décembre 31, 2024

L'HOMME ET LA VIE ( Insomnie à 3 heures du matin ? Cette technique japonaise permet de se rendormir rapidement )

Très simple à réaliser et à la portée de tous. -Quasiment 1 Français sur 5 aurait des problèmes d'insomnie, avec à la clé une irritabilité, des difficultés de concentration, de la fatigue et/ou une somnolence en journée. "Pour les moments où vous n'arrivez pas à dormir, je vais partager avec vous un court exercice de respiration qui m'aide quand il est 3 heures du matin et que mon esprit est rempli de pensées absurdes", raconte Sarah Harvey dans son livre "Kaizen : La méthode japonaise du petit pas pour changer toutes ses habitudes" (éd. Hugo New Life). Tout droit venue du Japon, cette technique baptisée "Moon Breathing" ou "respiration lunaire" semble avoir montré son efficacité sur la détente, l'endormissement et les réveils nocturnes. Il s'agit d'un exercice de respiration largement utilisé dans la pratique du yoga depuis des siècles (appelé "chandra bhedana" en sanskrit) pour calmer et favoriser le sommeil. C'est très simple à réaliser et à la portée de tous. Allongé(e) sur son lit, il suffit de fermer les yeux et d'appuyer sur sa narine droite avec son pouce droit. Il faut ensuite inspirer et expirer avec force par la narine gauche pendant 2 à 3 minutes, un peu plus si vous êtes particulièrement stressé(e). "C'est la partie gauche du système nerveux qui est responsable des difficultés d'endormissement. Ainsi, solliciter la narine gauche revient à "entrer en contact" avec la partie gauche du système nerveux et à la "piloter" à distance afin d'accélérer le processus d'endormissement, poursuit l'experte. Cela aide vraiment à concentrer l'esprit et à appuyer sur le bouton de réinitialisation de votre système nerveux." Naturellement, la respiration et le rythme cardiaque vont ralentir, les émotions vont se réguler, vous commencerez à faire le vide dans votre esprit, vous vous sentirez plus détendu(e) et vous allez rapidement vous endormir. -Cet exercice serait particulièrement efficace pour les personnes en dette de sommeil. Une étude menée en 2022 sur des étudiants en médecine a montré que cet exercice de respiration par la narine gauche avait efficacement amélioré la qualité de leur sommeil en seulement 4 semaines. Il n'y a plus qu'à tester ?

L'HOMME ET LA VIE ( Peu calorique et digestive, cette boisson est parfaite après les repas de fêtes )

On peut la boire par exemple 30 minutes après. -L'eau de coco, et non le lait de coco, est le liquide contenu à l'intérieur d'une jeune noix de coco. Le lait, plus épais et onctueux, est lui extrait de la pulpe du fruit. L'eau de coco est une boisson qui gagne à être connue. Elle est très hydratante et moins forte en goût que le lait de coco. L'eau de coco est peu calorique (15,2 kcal pour 100 g) et très peu sucrée (2,48 g pour 100 g). Un repas copieux, lourd ou trop riche en graisses crée de l'acidité gastrique voire des remontées acides. "L'eau de coco est basifiante, elle va donc lutter contre cet excès d'acidité gastrique" explique Sophie Pihan, naturopathe. L'eau de coco participe ainsi à maintenir les fonctions du système digestif en maintenant les sécrétions gastriques à un bon niveau, ces dernières servant à digérer et à assimiler correctement les aliments. "L'eau de coco est idéale après un repas copieux ou un repas de fête. Non grasse, elle favorise la digestion en soutenant les sécrétions gastriques et le mucus digestif. Elle n'accélère pas le transit, même s'il ne faut pas non plus en abuser" prévient Sophie Pihan. L'eau de coco est drainante pour l'organisme. Elle contribue à détoxifier l'organisme, en le débarrassant de manière optimale de ses toxines, notamment produites par les repas copieux des fêtes. "L'eau de coco est réhydratante, or, l'hydratation est la base d'une bonne digestion", rappelle-t-elle. En effet, l'eau de coco est constituée de près de 96 % d'eau. Cette eau est qualifiée d'isotonique, car sa composition est proche de celle du plasma sanguin. Elle est donc facilement assimilée par le corps. L'eau de coco est aussi antibactérienne : l'acide laurique qu'elle contient agit efficacement sur les bactéries, les microbes et les champignons. Boire de l'eau de coco en hiver participe au bon fonctionnement du système immunitaire, essentiel pour lutter contre les infections hivernales. L'eau de coco se trouve facilement dans les grandes surfaces, dans les rayons bio ou directement en magasin bio. "Choisissez une eau UHT et donc pasteurisée et sans sucre ajouté" conseille notre naturopathe. Vous la retrouvez parfois sous le nom de "coco water". -Il n'existe pas de moment idéal pour consommer l'eau de coco. "Elle peut aussi bien être consommée avant le repas, à l'apéritif, ou après le repas pour apporter hydratation et fraîcheur. Dans tous les cas, elle se déguste fraîche ou même à température ambiante et elle est très légère en goût. Vous pouvez éventuellement l'utiliser dans un smoothie avec des fruits rouges surgelés et des bananes. Si vous buvez l'eau de coco sous forme de smoothie, je conseille toutefois d'attendre que la digestion soit bien amorcée, soit 30 à 60 minutes après le repas."

MONDE D'ANIMAL ( Loutre de mer Enhydra lutris )

