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décembre 27, 2024
MONDE D'ANIMAL ( Zèbre de montagne Equus zebra )
Le zèbre de montagne (Equus zebra), aussi appelé zèbre vrai ou daw, est un grand cheval sauvage que l’on trouve dans certaines savanes et plaines montagneuses d’Afrique. Herbivore, il se nourrit quasi exclusivement d’herbe.
Cet équidé emblématique de l’Afrique est malheureusement en voie de disparition.
Sommaire
Taxonomie du zèbre de montagne
Caractéristiques physiques du zèbre de montagne
Performances physiques du zèbre de montagne
Écologie et répartition du zèbre de montagne
Régime alimentaire du zèbre de montagne
Mode de vie du zèbre de montagne
Reproduction du zèbre de montagne
Menaces et conservation du zèbre de montagne
Photos du zèbre de montagne
-Taxonomie du zèbre de montagne
Classification
Règne : Animal
Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré
Classe : Mammifère placentaire
Ordre : Périssodactyle ruminant
Famille : Equidae
Genre : Equus
Espèce : zebra
Nom scientifique : Equus zebra
Sous-espèces / taxons
On distingue 2 sous-espèces de zèbre de montagne. Elles sont les suivantes :
Zèbre de montagne de Hartmann (Equus zebra hartmannae)
Zèbre de montagne du Cap (Equus zebra zebra)
Caractéristiques physiques du zèbre de montagne
Taille
Longueur : 200 à 220 cm
Garrot : 100 à 140 cm
Queue : 40 à 55 cm
Poids
240 à 372 kg
Morphologie et apparence
Le zèbre de montagne est un grand ruminant possédant une silhouette très ressemblante à celle du cheval. Il possède en effet un corps imposant, surélevé par de grandes pattes puissantes terminées de gros sabots, une tête allongée et un museau noir, avec parfois quelques traces jaunes autour. Sa queue est touffue au bout (pinceau), son crin droit est composé de poils assez courts. Le zèbre de montagne possède également d’assez petits yeux en amande et des oreilles arrondies. Ses molaires sont larges et adaptées aux végétaux durs d’Afrique. Il est reconnaissable des autres zèbres par la membrane de peau qui pend sous sa gorge.
Le pelage du zèbre de montagne est à poil ras, de couleur blanche avec des rayures noires. Elles sont très serrées chez la sous-espèce de Hartmann, à l’inverse très espacées chez la sous-espèce du Cap. Il est facilement différentiable du zèbre des plaines, possédant des zébrures jusqu’en bas des pattes et un ventre entièrement blanc.
Performances physiques du zèbre de montagne
Taille
Le zèbre de montagne est un animal très rapide malgré sa corpulence. Il court à une vitesse moyenne de 60 km/h, jusqu’à 80 km/h à pleine vitesse.
Écologie et répartition du zèbre de montagne
Aire de répartition
Le zèbre des montagnes vit dans plusieurs pays du sud de l’Afrique.
Liste des pays
Existant (résident)
Angola ; Namibie ; Afrique du Sud (Western Cape, Eastern Cape Province)
Existant par introduction (résident)
Afrique du Sud (Province du Cap Nord, Free State)
Habitat
Le zèbre de montagne vit dans les savanes arbustives et broussailleuses et dans les prairies de montagne.
Régime alimentaire du zèbre de montagne
Type de régime
Quasi exclusivement herbivore.
Nourriture et proies
Comme les autres zèbres, le zèbre de montagne se nourrit quasi uniquement de longues herbes touffues. Lorsque l’herbe est peu abondante, il se nourrit d’écorces, de brindilles, de bourgeons, de fruits et de racines.
Mode de vie du zèbre de montagne
Vie sociale
Le zèbre de montagne est un animal social et grégaire. Cependant, contrairement au zèbre des plaines, le zèbre de montagne ne vit jamais en grands troupeaux. Il vit principalement en groupes familiaux composés d’un étalon (mâle dominant) et de son harem (1 à 5 juments), ainsi que de leurs petits.
Les mâles célibataires vivent de leur côté en petits groupes, et les adultes tentent régulièrement de capturer les jeunes femelles pour créer leur propre harem. Cette rivalité conduit d’ailleurs souvent à de violents affrontements entre les étalons dominants et les nouveaux mâles.
Une fois nés, les petits sont protégés par leur mère et les autres membres de leur groupe. Lorsqu’ils sont suffisamment âgés, les jeunes mâles sont chassés par leur groupe (Haltmann), ou les quittent d’eux même (Cap). Il arrive qu’ils passent un long moment seuls, avant de rejoindre un groupe de célibataires.
Comportement
Le zèbre de montagne est un animal diurne, principalement actif le matin. Dans les heures chaudes de la journée, il se cache à l’ombre d’un arbre ou se roule dans un bain de poussière, tandis qu’il se réchauffe au soleil le matin.
Contrairement aux autres zèbres, ils doivent boire tous les jours. Ils vivent donc généralement proches d’un point d’eau, et creusent le sol pour en trouver lors de la saison sèche.
Cri et vocalises
Les zèbres de montagne communiquent entre eux à travers des cris facilement reconnaissables. Comme le cheval, on dit que le zèbre des plaines hennit (hennissement).
Prédateurs
Les principaux prédateurs du zèbre de montagne sont les lions, les hyènes tachetées et les chacals, qui s’attaquent cependant majoritairement aux jeunes plutôt qu’aux adultes.
Longévité
L’espérance de vie du zèbre de montagne est de :
A l’état sauvage : 20 à 25 ans.
En captivité : jusqu’à 30 ans.
Reproduction du zèbre de montagne
Type de reproduction
Vivipare
Habitudes reproductives
Polygame
Sevrage
Le jeune zèbre de montagne est sevré à environ 1 an, parfois plus.
Maturité sexuelle
Le zèbre de montagne est sexuellement mature à :
Femelle : 3 à 6 ans.
