceaux et placez-les dans un extracteur de jus ou un mixeur.
Mixez jusqu'à obtenir une texture lisse. Si vous utilisez un mixeur, filtrez le mélange à l'aide d'une passoire fine.
Ajoutez de l'eau ou du lait de riz selon vos préférences.
Dégustez votre jus immédiatement pour profiter de ses bienfaits.
Précautions et conseils
Bien que la betterave soit excellente pour la santé, il est important de la consommer avec modération. Une consommation excessive peut provoquer des troubles digestifs ou une urine rouge, un effet inoffensif mais qui peut surprendre.
Si vous souffrez d'une maladie hépatique ou si vous suivez un traitement médical, consultez un professionnel de santé avant d'introduire de grandes quantités de betterave dans votre alimentation.
Conclusion
La betterave est un allié puissant pour le foie, grâce à ses propriétés détoxifiantes et régénératrices. En intégrant ce légume à votre routine sous forme de jus, vous offrez à votre corps un véritable élan de vitalité. Prenez soin de votre foie en adoptant une alimentation équilibrée, riche en nutriments et pauvre en toxines. Votre santé globale n'en sera que meilleure !
MONDE D'ANIMAL ( Maki catta Lemur catta )
Le maki catta (Lemur catta), aussi appelé lémur catta ou lémur à queue annelée, est un lémurien arboricole que l’on trouve exclusivement dans les forêts tropicales de Madagascar. Végétarien, il se nourrit de divers végétaux.
Malheureusement, ce petit primate très apprécié est en grand danger de disparition.
Sommaire
Taxonomie du maki catta
Caractéristiques physiques du maki catta
Performances physiques du maki catta
Écologie et répartition du maki catta
Régime alimentaire du maki catta
Mode de vie du maki catta
Reproduction du maki catta
Menaces et conservation du maki catta
Photos du maki catta
-Taxonomie du maki catta
Classification
Règne : Animal
Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré
Classe : Mammifère placentaire
Ordre : Primates
Famille : Lemuridé
Genre : Lemur
Espèce : catta
Nom scientifique : Lemur catta
Sous-espèces / taxons
Actuellement, on ne distingue aucune sous-espèce de maki catta.
Caractéristiques physiques du maki catta
Taille
Hauteur: 39 à 46 cm environ.
Queue: 56 à 63 cm
Poids
2,2 kg en moyenne.
Morphologie et apparence
Le maki catta est un lémurien de taille moyenne qui possède un corps et des membres fins et agiles, une très longue queue préhensile et un museau conique allongé.
Ses grands yeux sont jaune orangé, ses petites oreilles triangulaires et touffues au bout, et sa petite langue rose.
Son pelage est composé d’épais poils gris au dessus, blancs en dessous et sur sa face. Sa queue est annelée de noir et blanc. Les parties nues de son corps (museau, tour des yeux, mains, …) sont noires.
Performances physiques du maki catta
Longueur du saut
Le maki catta peut faire des sauts de plus de 10 mètres de long.
Écologie et répartition du maki catta
Aire de répartition
Le maki catta est endémique de l’île de Madagascar, en Afrique.
Liste des pays
Habitat
Le maki catta vit exclusivement dans les forêts tropicales sèches et humides, ainsi que dans les fourrés arides de l’île.
Régime alimentaire du maki catta
Type de régime
Végétarien, en particulier frugivore.
Nourriture et proies
Le maki catta se nourrit essentiellement de fruits (gousses de tamarinier), de feuilles, mais aussi d’herbe, d’écorce, de fleurs et de sève.
Il complète son alimentation de petits invertébrés (insectes comme les criquets, sauterelles, vers et araignées).
Mode de vie du maki catta
Vie sociale
Le maki catta est un animal sociable et grégaire, qui vit en groupes de 3 à 20 individus dirigés par une femelle dominante.
Ces troupes sont composées de femelles et de leurs petits, de mâles immatures et de 1 à 3 mâles adultes. Les autres mâles vagabondent quant à eux à la recherche d’un groupe qui les accepte.
En effet, ce sont les femelles qui dominent dans ces groupes, et deviennent territoriales à la saison des amours.