La loutre de mer (Enhydra lutris) est un mammifère semi-aquatique que l’on trouve proche de certains littoraux du Pacifique Nord. Carnivore, elle se nourrit de différents petits animaux marins. Malheureusement, cet animal est en voie d’extinction. Sommaire Taxonomie de la loutre de mer Caractéristiques physiques de la loutre de mer Performances physiques de la loutre de mer Écologie et répartition de la loutre de mer Régime alimentaire de la loutre de mer Mode de vie de la loutre de mer Reproduction de la loutre de mer Menaces et conservation de la loutre de mer -Caractéristiques physiques de la loutre de mer Taille Longueur : Femelle: 70 à 110 cm / Mâle: jusqu’à 150 cm Environ 30 cm Poids Femelle : 15 à 25 kg Mâle : jusqu’à 35 kg Morphologie et apparence La loutre possède une morphologie idéalement adaptée à l’évolution dans l’eau. Elle possède un corps long et souple, un pelage aérodynamique et isolant, des petites pattes palmées ainsi qu’une queue courte qui lui sert de gouvernail. Ses narines et ses oreilles se ferment hermétiquement lors de la plongée, et elle possède des poumons larges et des yeux, oreilles et narines situées sur le dessus du crâne.Ses griffes rétractiles et ses pattes avant adroites lui permettent de facilement tenir sa nourriture et entretenir sa fourrure. Les poils de son épaisse fourrure varient du brun au noir partout sur le corps, excepté la tête où le pelage est plus clair, généralement beige à blanc. Performances physiques de la loutre de mer Vitesse 30km/h sous l’eau. Apnée / durée de plongée Jusqu’à 5 minutes, mais plus généralement 1 à 2 minutes. Écologie et répartition de la loutre de mer Aire de répartition La loutre de mer vit dans le Pacifique Nord, proche des côtes d’Asie et d’Amérique du Nord. Liste des pays Présent Canada ; Japon ; Mexique ; Fédération de Russie ; États-Unis Habitat La loutre de mer vit proche des côtes et littoraux, dans les forêts de kelp. Régime alimentaire de la loutre de mer Type de régime Carnivore, à dominance piscivore. Nourriture et proies La loutre se nourrit principalement de différents types de poissons, mais également de divers invertébrés marins comme les octopodes (poulpes, calmars, …), les bivalves, les crabes, les étoiles de mer et surtout les oursins. Mode de vie de la loutre de mer Vie sociale Animal sociable, la loutre de mer passe la majorité de son temps dans l’eau avec ses congénères. Elle vit généralement en groupe non mixtes, de 10 à 100 individus en moyenne. Il arrive cependant que certains individus vivent seuls. Comportement Diurne et très joueuse, la loutre de mer passe la majeure partie de sa journée à chasser dans l’eau (bien qu’elle vaque à cette activité généralement à l’aube et au crépuscule) et à entretenir sa fourrure. En effet, la loutre de mer doit garder son épaisse fourrure graissée et rangée correctement pour s’isoler du froid. Cet animal passe le plus clair de son temps dans l’eau : elle ne rejoint pratiquement jamais la terre ferme. L’une des particularités insolites de la loutre est liée à son alimentation. En effet, certaines loutres ont recours, comme certains orangs-outans, à des outils pour se nourrir. Pour ouvrir certains coquillages comme les moules, la loutre casse sa coquille en le frappant contre un caillou, émergé ou qu’elle pose directement sur son ventre. Ce phénomène est extrêmement rare dans le règne animal. Cri et vocalises La loutre de mer crie et pousse des petits sifflements aigus. Territoire 5 km2 environ, selon la quantité de proies disponibles dans son milieu. Technique de chasse Très agile sous l’eau, elle plonge au fond de la mer pour attraper ses proies puis les remonte pour se nourrir. Elle localise précisément ses proies à l’aide de ses moustaches sensibles (vibrisses). Prédateurs Les prédateurs de la loutre de mer sont principalement les gros animaux marins, comme les orques et les requins. Certains rapaces comme les pygargues s’attaquent également parfois à la loutre de mer, lorsqu’elle est sur la terre ferme. Longévité Les loutres de mer femelles possèdent une plus importante espérance de vie que les mâles. Ces animaux vivent en moyenne : Femelle : 15 à 20 ans à l’état sauvage. Mâle : 10 à 15 ans à l’état sauvage. Reproduction de la loutre de mer Type de reproduction Vivipare Habitudes reproductives Polygame Sevrage La jeune loutre de mer est sevrée à 5 mois environ. Maturité sexuelle La loutre de mer est sexuellement mature à : Femelle : 3 à 4 ans. Mâle : 5 à 6 ans. Période de reproduction La loutre de mer ne possède pas de réelle saison des amours, mais les principaux pics de naissance sont observés entre janvier et mars et entre mai et juin. Zone de mise bas / accouplement La loutre de mer s’accouple et met bas dans l’eau. Nombre de petits par portée 1 à 2 loutrons, qui naissent les yeux ouverts. Gestation Entre 4 et 6 mois. Gestation A la naissance, les petits font 1,5 à 2,3 kg. Menaces et conservation de la loutre de mer Danger d'extinction (Statut UICN) La loutre de mer est un animal En danger (EN) selon l’UICN. Population Les populations estimées de chaque sous-espèce de loutre de mer sont les suivantes : La loutre de mer d’Asie : entre 15 000 et 20 000 individus. La loutre de mer d’Alaska : environ 100 000 individus. La loutre de mer de Californie : entre 2000 et 2800 individus. La population mondiale de loutres de mer est actuellement en hausse, après une longue période de déclin entre 1750 et 1900. Menaces Les menaces pesant sur la loutre de mer sont : Perte et dégradation de son habitat : pollution marine, réchauffement climatique, … Perte de ses proies : surpêche. Menaces directes : chasse et braconnage pour sa fourrure.

MONDE D'ANIMAL ( Bonobo Pan paniscus )

Le bonobo (Pan paniscus), aussi appelé chimpanzé nain ou chimpanzé pygmée, est un primate de la famille des Hominidés. On le trouve exclusivement dans les jungles humides en République Démocratique du Congo (Afrique Centrale). Omnivore, il se nourrit principalement de fruits, mais mange également d’autres végétaux et des petits animaux. Sommaire Taxonomie du Bonobo Caractéristiques physiques du Bonobo Performances physiques du Bonobo Écologie et répartition du Bonobo Régime alimentaire du Bonobo Mode de vie du Bonobo Reproduction du Bonobo Menaces et conservation du Bonobo Photos du Bonobo -Taxonomie du Bonobo Classification Règne : Animal Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré Classe : Mammalia Ordre : Primates Famille : Hominidae Genre : Pan Espèce : paniscus Nom scientifique : Pan paniscus Sous-espèces / taxons Aucune sous-espèce de bonobo n’est actuellement reconnue, étant lui même auparavant considéré comme une sous-espèce du chimpanzé commun. L’espèce est donc monotypique. Caractéristiques physiques du Bonobo Taille Taille debout : entre 1,10 et 1,20 m Taille du corps : 70 à 83 cm Les mâles sont en moyenne légèrement plus grands que les femelles. Poids Femelle : 27 à 38 kg (33 kg en moyenne). Mâle : 37 à 61 kg (45 kg en moyenne). Morphologie et apparence Le bonobo est un grand singe qui possède un corps plutôt massif avec de longs membres terminés de mains préhensiles dotées de 5 doigts, un ventre plutôt bombé et une tête arrondie. Comme les autres grands singes, il ne possède pas de queue. Ses oreilles sont larges, ses yeux en amande assez petits et son museau assez allongé. Comme chez l’Homme, les individus vieux sont moins poilus (calvitie notamment) que les plus jeunes. Chez cette espèce, le dimorphisme sexuel est peu marqué. Il ressemble beaucoup au chimpanzé commun, mais est en moyenne un peu plus petit, possède des poils plus longs et une face plus sombre (claire chez Pan troglodytes). A noter également que ses lèvres sont plus roses et l’organe sexuel féminin externe. La majeure partie du corps du bonobo est recouvert d’un pelage peu dense composé de longs poils. La robe est brune très foncée à noire. Seuls ses mains, sa face et son postérieur sont nus. Performances physiques du Bonobo Vitesse Le bonobo peut se déplacer à une vitesse de 40 km/h. Écologie et répartition du Bonobo Aire de répartition Le bonobo est endémique de la République Démocratique du Congo en Afrique. Liste des pays Habitat Le bonobo vit exclusivement dans les forêts tropicales humides (jungles). Régime alimentaire du Bonobo Type de régime Omnivore, principalement frugivore. Nourriture et proies Le bonobo se nourrit principalement (57% de son alimentation) de fruits mûrs, mais mange également diverses plantes (feuilles) et du miel. Il lui arrive aussi de se tourner vers des proies animales, principalement des invertébrés (insectes, vers) mais aussi des poissons, des œufs, des céphalophes et des écureuils volants. Mode de vie du Bonobo Vie sociale Le bonobo est un animal grégaire et très sociable, qui vit en groupes mixtes composés de mâles, de femelles et de jeunes. Les groupes comptent 3 à 6 individus en moyenne (30 dans certaines régions), mais se regroupent parfois en grandes bandes (éphémères) de plus de 100 individus pour se nourrir. Les groupes sont majoritairement guidés et hiérarchisés par les femelles : ce sont elles qui choisissent les déplacements et les zones de nourrissage. Ainsi, ce sont les femelles et non les mâles qui sont chassées du groupe au cours de leur adolescence. Les bonobos font preuve de comportements sociaux fascinants. En plus du toilettage mutuel (surtout réalisé entre mâles et femelles ou entre deux femelles), ils font preuve d’empathie (réconfort à travers des caresses) lorsqu’un individu est blessé/rejeté. Le plus unique est l’utilisation du sexe pour régler les conflits : les pratiques sont très variées (coït, caresses, frottements génitaux) et ont lieu entre des individus de n’importe quel sexe (« pansexualité »). L’utilisation d’un bouc émissaire a également été observée en captivité pour calmer les groupes. Comportement Le bonobo est un animal diurne, qui passe la plupart de sa journée à se déplacer pour trouver de quoi se nourrir et à interagir avec ses congénères (périodes de repos). Arboricole, il grimpe souvent dans les arbres, notamment pour dormir dans un nid qu’il construit. Très intelligents, ces primates utilisent des outils pour se nourrir (baguettes dans les termitières pour attraper des insectes) ou se protéger (lancer des branches sur un adversaire). Habituellement quadripède, il utilise la bipédie pour déplacer des objets ou pour guetter le danger. Communication et vocalises Pour communiquer entre eux, les bonobos utilisent diverses vocalises (cris chez les femelles, aboiements, grognements et « pant-hoot » chez les mâles), pour signaler un danger mais aussi exprimer des émotions (excitation, agression). Les appels sont très variés, pouvant être apparentés à des mots dans notre langage. La communication est également tactile et visuelle, à base de frottements, de caresses et de gestuelles. Territoire Le territoire d’un groupe de bonobos (majoritairement une zone de vie) mesure 14 à 29 km2 en moyenne. Prédateurs Aucune attaque sur les bonobos n’a été observée (excepté celles de l’Homme). Cependant, le léopard et certains grands pythons sont des potentiels prédateurs de ce primate. Longévité L’espérance de vie du bonobo est de : A l’état sauvage : 30 à 40 ans (parfois jusqu’à 50 ans). En captivité : 48 ans environ mais parfois jusqu’à 60 ans. Reproduction du Bonobo Type de reproduction Vivipare Habitudes reproductives Polygame Période de reproduction Les bonobos ne possèdent pas de réelle saison des amours : ils peuvent se reproduire toute l’année. L’accouplement doit cependant avoir lieu pendant les chaleurs de la femelle, durant 10 à 20 jours et qui sont marquées par un gonflement du tissu périnéal. Accouplement Lorsque la femelle est en œstrus, plusieurs mâles du groupe viennent s’accoupler avec elle (excepté ses fils). Maturité sexuelle Le bonobo est sexuellement mature entre 13 et 15 ans. Gestation 230 à 240 jours environ. Nombre de petits La femelle bonobo met bas un seul petit, tous les 5 ans en moyenne. Apparence des petits A la naissance, le petit bonobo pèse environ 1,3 kg et est physiquement assez similaire aux adultes. Sevrage et éducation Le bébé bonobo reste accroché à sa mère pendant plusieurs mois, et est allaité par celle-ci pendant 4 ans, âge auquel celui-ci est sevré. Il devient ensuite indépendant entre 7 et 9 ans. Le statut d’adulte est cependant acquis vers 15 ans : avant cela, il est encore aidé par les membres plus âgés du groupe pour certaines tâches. A l’inverse de la plupart des autres espèces, ce sont les femelles qui se dispersent au cours de l’adolescence. Menaces et conservation du Bonobo Danger d'extinction (Statut UICN) Le bonobo est une espèce En danger (EN) d’extinction selon l’UICN. Population Le nombre de bonobos à l’état sauvage serait compris entre 5 000 et 50 000 individus (peu précis à cause de la guerre). Malgré les efforts de conservation, leur population mondiale est encore en baisse. Menaces Les menaces pesant sur le bonobo sont les suivantes : Déforestation et défrichement pour l’urbanisation et l’agriculture, qui menacent cette espèce en particulier à cause de sa faible aire de répartition. Chasse et braconnage par les locaux, principalement pour leur viande. Mesures de protection et de conservation Le bonobo est une espèce protégée, dont la chasse a été interdite. Deux parcs (seul le premier jusqu’en 2007) participent à une préservation totale de la population de bonobos : le parc national de Salonga et la réserve naturelle de Sankuru.