Mâle : 5-6 ans.
Période de reproduction
Les zèbres de montagne ne possèdent pas de saison des amours spécifique, et peuvent se reproduire toute l’année. On observe cependant un pic de naissance (et donc de reproduction) lors de la saison des pluies.
Nombre de petits par portée
1 petit poulain (ou zébreau) par portée.
Gestation
1 an environ.
Poids du petit
A la naissance, le zébreau pèse environ 25 kg.
Menaces et conservation du zèbre de montagne
Danger d'extinction (Statut UICN)
Le zèbre de montagne est une espèce vulnérable (VU) selon l’UICN.
Population
On compte entre 35 000 et 61 000 zèbres de montagne vivant à l’état sauvage. La répartition est la suivante :
Population de zèbres de montagne d’Haltmann : 34 000 à 60 000 individus.
Population de zèbrs de montagne du Cap : environ 700 individus.
Les populations de zèbres de montagne, du Cap comme de Haltmann, ont été au bord de l’extinction au cours du XXème siècle. La population mondiale de zèbres de montagne est actuellement en hausse.
Menaces
Les menaces pesant sur le zèbre de montagne sont :
Perte et dégradation de son habitat : urbanisation, réchauffement climatique (perte des points d’eau), …
Menaces directes : chasse et braconnage pour sa peau.
décembre 26, 2024
VOTRE SANTE D'ABORD ( Boire un jus de citron tous les jours, mauvais pour la santé ? )
Un des fruits les plus acides du marché.
-C'est une habitude pour beaucoup de personnes : boire un jus de citron tous les jours, par exemple le matin pour bien commencer la journée. Le citron a gagné en popularité depuis quelques années grâce à ses nombreuses vertus santé. Son jus est riche en vitamine C ce qui lui confère une action anti-infectieuse et antioxydante "mais il ne faut pas trop le faire chauffer car la vitamine C est volatile" nous prévient le Dr Karen Elbaz, docteure en pharmacie, nutrithérapeute et micronutritionniste.
"Il y a aussi d'autres composés dans le jus de citron auxquels on ne pense pas" ajoute-t-elle. Des citrates par exemple qui ré-alcalinisent l'organisme. "Quand on fait du sport de façon plus ou moins intense, on a tendance à acidifier l'organisme. Boire du jus de citron après une séance additionné par exemple à un peu de miel et de gingembre est alors très intéressant." Grâce à sa richesse en citrates, le jus de citron est aussi recommandé en cas de calculs d'oxalate "avec surveillance médicale" rappelle notre interlocutrice. Le jus de citron contient aussi des probiotiques efficaces pour l'équilibre de la flore intestinale et l'état de santé du microbiote. "Et plus j'ai un microbiote en bonne santé, plus je vais avoir une immunité optimale."
Tous ces bienfaits soutiennent la prise régulière de jus de citron mais c'est aussi un des fruits les plus acides alors peut-on le boire tous les jours sans danger ? D'après notre spécialiste, "oui" sauf si on souffre d'une gastrite "parce que le contact avec quelque chose d'acide peut être irritant". Il vaut mieux dans ce cas attendre la guérison de la gastrite. Dans tous les autres cas, si le jus pur est un peu difficile à boire, notamment à jeun le matin, on peut le diluer dans de l'eau "sans altérer ses propriétés". Et pour ne pas risquer d'abîmer l'émail des dents à cause de son acidité, il est conseillé de le boire avec une paille.
La balade digestive est encore meilleure que ce qu'on pensait : voici sa durée idéale
La meilleure huile essentielle après un repas copieux, elle accélère la digestion
Enfin, comme toujours en nutrition "on recommande une alimentation variée, diversifiée, équilibrée. Buvez du jus de citron mais tournez-vous aussi vers d'autres fruits et légumes. Plus vous aurez des polyphénols différents dans votre alimentation, mieux ce sera pour votre santé"
VOTRE SANTE D'ABORD ( Santé : actualités, conseils pratiques, avis d'experts et témoignages )
-"Un vrai secret de longévité" : voici l'assiette pour vivre longtemps en bonne santé
-Toutes les études épidémiologiques le montrent : on mange trop sucré, trop salé, trop gras, et en trop grandes quantités. Pour vivre plus longtemps et en meilleure santé, il est recommandé de manger moins. Mais, comment concrètement ? Les conseils du Dr Christophe de Jaeger, médecin gérontologue et chercheur français spécialisé dans le vieillissement du corps humain.
Le principe de la restriction calorique ne date pas d'hier. Il a d'abord été décrit au début du siècle dernier par un physiologiste dénommé Clive McCay, puis il a été beaucoup développé par le médecin américain Roy Walford, pionnier dans l'étude de la longévité. C'est lui qui a démontré que, lorsque les rongeurs mangeaient pour simplement couvrir leurs besoins caloriques sans déficiences nutritionnelles (notion de restriction calorique), ils vivaient plus longtemps et en meilleure santé que les autres. Le chercheur a observé une fonte de la masse grasse, corrélée à une quasi disparition des facteurs de risque cardiovasculaires. Plus précisément, chez l'homme, la pression artérielle diminuait en-dessous de 12/7mmHg. Le cholestérol descendait aux valeurs d'un sujet jeune et le taux de mauvais cholestérol était très faiblel, tandis que les sucres chutaient considérablement. "Mais attention, il y avait toujours une activité physique car sans activité physique, on assiste à une fonte musculaire, et ensuite de la graisse. Plusieurs études ont mis en évidence les bénéfices de la restriction calorique", commente le Dr Christophe de Jaeger qui nous en dit plus sur ce "secret de longévité".