Pour communiquer, les lémuriens utilisent multiples vocalises ainsi que des marquages olfactifs divers.
Comportement
Animal diurne et arboricole, le maki catta se réchauffe le matin au soleil dans une position assise étonnante et passe sa journée à se nourrir et interagir.
Pour se déplacer dans la canopée, ces lémurs effectuent de grands bonds. Animaux très intelligents, ils peuvent utiliser des outils pour se nourrir, distinguer des formes ou mémoriser des actions.
La nuit, ils se répartissent en petits groupes et se serrent les uns contre les autres pour garder la chaleur.
Cri et vocalises
Pour communiquer, les makis cattas utilisent de très nombreuses vocalises: ronronnement (satisfaction et cohésion), séries de clics (repousser un prédateur), cris aigus (appel de détresse), …
Prédateurs
Les prédateurs naturels du maki catta sont le fossa, le gymnogène de Madagascar, la buse de Madagascar et le boa de Madagascar.
Côté prédateurs introduits, le chat le chien et la civette indienne représentent aussi une menace.
Longévité
L’espérance de vie du maki catta est d’environ 20 ans (record: 27 ans).
Reproduction du maki catta
Type de reproduction
Vivipare
Habitudes reproductives
Polygame
Sevrage
Le petit maki catta est sevré vers ses 5 mois. Avant cela, le petit est porté par sa mère 1-2 semaines sur la poitrine et sur le dos par la suite.
Maturité sexuelle
Le maki catta est sexuellement mature entre 2,5 et 3 ans.
Période de reproduction
La saison des amours du maki catta a lieu de mi-avril à mi-mai.
Nombre de petits par portée
La femelle maki catta met bas à 1 ou 2 petits par portée.
Gestation
120 à 136 jours environ.
Poids des petits
A la naissance, les petits lémurs cattas pèsent environ 70 g.
Menaces et conservation du maki catta
Danger d'extinction (Statut UICN)
Le maki catta est un animal en danger (EN) d’extinction selon l’UICN.
Population
Selon les dernières études (2017), on ne dénombrerait aujourd’hui plus que 2000 makis cattas à l’état sauvage.
La population mondiale de makis cattas est actuellement en baisse.
Menaces
Les menaces pesant sur le maki catta sont :
Perte et dégradation de son habitat : agriculture, déforestation, …
Réchauffement climatique : sécheresses, incendies, …
Menaces directes : chasse et braconnage pour sa viande.
MONDE D'ANIMAL ( Lycaon Lycaon pictus )
Le lycaon (Lycaon pictus), aussi appelé chien sauvage africain, est un grand canidé que l’on trouve dans certaines savanes et forêts sèches africaines. Carnivore, il se nourrit de toutes les proies qu’il peut chasser.
Malheureusement, cet animal incroyablement sociable est en voie de disparition.
Sommaire
Taxonomie du lycaon
Caractéristiques physiques du lycaon
Performances physiques du lycaon
Écologie et répartition du lycaon
Régime alimentaire du lycaon
Mode de vie du lycaon
Reproduction du lycaon
Menaces et conservation du lycaon
Photos du lycaon
-Taxonomie du lycaon
Classification
Règne : Animal
Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré
Classe : Mammifère placentaire
Ordre : Carnivore caniforme
Famille : Canidé
Genre : Lycaon
Espèce : pictus
Nom scientifique : Lycaon pictus
Sous-espèces / taxons
Selon les études de l’ITIS et le MSW, on distingue 5 sous-espèces de lycaon :
Lycaon pictus lupinus
Lycaon pictus manguensis
Lycaon pictus pictus
Lycaon pictus saharicus (Lycaon saharien)
Lycaon pictus somalicus
Caractéristiques physiques du lycaon
Taille
Longueur : entre 60 cm et 1 m
Garrot : entre 70 cm et 80 cm
Queue : 30 à 40 cm
Poids
Entre 20 et 30 kg.
Morphologie et apparence
Le lycaon possède une morphologie assez proche de celle du chien : un corps fin et élancé, de longues pattes, une queue touffue, un museau assez fin et de grandes oreilles ovales. Ces dernières sont protégées des insectes et autres parasites par des poils denses qui bloquent tout ce qui pourrait y entrer.