VOTRE SANTE D'ABORD ( C'est l'aliment qui vous sauvera de la gueule de bois, selon un médecin )

L'idée est de créer une barrière qui ralentit l'absorption de l'alcool dans le sang. -Les réveillons de fin d'année, les anniversaires et autres apéritifs improvisés sont autant d'occasions pour boire une coupe, deux, quelques verres de vin... Bref, trop d'alcool pour le foie, avec une conséquence bien moins festive : la fameuse gueule de bois. Maux de tête, bouche pâteuse, nausées… Autant de désagréments qui gâchent les lendemains de fêtes. Mais un médecin en soins intensifs révèle un aliment bienfaiteur dans ce cas-là. Commençons par les causes de la gueule de bois. En buvant de l'alcool, votre corps subit une déshydratation importante, un épuisement de certaines vitamines essentielles et une accumulation de toxines à mesure que le foie travaille pour métaboliser l'alcool. Ces effets combinés provoquent un retour de bâton. Mais, plutôt que de miser sur des remèdes douteux une fois les symptômes installés, la professionnelle de santé préfère se pencher davantage sur la préparation du corps en amont. À travers une courte vidéo partagée sur les réseaux sociaux, cette praticienne explique qu'un ingrédient peut effectivement jouer un rôle de protection en "tapissant" l'estomac. L'idée est simple : créer une barrière qui ralentit l'absorption rapide de l'alcool dans le sang. -L'aliment en question est riche en protéines, en graisses et en glucides complexes, soit des éléments clés pour aider à maintenir un équilibre dans le métabolisme. Autrement dit, en stimulant le foie avant la consommation d'alcool, ce dernier permet de réguler l'élimination des toxines et limiter les dommages collatéraux. Résultat ? Une réduction des symptômes, voire leur disparition dans certains cas. Toutefois, pour que cette stratégie fonctionne, il est essentiel de consommer cet aliment avant de boire. Un réflexe que vous pourrez aisément adopter puisqu'on parle ici du fromage, et plus précisément du fromage cru. À pâte dure, à pâte molle ou même bleu, l'important est de choisir une variété de qualité pour maximiser les bienfaits. -Bien entendu, il ne s'agit pas d'un remède miracle. Aucune méthode ne peut annuler les effets dommageables de la consommation d'alcool sur les organes et ne peut justifier d'en boire davantage sous peine de moins en pâtir le lendemain. Disons que c'est plus une bonne astuce à connaître en prévision des soirées exceptionnellement plus arrosées que d'habitude pour la fin d'année. Et, comme le souligne le médecin, on n'oublie jamais que la modération demeure la meilleure alliée.

MONDE D'ANIMAL ( Quels sont les 8 animaux les plus dangereux en France ? )