L'excès alimentaire fait le lit des maladies de surcharge. "Le corps n'arrivant plus à gérer ce qu'on lui apporte à travers l'alimentation, il le met en réserve dans la graisse et dans l'ensemble des autres cellules, ce qui va contribuer à encrasser notre organisme en général et nos cellules en particulier. Quand le corps se met en situation de restriction calorique, soit de manière naturelle parce que l'on mange moins, soit de manière artificielle parce qu'on prend certains médicaments comme la Metformine, les cellules vont se trouver dans l'obligation de mieux gérer leurs déchets et nos suppléments caloriques. Le corps doit alors aller chercher de l'énergie partout où il peut. La restriction calorique, c'est presque de l'écologie", développe le médecin gérontologue.
"La notion de restriction calorique est compliquée dans l'esprit des gens car il ne s'agit pas de faire un régime restrictif au sens où on ne mangerait pas certaines catégories d'aliments. Il s'agit simplement d'assurer à l'organisme ses besoins et juste ses besoins en prenant en compte le métabolisme de base et l'activité physique", prévient le spécialiste du vieillissement. En effet, une personne sédentaire n'aura pas les mêmes besoins caloriques qu'une personne très active. "Par exemple, un bûcheron dans la forêt canadienne peut avoir besoin de 4000 calories par jour et être quasiment en restriction calorique parce que cela correspond juste à ce dont il a besoin", illustre le Dr Christophe de Jaeger.
Chacun a un métabolisme différent et une organisation de vie différente. Il faut donc définir pour chaque individu ses besoins et ne pas aller au-delà, tout en adoptant une hygiène alimentaire qui ne comporte pas de carences. "En pratique, pour faire une restriction calorique de qualité, il convient de manger beaucoup plus de protéines, de diminuer les glucides à une portion beaucoup plus faible (20-25% au lieu de 50%), sauf si on fait du sport en compétition car le corps a besoin de glucides pour fonctionner. Il est recommandé d'adapter sa pratique sportive à la ration de glucides ou l'inverse. Si on court tranquillement autour du lac, on n'a pas besoin de beaucoup de glucides, mais si on vise la performance, oui !", détaille notre expert. Pour renforcer sa santé et vivre plus longtemps, il est recommandé de manger peu, bien, et de pratiquer une activité physique réelle (effectuer 10 000 pas par jour n'est pas considéré comme une activité physique suffisante).
L'HOMME ET LA VIE ( Foie Gras Alternative )
Foie Gras : Des Éleveurs Innovants avec des Alternatives au Gavage
Le foie gras, produit emblématique de la gastronomie française, est au centre de débats éthiques et environnementaux depuis plusieurs années. La méthode traditionnelle de gavage, qui consiste à nourrir les canards ou les oies de manière forcée, est de plus en plus contestée. Face à ces critiques, des éleveurs engagés explorent aujourd'hui des alternatives pour produire un foie gras de qualité sans utiliser à cette pratique contrôle
Pourquoi remettre en question le gavage ?
Le gavage est perçu par certains comme une atteinte au bien-être animal. Cette méthode, bien que réglementée en France, est interdite dans plusieurs pays européens. Les associations de défense des animaux dénoncent régulièrement les conditions da
Cette pression
Les alternatives au gavage : des approches prometteuses
Le foie gras "naturel" ou "éthique"
Certains éleveurs expérimentent des méthodes d'alimentation respectant le comportement naturel des oiseaux. L'idée est de laisser les animaux s'engraisser naturellement, en leur proposant une alimentation riche et variée, sans intervention forcée.
Le "foie gras de pâturage"
Dans cett
Les innovations technologiques
Certaines startups agroa
Les défis de ces nouvelles pratiques
Bien que c
Coût de production élevé : Les méthodes alternatives obligatoires
Qualité gustative : Les consommateurs habitués au foie gras traditionnel peuvent être rétice
Législation et reconnaissance : Ces nouvelles
Un avenir prometteur pour un foie gras éthique ?
Les alternatives au gavage sont encore en phase de développement, mais elles pourraient bien représenter l'avenir d'une production durable et responsable. En répondant aux enjeux éthiques et environnementaux, ces initiatives pourraient permettre à la filière du foie gras de préserver sa place dans la gastronomie mon
Pour les amateurs de foie gras, ces innovations offrent une opportunité de savourer ce mets d'exception en toute sérénité, avec la garantie d'un respect acquis pour les animaux.
Avec ces efforts combinés, l'industrie du foie gras pourrait réussir à se réinventer, conciliant tradition culinaire et respect des valeurs.
ENVIRONNEMENT ( Antarctique Peninsule Verdit )
Antarctique : la péninsule se verdit à une vitesse alarmante sous l'effet du changement climatique
L'Antarctique, symbole des terres glacées et immaculées, subit des transformations sans précédent. La péninsule antarctique, région la plus septentrionale du continent, se couvre progressivement de verdure — un phénomène qui inquiète les scientifiques du monde entier. Sous l'effet du changement climatique, la hausse des températures et la fonte des glaces favorisent la croissance de la végétation, altérant un écosystème fragile.
Les causes du verdissement de la péninsule antarctique
Le principal moteur de ce changement est le réchauffement climatique. Selon les données de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), la péninsule antarctique est l'une des zones où le réchauffement est le plus rapide au monde, avec une augmentation de la température moyenne de près de 3 °C depuis le milieu du 20ᵉ siècle.
Cette hausse des températures provoque :
La fonte des glaciers : La réduction des surfaces glacées expose le sol sous-jacent, créant un habitat favorable à la croissance de la végétation.
L’allongement de la saison de croissance : Les périodes sans neige deviennent plus longues, permettant aux plantes de se développer sur une durée prolongée.
L’augmentation des précipitations sous forme de pluie : Des conditions plus humides stimulent la croissance des mousses et des lichens, principales espèces végétales de la région.
Un paysage en mutation
Les scientifiques ont observé une expansion rapide des tapis de mousses sur la péninsule antarctique. Ces plantes, adaptées à des conditions extrêmes, profitent de l’absence de glace pour coloniser de nouvelles zones. Par ailleurs, des études récentes montrent une augmentation de la biomasse végétale, témoignant d'un changement significatif dans l'écosystème local.