Le pelage du lycaon est un pelage à poils ras, aux teintes diverses et aux motifs variés. Chaque lycaon possède une robe unique, qui est irrégulièrement recouverte de jaune, de brun (foncé à très clair), de beige, de noir ainsi que de roux et de blanc. Cette coloration lui est très utile : elle lui permet de facilement se dissimuler dans son habitat naturel.
Performances physiques du lycaon
Vitesse
Le lycaon peut faire des pointes de 55 km/h.
Écologie et répartition du lycaon
Aire de répartition
Le lycaon vit dans plusieurs pays en Afrique (subsaharienne).
Liste des pays
Présent
Afrique du Sud ; Angola ; Bénin ; Botswana ; Burkina Faso ; Éthiopie ; Kenya ; Malawi ; Mozambique ; Namibie ; Niger ; République Centrafricaine ; Sénégal ; Soudan du Sud ; Tchad ; Tanzanie ; Zambie ; Zimbabwe
Potentiellement présent
Algérie ; Guinée
Potentiellement éteint
République Démocratique du Congo ; Côte d’Ivoire ; Guinée-Bissau ; Mali ; Nigeria ; Togo ; Ouganda
Éteint
Burundi ; Cameroun ; Égypte ; Érythrée ; Eswatini ; Gabon ; Gambie ; Ghana ; Mauritanie ; Rwanda ; Sierra Leone
Habitat
Le lycaon vit essentiellement dans les savanes arbustives tropicales ou les forêts tropicales sèches.
Régime alimentaire du lycaon
Type de régime
Exclusivement carnivore.
Nourriture et proies
Le lycaon est un grand chasseur qui se nourrit de divers animaux de la savane. Chassant en groupe, il s’attaque souvent à de grosses proies, pouvant parfois peser jusqu’à 300 kg (près de 15 fois leur poids !)
Il mange principalement des zèbres, des impalas, des gazelles de Thomson et des antilopes, mais attaque également les gnous, les phacochères, les élands, les oryx, ou même des proies plus petites comme des lapins et d’autres petits rongeurs.
Mode de vie du lycaon
Vie sociale
Le mode de vie et le comportement des lycaons est facilement comparable à celui des loups et des dholes.
Extrêmement sociable, le lycaon vit en meute, qui compte en général entre 5 et 20 individus (il n’est pour autant pas rare de voir des groupes de près de 50 canidés). Chaque meute est dirigée par un couple dominant: le mâle et la femelle dominants sont les seuls du groupe à pouvoir se reproduire.
Dans chaque meute règne une hiérarchie précise et ordonnée. Elle est d’ailleurs différente de celle des autres animaux vivant en meute, étant séparée en deux : il existe une hiérarchie entre les mâles et une hiérarchie entre les femelles. Grâce à ce système, les bagarres se font très rares et les conflits sont rapidement réglés.
Ces animaux font preuve d’une impressionnante cohésion de groupe : chaque jour, les membres de la meute se saluent et font preuve de respect envers leurs supérieurs, les individus les plus faibles sont aidés par les autres, et toute la meute chasse ensemble en suivant une stratégie précise.
Comportement
Le lycaon est un animal nocturne : il vit donc principalement la nuit. Ce sont également des animaux nomades : ils changent régulièrement de territoire en fonction du nombre de proies disponibles. Ils ne sont sédentaires et ne s’installent durablement sur un territoire que pendant 1 à 3 mois, période au cours de laquelle les femelles mettent bas et élèvent leurs petits chiots.
Cri et vocalises
Le lycaon grogne et gémit.
Territoire
Entre 500 et 1500 km2 (parfois jusqu’à 2500 km2), selon la disponibilité des proies.
Prédateurs
Le lycaon adulte n’est pas chassé par d’autres animaux pour être mangé. En revanche, il arrive que les lions s’attaquent aux lycaons pour leur voler les proies qu’ils ont capturées.
Les petits peuvent quant à eux être attaqués par les hyènes tachetées lorsque les adultes ne sont pas là pour les protéger (généralement lorsqu’ils chassent).