La France n'est pas connue pour abriter des animaux particulièrement dangereux. Et pourtant... Frelon asiatique, veuve noire, scolopendre, voici 8 animaux qu'il ne faut pas sous-estimer. -Le frelon asiatique Parmi les quelques 400 espèces invasives recensées en France se trouve le frelon asiatique (Vespa velutina nigrithorax). Ces insectes d'environ 2 cm sont une menace pour les abeilles domestiques. Lorsqu'ils découvrent une ruche, ils attaquent les occupantes, les décapitant avec leurs mandibules, n'emportant que le thorax, riche en protéines. Mais sa piqûre est également particulièrement douloureuse pour les humains. De nombreuses personnes sont piquées chaque année, et certaines en décèdent même. ⋙ Des chercheurs ont trouvé un nouveau moyen de lutter contre la prolifération des frelons asiatiques La veuve noire d'Europe Son nom suffit à faire frémir les arachnophobes : la veuve noire d'Europe. Aussi appelée "Malmignatte" ou "veuve noire méditerranéenne", cette petite araignée noire est reconnaissable à ses 13 points rouges sur l'abdomen. On la trouve en France sur tout en Corse, dans le Sud, et le long de la façade Atlantique. -Elle doit son sinistre nom au fait que les femelles, qui mesure en moyenne 1,5 cm, mangent les mâles, plus petits, après l'accouplement. A cela s'ajoute le fait que ses cousines australienne et américaines sont extrêmement dangereuses, leurs piqûres pouvant être mortelles. La veuve noire d'Europe, elle, est moins dangereuse. Sa piqûre n'est en effet pas mortelle, mais peut malgré tout entrainer de gros problèmes de santé si elle n'est pas soignée. ⋙ Quelles sont les araignées les plus dangereuses ? La vipère Les principales espèces que l’on retrouve en France sont la vipère aspic, la vipère Péliade, la vipère d’Orsini et la vipère des Pyrénées (de Seoane). La morsure de ce serpent, bien que rarement mortelle (environ un décès par an), doit obligatoirement conduire la personne attaquée à se rende à l’hôpital, et ce même si la vipère n’a pas éjecté de venin (on parle alors de "morsure blanche"). Une injection d’anti-venin peut être réalisée. ⋙ Comment réagir face à un serpent ? La tique La tique est en train de gagner du terrain. Alors que l'on avait le plus de risques de se faire piquer dans les forêts, les zones boisées et humides, et les herbes hautes des prairies, le risque est désormais également présent dans les jardins publics et privés. Problème, l'acarien s'attaque aussi bien aux animaux qu'aux humains, et peut être porteur de maladies. La plus connue est la maladie de Lyme. Ce sont ainsi 15% des tiques qui sont porteuses de la bactérie responsable de cette maladie. Afin d'éviter d'être mordu, il existe quelques conseils simples à appliquer : porter des vêtements clairs et couvrants, des chaussures fermées, ne pas aller dans les hautes herbes, s'asseoir sur une couverture plutôt que directement dans l'herbe, et examiner régulièrement ses vêtements.\ -Le moustique Il est le cauchemar de nos étés : le moustique ! Le moustique "traditionnel" vient bourdonner à notre oreille durant la nuit, quand le moustique tigre, lui, est silencieux, et diurne. Et gare à lui. En plus de vous donner des boutons qui démangent, le moustique tigre (Aedes Albopictus) est particulièrement dangereux car il peut être vecteur de virus comme le chikungunya, le Zika ou la dengue. ⋙ Peau à moustique : par quoi les moustiques sont-ils attirés ? La vive Si la grande vive vit dans les eaux profondes, ce n'est pas le cas de la petite vive (Echiichthys vipera). Ce poisson, qui mesure de 10 à 18 cm, a élu domicile le long de nos côtes, dans le sable, tout près du rivage. Le problème, c'est que la petite vive possède une arme redoutable : des épines venimeuses sur sa nageoire dorsale. Malheur au baigneur qui aurait la malchance de lui marcher dessus. Bien que généralement non mortelle, sa piqûre est extrêmement douloureuse et doit être traitée. Parmi les effets liés au venin, on retrouve les nausées, de sévères maux de tête, des palpitations, de la fièvre, et des vertiges. Le venin étant thermolabile, il faut rapidement appliquer du chaud sur la zone atteinte. ⋙ Les animaux de mer les plus dangereux Le requin S'il est rare de voir des requins en France métropolitaine, ils sont en revanche nombreux dans les Outre-mer. Il est ainsi possible de rencontrer plusieurs espèces dans les Antilles : le mako, le requin-tigre et le requin-bouledogue. Les attaques y sont rarissimes. Elles sont en revanche plus fréquentes à l'Île de La Réunion. Les cinq espèces de requins considérées comme dangereuses pour l’homme y sont présentes, avec de plus grandes probabilités de croiser un requin-bouledogue ou un requin-tigre, qui évoluent proche des côtes. Plus au large se trouveront le requin mako, le requin longimane et le grand requin blanc, qui préfèrent des eaux plus profondes ou tempérées. La majorité des attaques concernent les surfeurs. La scolopendre Issue de la même famille que les mille-pattes et les cloportes, la scolopendre est un arthropode, plus précisément un chilopode, appelée la « bête à mille pieds » en Guadeloupe. On la trouve aussi bien dans les Antilles que le sud de la France métropolitaine. -Elle possède deux crochets sous la tête et des glandes à venin juste en-dessous de ses mâchoires pour mieux mordre les insectes qu'elle dévore. Mieux vaut ne pas la déranger car la scolopendre attaque quand elle se sent en danger. Les conséquences peuvent être graves, selon la zone mordue, ou si la "victime" est un enfant. La morsure est très douloureuse, et peut provoquer un œdème.

MONDE D'ANIMAL ( Une étude révèle pourquoi et comment les singes révèlent instantanément les serpents )

Les singes, tout comme certains autres primates, possèdent une capacité fascinante : ils détectent et réagissent aux serpents en un éclair. Cette aptitude intrigante, mise en lumière par une étude scientifique récente, pourrait être la clé de leur survie dans des environnements hostiles. L'étude explore les mécanismes cérébraux et les facteurs évolutifs qui expliquent cette réaction instantanée face à l'un des prédateurs les plus redoutés dans le règne animal. Pourquoi les singes perçoivent-ils les serpents si rapidement ? L'hypothèse du "serpent comme moteur de l'évolution cognitive" Un prédateur silencieux et dangereux : Contrairement à d'autres prédateurs plus visibles, les serpents se camouflent parfaitement dans l Une menace constante dans leur habitat : Les serpents venimeux représentent une menace mortelle Un stimulus visuel particulier : Les motifs et les mouvements des serpents activent des zones Les mécanismes cérébraux à l'œuvre L'étude révèle que les singes peuvent avoir une sensibilité accrue aux serpents grâce à des zones spécifiques. Le système visuel rapide : Les singes sont capables de détecter des L'amygdale : Cette st Le cortex préfrontal : Associé à la prise de décision rapide, il permet aux singes de décider instantanément de fuir, Comment les singes apprennent à reconnaître les serpents Bien que cette réaction soit en partie instinctive, les si L'apprentissage social : Les jeunes singes observent les adultes réagissent aux serpents et imitent leur comportement. L'expérience directe : Les rencontres avec des s La mémoire visuelle : Les primates se rappellent les formes, les couleurs et le comportement Les implications évolutives de cette capacité La capacité à reconnaître instantanément les serpents à façonné l'évolution des primates : Développement de la vision en couleurs : Cette aptitude aide à distinguer l Renforcement des réflexes de survie : Les singes les plus aptes à identifier les serpents ont plus de chances de survivre et de transmettre leurs gènes. Impact sur la vie sociale : Les crises d'alerte émises en présence d'un serpent renforcent les liens entre les membres du groupe et augmentent leur sécurité collective. Leçons pour les humains : Une peur ancestrale des serpents ? Les humains, descendants des primates, partagent cette sensibilité accumulée envers les serpents. La peur des serpents, souvent auberge Sensibilité aux formes sinueuses : Même les jeunes enfants, sans exposition préalable aux serpents, montrent une attention particulière à leur forme. Réactions émotionnelles fortes : La vue d'un serpent actif également l'amygdale chez l'homme, provoquant une réaction d Conclusion : Une évolution dictée par les prédateurs L'étude confirme que la relation entre les primates et l Pour les primates, comme pour les humains, les serpents ne sont pas simplement des animaux ; ils représentent une force évolutive majeure, ayant influencé non seulement la survie, mais aussi le développement de compétences cognitives avancées. Cette découverte ouvre de nouvelles perspectives sur l'importance des prédateurs dans l'évolution des espèces.

décembre 29, 2024

VOTRE SANTE D'ABORD ( La "recette flash" pour ne pas attraper la grippe : "Il faut la partager le plus possible" )

C'est le secret d'un expert en santé naturelle. -Chaque année, la grippe met à plat de nombreuses personnes. Cette infection respiratoire est très contagieuse et se transmet facilement à travers les gouttelettes de salive porteuses du virus et émises dans l'air lorsqu'une personne parle, tousse ou éternue. D'où l'intérêt d'adopter les gestes barrières pour s'en protéger : se laver les mains régulièrement, porter un masque dans les lieux bondés, rester à distance des personnes malades, aérer sa maison, tousser ou éternuer dans son coude... Pour éviter de tomber malade, "n'oubliez pas, agissez rapidement avant même que la grippe vous frappe ou au moindre doute. Pour cela, il faut avoir sous la main les bonnes huiles essentielles", recommande le biochimiste Bruno Riotte dans son livre "Mon Guide Huiles Essentielles". En cas d'épidémie de grippe ou si vous avez quelqu'un de malade chez vous, "la petite astuce est de diffuser chez vous un mélange d'huiles essentielles composé de Ravensare, de Citron, de Niaouli et d'Eucalyptus radié". Cette "recette flash", il faut la partager, insiste le biochimiste car elle permet de se protéger, d'épargner sa famille et de ne plus avoir peur d'une épidémie de grippe. L'huile essentielle de Niaouli est un puissant désinfectant, elle est anti-infectieuse, antibactérienne et antivirale. L'huile essentielle d'Eucalyptus radié est la spécialiste des épidémies virales et des maladies de l'hiver. L'huile essentielle de Citron est incontournable pour assainir l'air ambiant en prévention des pathologies hivernales. Enfin, il ne faut pas confondre l'huile essentielle de Ravensare et celle de Ravintsara. Les deux ont des propriétés antivirales mais la Ravintsara est davantage utilisée en cas de contamination à la grippe (pour soulager les symptômes) tandis que la Ravensare est davantage utilisée en prévention car elle est immunostimulante, autrement dit elle booste le système immunitaire. -Même en diffusion, l'usage des huiles essentielles n'est pas sans danger. Cette synergie de 4 huiles essentielles est à éviter en présence d'enfants de moins de 6 ans, de femmes enceintes ou allaitantes. De même, la diffusion d'huiles essentielles doit se faire pendant 10-15 minutes par précautions.