Cependant, ce verdissement n'est pas synonyme de vitalité pour l'environnement. Il signale plutôt un bouleversement des équilibres naturels, avec des conséquences à la fois locales et globales.
Les impacts écologiques et climatiques
1. Perturbation de l’écosystème
La faune locale, adaptée à un environnement glacial, pourrait souffrir de ces changements. Certaines espèces, comme les manchots Adélie, dépendent des conditions hivernales pour leur survie. En revanche, d'autres espèces pourraient tirer parti de la nouvelle végétation, provoquant un déséquilibre dans les dynamiques écologiques.
2. Amplification de l’effet de serre
La disparition de la glace, qui reflète normalement les rayons du soleil, augmente l’absorption de chaleur par le sol sombre. Ce phénomène, appelé "effet d’albedo", contribue à accélérer le réchauffement climatique.
3. Modification des cycles biogéochimiques
L’apparition de végétation modifie la façon dont le carbone est capté et stocké dans ces régions polaires. Si la végétation peut temporairement agir comme un puits de carbone, l’augmentation des températures risque de libérer davantage de gaz à effet de serre emprisonnés dans le pergélisol.
Que faire face à cette situation alarmante ?
La lutte contre le verdissement de l’Antarctique passe inévitablement par la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Les engagements internationaux, comme ceux prévus dans l’Accord de Paris, doivent être respectés et renforcés. Par ailleurs, il est crucial d’investir dans la recherche scientifique pour comprendre pleinement les conséquences de ces transformations.
Des initiatives de conservation spécifiques à l'Antarctique sont également nécessaires pour protéger cet écosystème unique. Cela inclut une surveillance accrue des zones touchées et une réglementation stricte des activités humaines, telles que le tourisme et la pêche, dans la région.
Conclusion
Le verdissement de la péninsule antarctique est un signal d’alarme face à l’urgence climatique. Alors que cette transformation rapide met en lumière les impacts profonds du réchauffement planétaire, elle nous rappelle également notre responsabilité collective à protéger les écosystèmes les plus fragiles de notre planète. Réagir maintenant est essentiel pour préserver l’Antarctique et limiter les conséquences globales du changement climatique.
décembre 25, 2024
MONDE D'ANIMAL ( Sambar Rusa unicolor )
Le sambar (Rusa unicolor) est un mammifère ruminant de la famille des cervidés. On le trouve dans certaines forêts tropicales humides et sèches en Asie. Herbivore, il se nourrit de diverses plantes, principalement de l’herbe et des jeunes feuilles.
Sommaire
Taxonomie du sambar
Caractéristiques physiques du sambar
Écologie et répartition du sambar
Régime alimentaire du sambar
Mode de vie du sambar
Reproduction du sambar
Menaces et conservation du sambar
Photos du sambar
-Taxonomie du sambar
Classification
Règne : Animal
Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré
Classe : Mammifère placentaire
Ordre : Artiodactyle ruminant
Famille : Cervidae cervinae
Genre : Rusa
Espèce : unicolor
Nom scientifique : Rusa unicolor
Sous-espèces / taxons
On distingue 7 différentes sous-espèces de sambar :
Liste des sous-espèces
Rusa unicolor unicolor
Rusa unicolor brookei
Rusa unicolor cambojensis
Rusa unicolor dejeani
Rusa unicolor equina
Rusa unicolor hainana
Rusa unicolor swinhoii
Caractéristiques physiques du sambar
Taille
Corps : 1,62 à 2,7 m de long.
Garrot : 102 à 160 cm
Queue : 22 à 35 cm
Poids
100 à 350 kg en moyenne, avec un maximum de 546 kg. Les mâles sont en moyenne plus lourds que les femelles.
Morphologie et apparence
Le sambar est un cervidé d’assez grande taille au corps robuste et qui possède des pattes assez fines mais puissantes et une queue assez longue pour un cerf. Seul le mâle possède des bois, qui sont ramifiés. Le nombre de branches évolue selon l’âge. Ils mesurent jusqu’à 110 cm de long chez les adultes. Ses oreilles sont assez petites et arrondies, ses fosses lacrymales profondes et ses yeux bruns en amande surélevés de longs cils fins. La taille et la corpulence des individus varie dans son aire de répartition. Les femelles sont cependant toujours plus petites que les mâles.
Le pelage de ces cervidés est assez dense et hirsute. La robe arbore généralement une couleur unie, du brun jaunâtre au gris foncé. Certaines sous-espèces ont néanmoins une fourrure un peu plus foncée (marron) sur la croupe. La queue est noire sur le dessus et blanchâtre sur le dessous. Il est doté d’une crinière au niveau du cou, majoritairement visible chez le mâle.
Écologie et répartition du sambar
Aire de répartition
Le sambar vit dans quelques régions d’Asie, de l’Inde jusqu’en Asie du Sud-Est. Il a également été introduit en Océanie (Australie) et en Amérique du Nord (Etats-Unis).
Liste des pays
Présent (résident)
Bangladesh ; Bhoutan ; Brunei Darussalam ; Cambodge ; Chine (Yunnan, Sichuan, Jiangxi, Hunan, Guangxi, Guizhou, Hainan) ; Inde ; Indonésie (Sumatera) ; Malaisie ; Myanmar ; Népal ; Sri Lanka ; Taiwan ; Thaïlande ; Vietnam ; Laos
Présent par introduction
Australie ; Nouvelle-Zélande ; Afrique du Sud (Western Cape) ; États-Unis (Texas, Floride, Californie)
Habitat
On trouve le sambar dans les forêts tropicales humides et sèches décidues et mixtes, ainsi que dans les forêts d’arbres à feuilles caducs tempérées, certaines savanes tropicales et hauts plateaux.