Technique de chasse
Se tournant souvent vers de grosses proies, les lycaons chassent en meute la plupart du temps. Ils commencent par repérer leur proie. Une fois la proie choisie, le mâle dominant lance l’assaut. La technique des lycaons consiste à isoler leur proie du reste de son groupe, et à l’épuiser en la pourchassant sur plusieurs kilomètres, à des vitesses allant jusqu’à plus de 50 km/h.
Animaux endurants, ils attendent que leur cible se fatigue pour l’encercler et commencer à la dévorer vivante.
Longévité
L’espérance de vie du lycaon est d’environ 11 ans à l’état sauvage.
Reproduction du lycaon
Type de reproduction
Vivipare
Habitudes reproductives
Polygame
Sevrage
Le jeune lycaon est sevré au bout de 1 à 3 mois d’allaitement / 1 an nourri par régurgitation de viande.
Maturité sexuelle
Le lycaon est sexuellement mature à :
Femelle : 20 mois
Mâle : entre 2 et 5 ans
Période de reproduction
La saison des amours a lieu durant le printemps et l’été.
Nombre de petits par portée
6 à 12 petits chiots aveugles et sans poils.
Gestation
2 à 3 mois.
Menaces et conservation du lycaon
Danger d'extinction (Statut UICN)
Le lycaon est un animal En danger (EN) selon l’UICN.
Population
Selon les estimations, on compterait 1 400 lycaons matures à l’état sauvage.
La population mondiale de lycaons est actuellement en baisse.
Menaces
Les menaces pesant sur le lycaon sont :
Perte et dégradation de son habitat : urbanisation, réchauffement climatique, …
Menaces directes : chasse et braconnage par superstition.
Maladies : virus apportés par les chiens domestiques.
MONDE D'ANIMAL ( Loutre de mer Enhydra lutris )
La loutre de mer (Enhydra lutris) est un mammifère semi-aquatique que l’on trouve proche de certains littoraux du Pacifique Nord. Carnivore, elle se nourrit de différents petits animaux marins.
Malheureusement, cet animal est en voie d’extinction.
Sommaire
Taxonomie de la loutre de mer
Caractéristiques physiques de la loutre de mer
Performances physiques de la loutre de mer
Écologie et répartition de la loutre de mer
Régime alimentaire de la loutre de mer
Mode de vie de la loutre de mer
Reproduction de la loutre de mer
Menaces et conservation de la loutre de mer
Photos de la loutre de mer
-Taxonomie de la loutre de mer
Classification
Règne : Animal
Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré
Classe : Mammifère placentaire
Ordre : Carnivore caniforme
Famille : Mustélidé lutriné
Genre : Enhydra
Espèce : lutris
Nom scientifique : Enhydra lutris
Sous-espèces / taxons
Actuellement, 3 sous-espèces de loutre de mer sont reconnues :
La loutre de mer d’Asie (Enhydra lutris lutris)
La loutre de mer d’Alaska (Enhydra lutris kenyoni)
La loutre de mer de Californie (Enhydra lutris nereis)
Caractéristiques physiques de la loutre de mer
Taille
Longueur : Femelle: 70 à 110 cm / Mâle: jusqu’à 150 cm
Environ 30 cm
Poids
Femelle : 15 à 25 kg
Mâle : jusqu’à 35 kg
Morphologie et apparence
La loutre possède une morphologie idéalement adaptée à l’évolution dans l’eau. Elle possède un corps long et souple, un pelage aérodynamique et isolant, des petites pattes palmées ainsi qu’une queue courte qui lui sert de gouvernail. Ses narines et ses oreilles se ferment hermétiquement lors de la plongée, et elle possède des poumons larges et des yeux, oreilles et narines situées sur le dessus du crâne.Ses griffes rétractiles et ses pattes avant adroites lui permettent de facilement tenir sa nourriture et entretenir sa fourrure.
Les poils de son épaisse fourrure varient du brun au noir partout sur le corps, excepté la tête où le pelage est plus clair, généralement beige à blanc.
Performances physiques de la loutre de mer
Vitesse
30km/h sous l’eau.
Apnée / durée de plongée
Jusqu’à 5 minutes, mais plus généralement 1 à 2 minutes.
Écologie et répartition de la loutre de mer
Aire de répartition
La loutre de mer vit dans le Pacifique Nord, proche des côtes d’Asie et d’Amérique du Nord.