L'HOMME ET LA VIE ( Selon une étude, la majorité des fruits non-bio contiennent des traces de produits dangereux )

Selon une étude de l'ONG Générations futures, près de 62 % de fruits et légumes non bio analysés contenaient au moins un résidu de pesticide détecté (80 % des fruits, 48 % des légumes), selon 1 996 échantillons de 35 aliments issus des dernières données du plan de surveillance nationale des aliments (direction générale de la Concurrence (DGCCRF) et direction générale des douanes (DGCCI)). Quelque 137 substances actives différentes ont été retrouvées. En particulier, 56 % de fruits non bio et 23 % de légumes non bio présentaient au moins un résidu de pesticide classé cancérigène ou mutagène ou reprotoxique (CMR), selon ce rapport. "En aucun cas (le rapport) ne prétend évaluer le risque posé par ces résidus", qui nécessiterait de connaître le degré d'exposition, les volumes etc., souligne l'ONG. -Perturbateurs endocriniens et polluants éternels L'analyse prend en compte les substances CMR avérées, supposées ou suspectées par les classifications européennes des substances chimiques (CLP), les classifications de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) de l'OMS. Par ailleurs 67 % des fruits contenaient au moins un résidu de pesticide perturbateur endocrinien (PE), et 32 % des légumes. Le rapport considère comme PE les substances classées comme telles par l’EFSA, par une étude d’impact menée en 2016 par la Commission européenne, auxquelles s'ajoutent cinq autres pointées du doigt par le réseau d'ONG spécialisées PAN Europe. Enfin, 34 % des fruits et 21 % des légumes testés contenaient au moins un résidu de pesticide PFAS, polluants dits "éternels" car peu dégradables dans l'environnement. Selon une étude, la majorité des fruits non-bio contiennent des traces de produits dangereux Les fruits que nous consommons quotidiennement sont souvent perçus comme des alliés incontournables pour notre santé. Cependant, une récente étude soulève des inquiétudes concernant les résidus de pesticides présents dans les fruits issus de l’agriculture conventionnelle. Ce rapport met en lumière une réalité troublante : la majorité des fruits non-bio contiendraient des traces de produits chimiques potentiellement nocifs pour la santé humaine et l’environnement. Une présence alarmante de pesticides dans les fruits non-bio L’étude, menée par un groupe de chercheurs spécialisés en toxicologie alimentaire, a analysé plusieurs échantillons de fruits vendus dans les grandes surfaces. Les résultats sont préoccupants : 85 % des échantillons testés contenaient des traces détectables de pesticides. Parmi eux, 60 % présentaient des niveaux de résidus proches ou dépassant les seuils de sécurité recommandés. Certains fruits, comme les pommes, les fraises et les raisins, étaient les plus contaminés, souvent en raison des traitements intensifs utilisés pour leur culture. Quels sont les produits chimiques détectés ? Les chercheurs ont identifié plusieurs substances chimiques utilisées comme pesticides, dont : Les néonicotinoïdes : Connus pour leur impact négatif sur les populations d’abeilles, ils sont également suspectés d’avoir des effets neurotoxiques sur l’homme. Les fongicides : Fréquemment utilisés pour prévenir les maladies des fruits, mais certains sont associés à des perturbations endocriniennes. Les herbicides comme le glyphosate : Bien que controversé, il reste largement utilisé et a été détecté sur plusieurs fruits. Ces produits chimiques peuvent s’accumuler dans l’organisme sur le long terme, augmentant les risques de maladies chroniques comme le cancer, les troubles hormonaux et les problèmes neurologiques. Les impacts sur la santé humaine La consommation régulière de fruits contenant des résidus de pesticides peut avoir des conséquences néfastes : Chez les enfants : Plus vulnérables, ils peuvent souffrir de retards de développement et de troubles cognitifs. Chez les adultes : Les pesticides augmentent le risque de cancers, d’infertilité et de maladies neurodégénératives comme Parkinson. Chez les femmes enceintes : Une exposition prolongée peut nuire au développement du fœtus et entraîner des complications à la naissance. L’agriculture biologique, une alternative plus sûre ? Les fruits biologiques, cultivés sans pesticides chimiques de synthèse, représentent une solution pour réduire l’exposition aux produits dangereux. Bien que le bio ne garantisse pas une absence totale de résidus (en raison de contaminations croisées), les niveaux de pesticides y sont nettement inférieurs. Avantages des fruits bio : Moins de risques pour la santé humaine. Protection de l’environnement grâce à des pratiques agricoles respectueuses des écosystèmes. Meilleure préservation des sols et des ressources en eau. Que peut-on faire pour limiter les risques ? En attendant une régulation plus stricte de l’utilisation des pesticides, voici quelques recommandations pour les consommateurs : Privilégier les fruits bio : Lorsque cela est possible, optez pour des produits certifiés biologiques. Laver les fruits soigneusement : Bien que cela ne supprime pas tous les résidus, un nettoyage approfondi réduit leur présence. Éplucher les fruits : Cela élimine une partie des pesticides concentrés dans la peau, mais peut également réduire l’apport en nutriments. Diversifier l’alimentation : Évitez de consommer en excès un seul type de fruit pour limiter l’exposition répétée à un même pesticide. Conclusion : Un enjeu pour la santé publique et l’environnement Les résultats de cette étude rappellent l’importance de repenser nos modes de production alimentaire. La présence généralisée de pesticides dans les fruits non-bio pose un problème majeur pour la santé publique et la biodiversité. Encourager les pratiques agricoles durables et sensibiliser les consommateurs aux risques liés aux résidus chimiques est une étape essentielle pour protéger les générations futures. Adopter une alimentation plus responsable, en intégrant davantage de fruits biologiques et locaux, est un pas vers une meilleure santé et un environnement plus sain.

MONDE D'ANIMAL ( Lion Panthera leo )