Régime alimentaire du sambar
Type de régime
Végétarien, notamment herbivore et folivore.
Nourriture et proies
Le sambar se nourrit principalement d’herbe, de jeunes feuilles, de bourgeons tendres, de jeunes pousses comme de roseaux, de rameaux, de mousse et de lichen. Elle mange également des baies, des arbustes, de l’écorce et des fruits tombés.
Mode de vie du sambar
Vie sociale
Comme chez la plupart des cerfs, les sambars mâles sont des animaux solitaires. Ils passent en effet la plupart de l’année seule, menant une vie nomade et ne se joignant aux groupes que pour la reproduction. En effet, les femelles vivent avec leurs petits dans des troupeaux comptant jusqu’à 16 individus (4 à 6 en moyenne). Les femelles sont ainsi plus grégaires que les mâles, mais vivent cependant dans des hardes d’assez petite taille pour des cerfs. Ils marquent leur territoire en frottant leurs bois et leur corps contre des troncs, se levant parfois sur leurs pattes arrière. Lors du rut, les mâles établissent des territoires qu’ils marquent grâce à des glandes odorantes. Ils s’affrontent pour déterminer lequel s’accouplera avec les femelles passant sur le territoire. Les combats sont composés de coups de bois et d’entrelacement, de lutte, notamment en se levant sur leurs pattes arrière.
Comportement
Le sambar est un animal nocturne et crépusculaire. Il profite en effet de la pénombre pour se nourrir et se désaltérer, afin d’éviter un maximum de prédateurs. La journée, il reste caché et se repose dans la dense couverture forestière. Appréciant particulièrement l’eau, les sambars se baignent souvent. En cas de danger, les femelles d’un groupe tentent de faire barrage pour protéger leurs petits, malgré l’absence de bois.
Cri, vocalises et communication
Les sambars poussent relativement peu de cris. Ils émettent principalement des sons courts et aigus, appelés « pooking » en cas de danger. Les vocalises sont cependant parfois plus bruyantes. Ils communiquent majoritairement chimiquement ou avec le toucher, déposant leur urine et se frottant sur les arbres, réalisant des piétinements ou se caressant mutuellement la croupe.
Prédateurs
Les principaux prédateurs du sambar sont le tigre et le lion. C’est une proie très appréciée, qui peut représenter jusqu’à 60% du régime alimentaire des tigres du Bengale dans certaines régions. Il est également la proie des crocodiles, principalement du crocodile marin et du crocodile des marais, ainsi que des dholes et des léopards, attaquant le plus souvent les individus malades ou jeunes.
Longévité
L’espérance de vie du sambar est de :
A l’état sauvage : 12 à 20 ans environ.
En captivité : jusqu’à 26-28 ans.
Reproduction du sambar
Type de reproduction
Vivipare
Habitudes reproductives
Polygame
Maturité sexuelle
Le sambar est sexuellement mature à 2 ans environ, mais les mâles se reproduisent généralement un peu plus tard, barrés par les autres individus plus vieux et imposants.
Période de reproduction
La saison des amours du sambar (qui correspond à la saison du rut) a lieu une fois par an, mais n’est pas directement liée à la période de l’année. Elle a cependant généralement lieu de septembre à janvier.
Parade et comportement nuptial
Pour conquérir les femelles, les mâles s’affrontent dans des combats. Une fois vainqueur, le mâle se rapprochera de la femelle : l’accouplement se base sur les liens entre les deux individus plutôt que sur des vocalises.
Gestation
245 à 284 jours environ.
Nombre de petits par portée
La biche sambar met bas 1 petit faon, très rarement 2 jumeaux.
Poids et apparence des petits
Le faon sambar pèse environ 5 à 8 kg à la naissance. Ils sont recouverts d’un pelage brun, avec des taches claires ou non selon la sous-espèce, qu’il perd rapidement en grandissant.
Sevrage et croissance
Le jeune sambar est protégé par le groupe et allaité par sa mère. Si il boit le lait maternel pendant 7 à 8 mois, il commence à manger de la nourriture solide dès 5 à 14 jours, et devient ruminant dès 1 mois. La croissance est rapide. Les mâles possèdent des bois à une branche à 1 an, 2 branches vers 2-3 ans et 3 branches à l’âge adulte.
Menaces et conservation du sambar
Danger d'extinction (Statut UICN)
Le sambar est une espèce vulnérable (VU) selon l’UICN.
Population
Le nombre de sambars vivant à l’état sauvage est actuellement inconnu. On sait cependant que leur population mondiale est actuellement en baisse.
Menaces
Les principales menaces pesant sur le sambar sont :
Destruction de son habitat à travers la déforestation, au profit de la création de routes, à l’urbanisation et à l’agriculture.
Chasse et braconnage.
Plusieurs mesures ont été mises en place pour protéger le sambar :
Protection de zones forestières et de points d’eau.
Protection de l’espèce ex-situ.
L'HOMME ET LA VIE ( Synchronicité : comment interpréter les signes de la vie ? )
Avez-vous déjà vécu un moment où un événement apparemment anodin semblait porter une signification profonde dans votre vie ? La synchronicité, un concept fascinant popularisé par le psychologue Carl Gustav Jung, désigne ces coïncidences significatives qui résonnent avec nos expériences ou nos pensées. Ces phénomènes suscitent souvent curiosité et introspection. Mais comment reconnaître et interpréter ces signes de la vie ?
Qu’est-ce que la synchronicité ?
Selon Jung, la synchronicité est une étrange connexion entre des événements extérieurs et nos états intérieurs. Contrairement aux simples coïncidences, ces événements semblent charger d’une signification personnelle. Par exemple, penser à un ami que vous n’avez pas vu depuis des années, puis recevoir un appel de sa part peu après. Ces moments peuvent donner l’impression que la vie elle-même tente de communiquer avec vous.