Liste des pays
Présent
Canada ; Japon ; Mexique ; Fédération de Russie ; États-Unis
Habitat
La loutre de mer vit proche des côtes et littoraux, dans les forêts de kelp.
Régime alimentaire de la loutre de mer
Type de régime
Carnivore, à dominance piscivore.
Nourriture et proies
La loutre se nourrit principalement de différents types de poissons, mais également de divers invertébrés marins comme les octopodes (poulpes, calmars, …), les bivalves, les crabes, les étoiles de mer et surtout les oursins.
Mode de vie de la loutre de mer
Vie sociale
Animal sociable, la loutre de mer passe la majorité de son temps dans l’eau avec ses congénères.
Elle vit généralement en groupe non mixtes, de 10 à 100 individus en moyenne. Il arrive cependant que certains individus vivent seuls.
Comportement
Diurne et très joueuse, la loutre de mer passe la majeure partie de sa journée à chasser dans l’eau (bien qu’elle vaque à cette activité généralement à l’aube et au crépuscule) et à entretenir sa fourrure. En effet, la loutre de mer doit garder son épaisse fourrure graissée et rangée correctement pour s’isoler du froid.
Cet animal passe le plus clair de son temps dans l’eau : elle ne rejoint pratiquement jamais la terre ferme.
L’une des particularités insolites de la loutre est liée à son alimentation. En effet, certaines loutres ont recours, comme certains orangs-outans, à des outils pour se nourrir. Pour ouvrir certains coquillages comme les moules, la loutre casse sa coquille en le frappant contre un caillou, émergé ou qu’elle pose directement sur son ventre. Ce phénomène est extrêmement rare dans le règne animal.
Cri et vocalises
La loutre de mer crie et pousse des petits sifflements aigus.
Territoire
5 km2 environ, selon la quantité de proies disponibles dans son milieu.
Technique de chasse
Très agile sous l’eau, elle plonge au fond de la mer pour attraper ses proies puis les remonte pour se nourrir. Elle localise précisément ses proies à l’aide de ses moustaches sensibles (vibrisses).
Prédateurs
Les prédateurs de la loutre de mer sont principalement les gros animaux marins, comme les orques et les requins.
Certains rapaces comme les pygargues s’attaquent également parfois à la loutre de mer, lorsqu’elle est sur la terre ferme.
Longévité
Les loutres de mer femelles possèdent une plus importante espérance de vie que les mâles. Ces animaux vivent en moyenne :
Femelle : 15 à 20 ans à l’état sauvage.
Mâle : 10 à 15 ans à l’état sauvage.
Reproduction de la loutre de mer
Type de reproduction
Vivipare
Habitudes reproductives
Polygame
Sevrage
La jeune loutre de mer est sevrée à 5 mois environ.
Maturité sexuelle
La loutre de mer est sexuellement mature à :
Femelle : 3 à 4 ans.
Mâle : 5 à 6 ans.
Période de reproduction
La loutre de mer ne possède pas de réelle saison des amours, mais les principaux pics de naissance sont observés entre janvier et mars et entre mai et juin.
Zone de mise bas / accouplement
La loutre de mer s’accouple et met bas dans l’eau.
Nombre de petits par portée
1 à 2 loutrons, qui naissent les yeux ouverts.
Gestation
Entre 4 et 6 mois.
Gestation
A la naissance, les petits font 1,5 à 2,3 kg.
Menaces et conservation de la loutre de mer
Danger d'extinction (Statut UICN)
La loutre de mer est un animal En danger (EN) selon l’UICN.
Population
Les populations estimées de chaque sous-espèce de loutre de mer sont les suivantes :
La loutre de mer d’Asie : entre 15 000 et 20 000 individus.
La loutre de mer d’Alaska : environ 100 000 individus.
La loutre de mer de Californie : entre 2000 et 2800 individus.
La population mondiale de loutres de mer est actuellement en hausse, après une longue période de déclin entre 1750 et 1900.
Menaces
Les menaces pesant sur la loutre de mer sont :
Perte et dégradation de son habitat : pollution marine, réchauffement climatique, …
Perte de ses proies : surpêche.
Menaces directes : chasse et braconnage pour sa fo
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