Le lion (Panthera leo) est un grand félin que l’on trouve dans divers déserts et savanes d’Afrique ainsi que dans quelques rares forêts tropicales sèches en Asie. Carnivore, il se nourrit de toutes les proies qu’il trouve. Malheureusement, cet animal emblématique de l’Afrique est en voie de disparition. Sommaire Taxonomie du lion Caractéristiques physiques du lion Performances physiques du lion Écologie et répartition du lion Régime alimentaire du lion Mode de vie du lion Reproduction du lion Menaces et conservation du lion Photos du lion -Taxonomie du lion Classification Règne : Animal Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré Classe/infra-classe : Mammifère placentaire Ordre : Carnivore féliforme Famille : Félin panthériné Genre : Panthera Espèce : leo Nom scientifique : Panthera leo Sous-espèces / taxons On compte aujourd’hui 2 sous-espèces de lion : Liste des sous-espèces Lion d’Afrique (Panthera leo leo) Lion d’Asie (Panthera leo persica) Le lion d’Afrique était auparavant caractérisé par 7 sous-espèces : Lion de l’atlas Lion du cap Lion du Sénégal Lion du Nord-Est du Congo Lion des Massais Lion du Katanga Lion du Transvaal Caractéristiques physiques du lion Taille Longueur : Femelle : 1,58 à 1,92 m / Mâle : 1,72 m à 2,5 m (queue non comprise). Garrot: 1 à 1,50 m Queue: 90 cm en moyenne. Crâne: 27 à 42 cm de long. Canines: 6 cm La taille des lions est variable selon la sous-espèce : le lion d’Afrique est plus grand en tout point que le lion d’Asie. Poids Femelle : 83 à 168 kg Mâle : 145 à 225 kg (le plus lourd jamais pesé pesait 313 kg). Le poids des lions est variable selon la sous-espèce : le lion d’Afrique est plus lourd que le lion d’Asie. Morphologie et apparence Le lion est un grand félin carnivore possédant un corps similaire à celui du chat en bien plus grand. Il possède une silhouette imposante mais élancée, des épaules musclées, un dos arqué, une longue queue terminée par un plumeau, des pattes puissantes (terminées de coussinets) et une tête et un museau allongés. Il est facilement reconnaissable par sa crinière dense, que seuls les mâles possèdent. Ses oreilles sont arrondies, ses griffes puissantes et rétractiles et ses crocs acérés. Les yeux du lion sont jaunes et lui permettent, comme tous les félins, de voir la nuit. Sa langue est très râpeuse, munie de sortes de “piquants”. Le lion possède un pelage allant du beige jaune au brun clair. Sa crinière et le bout de sa queue sont plus foncés, allant du brun foncé au noir. Il arrive également d’observer des lions blancs : il ne s’agit pas d’une autre sous-espèce, mais simplement de lions possédant une dépigmentation. Performances physiques du lion Vitesse Les lions (surtout les lionnes) peuvent courir jusqu’à 60 km/h. Saut Le lion peut sauter jusqu’à 3,70 m sans élan, 11 m avec élan. Écologie et répartition du lion Aire de répartition Le lion vit dans quelques pays d’Afrique (subsaharienne) et d’Asie. Liste des pays Présent Afrique du Sud ; Angola ; Bénin ; Botswana ; Burkina Faso ; Cameroun ; Congo ; République Centrafricaine ; République Démocratique du Congo ; Eswatini ; Éthiopie ; Inde ; Kenya ; Malawi ; Mozambique ; Namibie ; Niger ; Nigeria ; Ouganda ; Sénégal ; Somalie ; Sud-Soudan ; Tanzanie ; Tchad ; Tanzanie ; Zambie ; Zimbabwe Potentiellement éteint Côte d’Ivoire ; Ghana ; Guinée ; Guinée-Bissau ; Mali ; Rwanda ; Togo Éteint Afghanistan ; Algérie ; Burundi ; Congo ; Djibouti ; Egypte ; Erythrée ; Gabon ; Gambie ; Iran ; Irak ; Israël ; Jordanie ; Koweït ; Liban ; Lesotho ; Libye ; Mauritanie ; Maroc ; Pakistan ; Arabie Saoudite ; Sierra Leone ; Syrie ; Tunisie ; Turquie ; Sahara Occidental Habitat Le lion vit dans les savanes et les déserts en Afrique, dans les forêts tropicales sèches en Asie. Régime alimentaire du lion Type de régime Uniquement carnivore (super prédateur). Nourriture et proies Animal imposant et assez rapide, le lion se nourrit de nombreux animaux qu’il trouve dans son habitat naturel. Il chasse ainsi principalement divers bovidés, comme les antilopes de toutes tailles (gnous, oryx, élands, …), ainsi que les zèbres, les buffles, les phacochères, les girafes et les lapins. Il arrive également que les lions s’attaquent à des proies bien plus grosses, comme les rhinocéros noirs, les rhinocéros blancs, les éléphants d’Afrique ou les hippopotames. Mode de vie du lion Vie sociale Contrairement à la grande majorité des autres félins, les lions sont des animaux sociables et grégaires. Ils vivent généralement dans des grands groupes mixtes de 3 à 30 individus, composés de femelles de la même famille, de mâles non apparentés aux femelles et de leurs petits (lionceaux). Les individus d’un groupe font preuve d’une grande sociabilité : les lionceaux sont aussi bien allaités par leur mère que par les autres lionnes de la troupe. Leur troupe est composée d’un mâle dominant, qui chasse les jeunes mâles du groupe une fois la majorité sexuelle atteinte. Cela lui permet de garder les femelles pour lui, mais également d’éviter la consanguinité. Une fois les mâles chassés, il arrive qu’ils s’allient pour survivre et être plus forts. Ils essaieront ensuite de trouver un autre groupe mixte, et tenteront de chasser les vieux mâles dominants pour prendre leur place. Cela donne lieu à de violents combats, souvent à mort. Si les nouveaux arrivants gagnent, ils tueront les petits de leurs prédécesseurs pour pouvoir se reproduire au plus vite avec les femelles, afin de s’assurer une descendance. Les vieux mâles chassés meurent dans la plupart des cas, affaiblis par le combat et pas habitués à chasser. Animaux territoriaux, les troupes de lions possèdent des territoires délimités, qu’ils marquent avec leur urine, leurs selles et d’autres déjections contenues dans les glandes de leurs pattes. Comportement Le lion est un animal crépusculaire : il chasse principalement au crépuscule ou à l’aube, moment où sa bonne vision nocturne couplée à la fraîcheur de l’air lui donnent l’avantage. La journée, il passe le plus clair de son temps à l’ombre d’un arbre à se reposer. En effet, les lions sont inactifs près de 20 heures par jour, dont 10 à 15 heures sont réservées pour la sieste. Au sein d’un groupe, ce sont les lionnes qui s’occupent de la chasse, plus discrètes et rapides que les mâles. Le mâle dominant veille de son côté à protéger son territoire et sa progéniture des hyènes et des autres lions mâles. Cri et vocalises Le lion rugit ou feule. Il lui arrive aussi de ronronner et miauler. Il utilise ses différentes vocalises pour faire passer des messages divers : appel de femelle, indication de présence, message d’attaque. Prédateurs Le lion adulte ne possède pas de prédateur, mais est en compétition avec les hyènes. Les petits sont quant à eux vulnérables aux hyènes tachetées et aux léopards. Technique de chasse Le lion est un des seuls félins qui chasse, la plupart du temps, en groupe. Ce sont généralement les femelles qui s’occupent de la chasse, les mâles étant trop lourds et pas assez rapides pour être réellement performants. Si un mâle vit seul, il se nourrit d’ailleurs principalement de charognes. Comme la plupart des autres fauves en revanche, le lion chasse à l’affût, principalement aux heures fraîches de la journée (crépuscule et nuit) qui, couplées avec leur excellente vision nocturne, leur donne un avantage sur leur proie. Les lionnes s’approchent discrètement au plus près de l’animal pour maximiser leurs chances de réussite, puis se jettent vers lui. Elles le poursuivent sur d’assez courtes distances, et tentent de l’encercler pour lui sauter sur le dos. Grâce à leurs griffes taillées pour la chasse, les lionnes s’accrochent à la peau de la proie sans que celle-ci ne puisse vraiment s’échapper. Elles la tuent ensuite à coups de puissantes morsures à la gorge. Si cette technique n’est pas infaillible, il est rare de voir une proie sortir totalement indemne d’un combat avec des lions, perdant souvent sa queue, une oreille ou de la chair dans l’affrontement. Longévité L’espérance de vie du lion est de : A l’état sauvage : 12 à 14 ans en moyenne, parfois jusqu’à 20 ans. En captivité : 20 ans en moyenne, jusqu’à 29 ans. Reproduction du lion Type de reproduction Vivipare Habitudes reproductives Polygame Sevrage Le jeune lion est sevré à l’âge de 6 mois. Maturité sexuelle Le lion est sexuellement mature entre 3 et 4 ans en moyenne. Période de reproduction Le lion ne possède pas de réelle saison des amours : le mâle peut se reproduire toute l’année, la femelle 3 mois par an. Lieux de mise bas Dans les fourrés. Nombre de petits par portée La lionne met bas à 1 à 4 lionceaux. Gestation 4 mois. Taille et poids des petits 1,1 kg à 1,37 kg à la naissance. Menaces et conservation du lion Danger d'extinction (Statut UICN) Le lion est un animal Vulnérable (VU) selon l’UICN. Population Selon les estimations on compterait 16 500 à 30 000 lions à l’état sauvage, dont seulement 200 à 300 en Asie. La population mondiale de lions est actuellement en baisse. Menaces Les menaces pesant sur le lion sont : Perte et dégradation de son habitat : urbanisation, réchauffement climatique, … Menaces directes : chasse au trophée et braconnage pour sa fourrure, ses dents/par peur.