Reconnaître les signes de la vie
1. Rester attentif à l’instant présent
La synchronicité exige une présence mentale. Dans notre monde moderne, où distractions et automatisme dominent, il est essentiel de ralentir et de prêter attention aux détails de votre quotidien.
2. Observer les motifs récurrents
Certaines synchronicités se manifestent sous forme de motifs répétitifs. Cela peut inclure des chiffres comme 11:11, des animaux totems qui apparaissent fréquemment ou des événements similaires qui se reproduisent.
3. Se fier à son intuition
Votre intuition est un guide puissant pour identifier les synchronicités. Si un événement vous fait ressentir une connexion profonde ou un frisson inexplicable, c’est probablement un signe qu’il a une signification pour vous.
Interpréter les synchronicités
1. Réfléchir au contexte personnel
Posez-vous la question : qu’est-ce que cet événement pourrait signifier dans ma vie ? Parfois, la synchronicité met en évidence un domaine de votre vie qui nécessite votre attention ou une décision importante.
2. Considérer les émotions éveillées
Les sentiments que suscite une synchronicité sont un indice précieux. Un événement qui vous émerveille ou vous rassure peut signifier que vous êtes sur la bonne voie. Inversement, une synchronicité troublante peut être une alerte pour réévaluer une situation.
3. Tenir un journal des synchronicités
Notez vos expériences et vos pensées associées. Avec le temps, un modèle ou une direction claire pourrait émerger, offrant des perspectives nouvelles.
Synchronicité et spiritualité
Pour beaucoup, les synchronicités sont perçues comme des messages de l’univers ou de forces spirituelles. Elles invitent à explorer des questions plus profondes sur le destin, la connexion humaine et notre place dans l’univers. Quelle que soit votre vision, ces événements peuvent être une source d’inspiration et d’émerveillement.
Les limites de la synchronicité
Il est important de ne pas tomber dans l’excès en cherchant à tout prix une signification dans chaque événement. La synchronicité n’implique pas que tout soit prédestiné ou guidé. Elle repose davantage sur notre capacité à déceler des connexions subtiles et à leur attribuer un sens personnel.
Conclusion
La synchronicité nous rappelle que la vie est pleine de mystères et de merveilles. En prêtant attention aux signes autour de nous et en les interprétant avec une ouverture d’esprit, nous pouvons enrichir notre compréhension de nous-mêmes et de notre cheminement. Alors, ouvrez l’œil, écoutez votre intuition et laissez-vous guider par les messages subtils que la vie vous réserve.
L'HOMME ET LA VIE ( Origine Pulls Moches Noël )
D’où vient la tradition des pulls moches de Noël ?
Les pulls moches de Noël, avec leurs motifs kitsch et leurs couleurs criardes, sont devenus un incontournable des fêtes de fin d’année. Mais d’où vient cette tradition à la fois amusante et nostalgique qui a conquis les cœurs (et les dressings) du monde entier ?
Une origine familiale et artisanale
Les pulls tricotés à la main ont longtemps été des cadeaux traditionnels pour Noël. Dans les années 1950 et 1960, les familles, particulièrement en Amérique du Nord et en Europe, confectionnaient ces vêtements pour offrir un cadeau personnalisé et chaleureux. Les motifs hivernaux et féeriques — rennes, sapins, flocons de neige — étaient courants, mais le style restait modeste et sincère.
L’évolution kitsch des années 1980
C’est dans les années 1980 que les pulls de Noël ont pris un tournant vers le kitsch. Les grandes marques de mode ont commencé à produire des pulls aux designs exagérés et colorés. Ces créations étaient souvent portées avec humour par des personnages de films et de séries télévisées de l’époque, popularisant l’idée que ces pulls étaient à la fois ringards et amusants.
Un moment emblématique reste la scène du film Le Journal de Bridget Jones (2001), où Mark Darcy arbore un pull de Noël orné d’une tête de renne. Ce genre de représentation a contribué à renforcer le statut iconique de ces vêtements.
Le renouveau des pulls moches dans les années 2000
Au début des années 2000, les pulls moches de Noël ont connu une résurrection, mais cette fois avec un esprit d’autodérision. Les premières "Ugly Christmas Sweater Parties" (fêtes thématiques autour des pulls moches) ont vu le jour au Canada et aux États-Unis, avant de se répandre dans le reste du monde. Ces soirées, souvent accompagnées de concours du pull le plus ridicule, ont transformé ce symbole vestimentaire en une tradition festive et conviviale.
En parallèle, des entreprises et des créateurs se sont emparés du concept pour proposer des designs encore plus absurdes, intégrant des éléments lumineux, des sons ou des accessoires en trois dimensions.
Une tendance qui se veut durable
Aujourd’hui, les pulls moches de Noël s’inscrivent également dans une démarche écoresponsable. Beaucoup de consommateurs préfèrent acheter des modèles de seconde main ou recycler des pulls classiques en les customisant avec des éléments décoratifs. Ce retour à la création artisanale rappelle les origines familiales de cette tradition tout en réduisant son impact environnemental.
Pourquoi aimons-nous ces pulls ?
Le succès des pulls moches de Noël repose sur plusieurs facteurs :
La nostalgie : Ils évoquent les Noëls passés, les réunions en famille et l’innocence de l’enfance.
L’humour : Porter un pull volontairement "moche" est une façon ludique de dédramatiser les codes vestimentaires.
L’esprit communautaire : Les pulls moches rassemblent les gens autour d’une tradition commune, souvent agrémentée de défis et de rires.
Conclusion
La tradition des pulls moches de Noël, loin d’être une simple mode passagère, est devenue un véritable phénomène culturel. Elle mêle humour, créativité et convivialité, tout en évoluant avec les valeurs de durabilité actuelles. Que vous portiez le vôtre par nostalgie, par amusement ou pour participer à une soirée à thème, une chose est sûre : le pull moche de Noël a encore de beaux jours devant lui.