MONDE D'ANIMAL ( Kangourou géant Macropus giganteus )

Le kangourou géant (Macropus giganteus) est un grand mammifère marsupial, le plus grand marsupial au monde. On le trouve dans certaines prairies et forêts humides et broussailleuses australiennes. Herbivore, il se nourrit principalement d’herbes. Sommaire Taxonomie du kangourou géant Caractéristiques physiques du kangourou géant Performances physiques du kangourou géant Écologie et répartition du kangourou géant Régime alimentaire du kangourou géant Mode de vie du kangourou géant Reproduction du kangourou géant Menaces et conservation du kangourou géant Photos du kangourou géant -Taxonomie du kangourou géant Classification Règne : Animal Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré Classe : Mammifère marsupial Ordre : Diprotodonte Famille : Macropodidé Genre : Macropus Espèce : Giganteus Nom scientifique : Macropus giganteus Sous-espèces / taxons Il existe 2 sous-espèces de kangourou géant, habitant deux zones différentes d’Australie : Kangourou géant d’Australie continentale (Macropus giganteus giganteus) au Queensland, Victoria, Nouvelle Galle du Sud, et au sud-est de l’Australie du Sud. Kangourou géant de Tasmanie (Macropus giganteus tasmaniensis), endémique de la Tasmanie. Caractéristiques physiques du kangourou géant Taille Corps : 1,50 à 1,80 m Queue : 1 à 1,20 m Poids Femelle : 17 à 40 kg Mâle : 50 à 66 kg Morphologie et apparence Le kangourou géant est un grand animal bipède, qui possède un grand corps (et une musculature dessinée chez les mâles), de grandes pattes arrière très puissantes, une très longue queue et des pattes avant plutôt courtes, terminées de “mains” noires. Son museau est allongé, ses yeux assez grands et noirs, ses oreilles grandes et ovales et sa truffe noire. Comme les autres marsupiaux, il possède une poche ventrale où il élève son petit. Son pelage épais est gris foncé pratiquement partout, sauf son ventre, son cou et une sorte de collier qui sont blancs à crème. Performances physiques du kangourou géant Hauteur du saut Excellent sauteur, le kangourou peut faire des bonds jusqu’à 9 mètres de haut. Écologie et répartition du kangourou géant Aire de répartition Le kangourou géant est endémique d’Australie, principalement l’est du continent ainsi que la Tasmanie, en Océanie. Liste des pays Habitat Le kangourou géant vit dans les savanes tropicales, les plaines tempérées, les zones broussailleuses (maquis ou bush) et les forêts tempérées humides. Régime alimentaire du kangourou géant Type de régime Essentiellement herbivore. Nourriture et proies Le kangourou géant est un brouteur, qui se nourrit principalement d’herbes. Il lui arrive également de manger certains fruits, noix, graminées et fleurs. Mode de vie du kangourou géant Vie sociale Le kangourou géant est un animal grégaire, qui vit essentiellement en petits groupes de 3 à 10 individus. Ces groupes sont généralement composés d’un mâle dominant, ainsi que de quelques femelles et leurs petits et de jeunes mâles. La journée, les plus petits groupes se regroupent en plus grands troupeaux pour brouter et se reposer, étant alors moins vulnérables aux prédateurs. Ces animaux ne sont pas territoriaux, les mâles se battant cependant parfois pour les femelles. Comportement Animal nocturne et crépusculaire, le kangourou géant passe le plus clair de son temps à se nourrir. Lors des heures chaudes de la journée, il se repose à l’ombre d’un arbre ou dans la végétation. Cri et vocalises Afin de communiquer avec ses congénères, le kangourou géant émet parfois des gloussements et une toux rauque. Territoire Le territoire d’un groupe de kangourous géants s’étend sur 42 km2 environ. Prédateurs De par sa grande taille, le kangourou géant possède peu de prédateurs (en dehors de l’Homme). Seul le dingo peut s’attaquer à lui, mais chasse principalement les individus malades, âgés ou jeunes. Longévité L’espérance de vie du kangourou géant est de : A l’état sauvage : 7 à 10 ans environ (bien que certaines études donnent 15-20 ans). En captivité : 18 à 20 ans, jusqu’à 25. Reproduction du kangourou géant Type de reproduction Vivipare, avec éducation dans la poche marsupiale. Habitudes reproductives Polygame Sevrage Le jeune kangourou géant reste environ 300 jours dans la poche de sa mère. Il est totalement indépendant et quitte sa mère à l’âge de 18 mois environ. Maturité sexuelle Le kangourou géant est sexuellement mature à : Femelle : 1,5 à 2 ans environ. Mâle : 2 ans. Période de reproduction La saison des amours du kangourou géant a lieu du printemps au début de l’été. Nombre de petits par portée La femelle kangourou géant donne naissance à 1 joey, environ tous les 1,5 à 2 ans. Gestation 30 à 38 jours. Menaces et conservation du kangourou géant Danger d'extinction (Statut UICN) Le kangourou géant est une Préoccupation Mineure (LC) selon l’UICN. Population On compte environ 11,4 millions de kangourous géants à l’état sauvage (2010). La population mondiale de kangourous géants est actuellement stable. Menaces Les menaces pesant sur le kangourou géant sont : Menaces directes : chasse et braconnage.

décembre 28, 2024

L'HOMME ET LA VIE ( Comment créer un environnement de travail collaboratif et inclusif )

Créer un environnement de travail collaboratif et inclusif est fondamental pour améliorer la motivation et renforcer l'esprit d'équipe. Avec des initiatives simples mais efficaces, chaque entreprise peut instaurer des pratiques pour que chacun se sente valorisé et encouragé à participer pleinement. Voici quelques actions concrètes pour transformer votre culture d'entreprise et créer un cadre où tout le monde se sent chez soi. Promouvoir une communication ouverte Un environnement où chacun peut s'exprimer librement favorise l'écoute et la confiance. Une communication ouverte, bienveillante et sans jugement est essentielle pour créer une culture inclusive. Voici quelques idées pour encourager cette communication : Instaurer des réunions de feedback : établir un moment régulier où chacun peut donner son avis de manière constructive. Créer des canaux d'échange informels : groupes de discussions dédiés sur les réseaux internes ou pauses-café hebdomadaires renforcent les liens. Former à l'écoute active : des formations pour encourager l'écoute attentive et l’empathie peuvent transformer la dynamique des équipes. Chez Gymlib, ces pratiques sont déjà intégrées pour permettre à chaque membre de l’équipe de s'exprimer et de contribuer, en créant un environnement d’écoute et de partage. Encourager la diversité et l'inclusion La diversité et l'inclusion ne doivent pas rester de simples concepts, mais se traduire par des actions concrètes. Cela implique de recruter de manière inclusive tout en veillant à adapter les espaces de travail pour que chacun se sente valorisé. Les entreprises peuvent renforcer cet engagement en sensibilisant les équipes aux préjugés à travers des formations sur les biais inconscients, créant ainsi un cadre respectueux et ouvert à tous. Il est également important de prévoir des espaces adaptés, comme des lieux de prière ou de méditation, afin de favoriser le bien-être et le sentiment d’appartenance. Enfin, rendre les locaux accessibles aux personnes à mobilité réduite ou en situation de handicap montre un véritable engagement en faveur de l’inclusion. Offrir des opportunités d'apprentissage et de développement Une équipe qui apprend ensemble est une équipe qui collabore mieux. Offrir aux collaborateurs des occasions d’acquérir de nouvelles compétences renforce leur implication. Cela peut inclure des sessions de formation collective, ou encore un programme de mentorat pour favoriser le partage d’expertise entre collègues. Ces formations peuvent être aussi bien professionnelles que personnelles, intégrant par exemple des activités de bien-être – comme celles proposées par Gymlib pour aider les collaborateurs à se détendre, se ressourcer, et maintenir leur équilibre de vie. Valoriser les réussites collectives Pour renforcer l’esprit d’équipe, il est essentiel de valoriser les succès collectifs et de les célébrer. Un cadre de travail où l’on récompense les efforts communs incite les équipes à collaborer davantage. Quelques initiatives simples permettent de mettre en valeur le travail de groupe : Célébrer les réussites en équipe : prévoyez des moments dédiés pour reconnaître les contributions de chacun lors de réunions d'équipe ou dans les communications internes. Mettre en place des récompenses pour les efforts communs : un système de récompense pour les projets collaboratifs motive à travailler ensemble. Partager les bonnes pratiques : encouragez les équipes à partager leurs réussites pour inspirer les autres services à en faire de même. Créer des espaces de travail collaboratifs Un environnement physique bien conçu peut transformer la manière dont les équipes collaborent. Les espaces de travail flexibles favorisent les échanges et s’adaptent aux besoins des différentes équipes. En adoptant des pratiques inclusives et en misant sur des valeurs de bienveillance, les entreprises renforcent la cohésion et le sentiment d’appartenance. Grâce à des initiatives comme celles de Gymlib, qui permettent aux équipes de trouver un équilibre entre bien-être et performance, chaque collaborateur peut participer activement à un environnement de travail inspirant et inclusif.