VOTRE SANTE D'ABORD ( 5 conseils pour soigner la grippe rapidement )
Courbatures, fièvre, maux de tête... La grippe est de retour et elle épuise l'organisme. Conseils express pour combattre le virus rapidement et solutions disponibles en pharmacie pour remonter la pente au plus vite !
-Sommaire
Conseils express
Traitements en pharmacie
Antiviral
Prévention
-Tout le monde redoute le virus de la grippe tellement il peut mettre à plat l'organisme. "Nombreuses sont les personnes à souffrir de syndromes grippaux : la grippe est une infection due au virus Influenza tandis que les autres syndromes sont causés par différents virus voire des bactéries. Raison pour laquelle il est conseillé de consulter pour optimiser le diagnostic et le traitement" nous explique le Dr Judith Loeb Mansour, médecin généraliste. Les symptômes de la grippe peuvent être intenses : fièvre à plus de 39 degrés, courbatures, fatigue, toux, frissons, nez bouché, maux de tête… "Ils durent généralement une semaine à 10 jours avec parfois un V grippal à 7 jours, c'est-à-dire une amélioration suivie d'une aggravation puis d'une guérison."
-5 conseils pour soigner la grippe rapidement
Pour guérir plus vite, le Dr Loeb Mansour conseille :
Consulter : "Il arrive qu'on diagnostique des infections graves alors que les patients imaginaient être grippés."
Du repos puis la reprise petit à petit d'une activité ;
S'hydrater au maximum en buvant de l'eau, du thé ou des bouillons car la fièvre a tendance à déshydrater ;
Manger des fruits et légumes pour la vitamine C, "Il est aussi certainement utile de ne pas manquer de vitamine D en hiver" ;
Prendre du paracétamol contre la fièvre, les maux de tête et les courbatures ;
"Certains se disent plus rapidement soulagés en prenant de l'homéopathie ou de l'aromathérapie sous conseils d'un spécialiste." A tester.
-Que peut-on acheter en pharmacie pour guérir plus vite de la grippe ?
En pharmacie, vous pouvez vous procurer :
Du paracétamol pour les maux de tête, la fièvre ou les courbatures ;
Du sirop pour la toux "mais on peut aussi boire une boisson douce au goût sucré" ;
Des sprays à l'eau de mer ou des corticostéroïdes en vaporisation pour déboucher le nez ;
De la vitamine D "qui a montré son intérêt avec le Covid et qui doit être prise chaque hiver par les enfants, les femmes et les personnes âgées" ;
Un antiviral si celui-ci est prescrit par le médecin ;
Après consultation d'un spécialiste, l'homéopathie : l'Influenzinum 9CH peut être pris en préventif ou en curatif. Enfin, il existe des remèdes naturels pour lutter contre les symptômes de la grippe comme l'huile essentielle d'eucalyptus ou de Ravintsara que vous pouvez trouver facilement en pharmacie. A utiliser en diffusion pour assainir l'air, en application cutanée par exemple sous la plante des pieds (toujours diluée dans une huile végétale)...
-Quel antiviral permet de soigner plus vite une grippe ?
"Des traitements antiviraux (oseltamivir) peuvent être proposés aux personnes fragiles, immunodéprimées, aux personnes présentant un risque de grippe grave, aux proches de personnes fragiles. Dans ces cas-là, le traitement est efficace uniquement s'il est débuté dans les 48 heures après l'apparition des symptômes", explique Judith Loeb Mansour.
Miser sur la prévention pour éviter la grippe
S'il n'existe aucun moyen sûr à 100% de ne pas contracter le virus de la grippe, il est possible de limiter les risques. Pour cela, il est important :
► D'être en bonne forme : "Manger équilibré avec beaucoup de légumes et fruits, pas trop de sucre, de gras et d'alcool, bien s'hydrater, bouger, dormir suffisamment, soigner son moral."
► De veiller sur sa santé : "Il est prouvé que le diabète et d'autres pathologies majorent le risque de présenter une grippe grave : donc prévenir et guérir. En ce sens les nouvelles consultations de prévention sont bienvenues."
► De continuer à adopter les gestes barrières mis en place lors du Covid-19 tels que le lavage régulier des mains, la limitation des contacts avec les personnes malades et le port du masque. "Il est aussi important que les personnes en contact avec des proches fragiles veillent à porter le masque si elles sont souffrantes et prennent un antiviral si elles sont grippées."
► De se vacciner (surtout) si on est à risque : La grippe étant une infection respiratoire pouvant entraîner des complications graves comme une pneumonie ou l'aggravation d'une maladie chronique chez les personnes fragiles, la vaccination avant chaque hiver peut éviter ces risques.
L'HOMME ET LA VIE ( La balade digestive est encore meilleure que ce qu'on pensait : voici sa durée idéale )
Tout le monde va s'y mettre.
-Pour certains, c'est une tradition. Aller marcher après un repas copieux permet de détendre les jambes et l'estomac. Du moins c'est ce qu'on se dit. Mais est-ce davantage le grand air qui nous fait du bien et nous aide à digérer ou véritablement le fait de marcher ?
Pour la micro-nutritionniste Isabelle Vilarem "il est intéressant de bouger après un repas afin d'éviter le stockage de sucres". De la même manière, "c'est une très bonne idée au niveau du contrôle de la glycémie. L'exercice léger après un repas peut contribuer à stabiliser la glycémie en aidant les cellules à absorber le glucose du sang. Cela peut être particulièrement bénéfique pour les personnes atteintes de diabète ou présentant un risque accru de développer un diabète de type 2". Le sucre sera orienté vers les muscles dans les premières secondes de l'effort, il est donc utilisé tout de suite. "Marcher après un repas peut aussi favoriser la dépense énergétique et aider à brûler quelques calories supplémentaires" poursuit la spécialiste.
Côté digestion, c'est une très bonne idée d'aller marcher nous confirme Alice Hantz, diététicienne et autrice du compte Instagram @mange_ta_sante. "Marcher va stimuler la motilité intestinale, cela va favoriser les contractions musculaires du système digestif, ce qui accélère le transit intestinal. Cela va également aider à prévenir les sensations de ballonnements et de lourdeurs au niveau de l'estomac après un repas." En restant longtemps assis à table, on a tendance à comprimer certains organes digestifs. "En cas de repas copieux, comme pendant les fêtes notamment, le fait de marcher peut aider l'estomac à se vider plus rapidement, réduisant ainsi les risques de reflux gastro-œsophagien."
-Autre effet positif de la balade digestive : l'activation de la circulation sanguine. "Une circulation sanguine accrue pendant une activité modérée, comme la marche, peut améliorer l'absorption des nutriments dans les cellules", poursuit la diététicienne. Quant au type de marche, mieux vaut opter pour une allure modérée plutôt qu'intense. "Des activités légères comme la marche douce sont généralement recommandées" explique Isabelle Vilarem. Une demi-heure suffit pour disposer de ces bienfaits.
décembre 24, 2024
L'HOMME ET LA VIE ( Comment ne pas trop manger à Noël ? )
Réveillon du 24 décembre, repas du 25, du 26... Les repas de Noël sont une épreuve pour notre système digestif. Or en faisant les bons choix à table, on peut se faire plaisir en profitant de tout sans finir ballonné, lourd et à la limite de la nausée ! Nos conseils.
-Foie gras, dinde, bûche chocolatée... Les repas de Noël sont tout sauf légers. Et plus on avance dans les plats, plus la fatigue digestive se fait sentir avec à la clé, lourdeurs, ballonnements... et même nausée ! Voici les pièges à éviter pour se faire plaisir sans en pâtir.
Règle n° 1 : ne pas sauter sur l'apéritif
Les jours de fêtes, on a tendance à manger light toute la journée afin de se réserver pour le dîner. Résultat : on arrive affamé et, logiquement, on se jette sur les toasts et autres amuse-gueules. Souvent, ils sont très caloriques. Rien que dans 50 grammes de biscuits apéritifs au fromage ou de chips, on trouve déjà 250 calories. Donc on évite ou on se limite à 1 ou 2. Dans un autre genre, méfiez-vous aussi des légumes crus qui, malgré les apparences, sont difficiles à digérer.
Règle n°2 : limiter le pain et les toasts
Avec les huîtres, avec le foie gras, entre les plats pour grignoter, pour saucer, avec le fromage... Le pain est partout. Alors, à la fin du repas, si on ne fait pas attention, ça peut faire mal, d'autant plus si on le tartine allègrement de beurre ou de mayonnaise ! Le pain est plutôt calorique, mieux vaut donc limiter sa consommation.
Règle n°3 : pas (trop) de sauces !
Au menu des plats de réveillon, on trouve souvent des coquillages ou des crustacés. S'ils sont pauvres en lipides, c'est à la condition de ne pas les accompagner de cuillerées de mayonnaise ! Par ailleurs, attention aux sauces servies avec les viandes ou les poissons (béarnaise, au poivre...), elles aussi très riches et très grasses. Préférer un jus de citron sur les poissons et crustacés. Pour les viandes, un filet d'huile d'olive suffit, ainsi que des herbes aromatiques comme le thym, le romarin, le persil ou le basilic, qui facilitent la digestion.
-Règle n°4 : choisir entre fromage et dessert
Le fromage et le dessert étant tous les deux riches en lipides, il est préférable de choisir entre les deux.
Règle n°5 : ne pas manger que des petits fours en dessert
En dessert, mieux vaut prendre un peu moins de petits fours et compléter par un fruit, une clémentine par exemple. Pour la bûche, si vraiment elle vous tente, prenez une petite part en privilégiant (si vous pouvez choisir) celle sans crèmes au beurre. Le mieux si vous le pouvez est de ramener une bûche que vous avez fait vous-même. Ainsi vous contrôlerez mieux les quantités d'ingrédients !
Règle n°6 : pas trop d'eau
C'est bien connu, les repas de fête sont longs et copieux. Alors pour faire passer le tout, on a parfois tendance à boire plus d'eau. Résultat : le ventre gonfle plus vite... De plus, lors de repas copieux, l'eau ralentit la digestion car elle dilue les enzymes digestives et les rend moins efficaces. Il vaut mieux boire entre les repas, de préférence de l'eau gazeuse.
Règle n°7 : éviter les mélanges d'alcool
Champagne en apéritif, vin blanc avec les fruits de mer, vin rouge avec la dinde et le fromage, trou normand, champagne avec le dessert... Si les repas de fêtes sont l'occasion de se faire plaisir gustativement, il faut lever le pied sur les alcools. Outre les dangers liés à une consommation excessive d'alcool (pour la santé, au volant...), il ne faut pas oublier que l'alcool est très calorique : 80 calories dans un verre de vin et 90 calories dans une flûte de champagne. Qui plus est, l'alcool agit sur le foie et ralentit la digestion. Mieux vaut donc boire modérément et éviter les mélanges.
Règle n°8 : manger lentement
Même si le menu est appétissant, il est important de bien prendre le temps de mastiquer car la salive contient des enzymes digestives qui, comme leur nom l'indique, facilitent la digestion des aliments et accélère la sensation de satiété. Il ne faut pas se précipiter sur les aliments et manger lentement.
Règle n°9 : se lever de table de temps en temps
Sortir de table ? Oui ! Pas de remords ce soir-là, n'hésitez pas à vous lever de table régulièrement. La position assise ne favorise pas la digestion et comprime votre estomac, d'autant plus si vous portez des vêtements trop serrés. Faire quelques pas, prendre un peu l'air sur un balcon ou dans le jardin si le temps le permet, vous aidera à vous sentir moins lourd.
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