VOTRE SANTE D'ABORD ( 5 raisons de pratiquer la méditation avant de travailler )

Guide : 5 raisons de pratiquer la méditation avant de travailler Commencer la journée de travail en douceur est essentiel pour rester productif et bien dans son esprit. La méditation, avec ses nombreux bienfaits prouvés, est une pratique idéale à adopter le matin pour se préparer mentalement et physiquement aux défis de la journée. On vous présente ici cinq raisons qui devraient vous convaincre d’essayer de méditer avant d’ouvrir vos emails ! Améliore la concentration et la productivité La méditation est reconnue pour améliorer la concentration et la productivité, deux qualités essentielles dans un environnement professionnel. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université de Californie, les employés qui méditent régulièrement avant le travail affichent une augmentation de leur productivité de 16 % grâce à une meilleure focalisation. Cette étude met en évidence que quelques minutes de méditation permettent de réduire la dispersion mentale et d’améliorer la gestion des tâches en évitant les interruptions de pensées parasites. Pour consulter l’étude, c’est par ici : étude de l’Université de Californie. Réduit le stress et l’anxiété Avant de se lancer dans les urgences et la liste interminable des tâches, méditer peut contribuer à calmer le mental et à réduire le stress. Plusieurs recherches démontrent qu’une pratique méditative régulière réduit les niveaux de cortisol, l’hormone du stress. En effet, commencer sa journée avec quelques minutes de respiration et de recentrage peut apaiser les pensées anxieuses et créer une bulle de sérénité avant de se plonger dans les dossiers. Augmente la créativité et la capacité de résolution de problèmes La méditation favorise un état mental propice à la créativité et à la résolution de problèmes. En calmant les pensées et en encourageant la clarté mentale, la méditation permet de voir les situations sous un nouvel angle. Pour les professionnels qui ont besoin d’un esprit créatif et flexible, méditer le matin peut s’avérer être un atout majeur. Vous pouvez ainsi entrer dans une réunion avec des idées claires et des solutions innovantes en tête. La méditation avant de travailler améliore la santé mentale sur le long terme Au-delà des bienfaits immédiats, pratiquer la méditation régulièrement contribue à améliorer la santé mentale de manière durable. Cela peut réduire les risques de dépression et d’anxiété en offrant un espace quotidien pour se reconnecter avec soi-même. Des études montrent que même dix minutes de méditation quotidienne peuvent avoir un impact significatif sur le bien-être psychologique. C’est aussi un excellent moyen de prévenir l’épuisement professionnel, particulièrement pour les métiers à forte pression. Favorise une attitude positive pour la journée Enfin, la méditation permet d’adopter une attitude plus positive face aux défis de la journée. Chez Gymlib, nous encourageons nos utilisateurs à intégrer des pratiques de bien-être comme la méditation dans leur routine matinale. Cela aide non seulement à augmenter leur bien-être au travail, mais aussi à cultiver une ambiance de travail plus sereine et motivante. L’optimisme que procure la méditation est contagieux et peut même contribuer à dynamiser votre équipe. Comment débuter avec la méditation ? Si l’envie de méditer avant le travail vous intéresse, pas besoin d’être un expert ! Voici quelques conseils pour bien démarrer : Privilégiez un endroit calme : une pièce où vous pouvez vous isoler cinq à dix minutes. Utilisez une application guidée : des applis comme Insight Timer ou Calm sont parfaites pour les débutants. Fixez-vous un objectif simple : 5 minutes pour commencer, puis augmentez progressivement la durée si cela vous convient.

L'HOMME ET LA VIE ( Voici la phrase la plus gentille que l'on peut dire à quelqu'un, elle peut changer sa vie )

Aussi simple soit elle, cette phrase peut être une véritable lueur d'espoir. -Il ne faut jamais sous-estimer le poids des mots. Même si on ne s'en rend pas forcément compte, ce que l'on dit a toujours un impact : cela peut égayer la journée de quelqu'un, réconforter, gêner, blesser ou faire écho à un quelconque souvenir. "Une personne peut transformer une vie avec des mots tout simples. Et parmi les choses les plus gentilles que vous puissiez dire à quelqu'un, il y a une phrase qui a une force immense et qui a le potentiel d'élever et d'inspirer", affirme Jeffrey Bernstein, psychologue et auteur dans Psychology Today. Aussi concise soit elle, cette phrase peut être une véritable lueur d'espoir pour quelqu'un, en particulier dans les moments de doute ou de difficulté. "Elle agit comme le catalyseur nécessaire pour que la personne persévère, s'engage positivement dans n'importe quel projet, fasse de son mieux ou ne se sente pas seule dans son parcours de vie", justifie l'expert. Dire cette phrase revient à offrir à son interlocuteur un sentiment de validation et d'encouragement, mais aussi à reconnaître pleinement ses capacités, son potentiel et ses points forts. Elle peut par exemple être dite à un proche qui manque de confiance en lui pour concrétiser un nouveau projet ou dans le contexte professionnel où l'estime de soi peut rapidement vaciller et le doute peut rapidement s'installer. Qu'il s'agisse d'un ami qui se lance dans un nouveau projet, d'un adolescent qui traverse une période complexe ou d'un membre de la famille qui poursuit un objectif personnel, il faut essayer de lui dire "je crois en toi", insiste le psychologue, qui est plus motivant et galvanisant que "tu vas y arriver". Parler à la première personne est plus impactant pour le destinataire, lui donnant le sentiment d'être mieux compris et valorisé. Ici, le "je" n'est pas un "je" égocentrique, mais un "je" en direction de l'autre. -L'impact des mots gentils va bien au-delà du destinataire initial. "Lorsque vous exprimez un mot gentil, vous encouragez d'une part la personne à qui vous le dites et vous propagez d'autre part la gentillesse et la positivité. L'effet domino des mots gentils peut ainsi contribuer à créer un environnement plus empathique et plus sain, bénéfique à tous", conclut-il.

VOTRE SANTE D'ABORD ( Sécheresse vaginale : 8 causes du manque de lubrification )

Plus d'une femme sur 5 souffrirait de sécheresse vaginale. -Sommaire Ménopause Pilule, stérilet hormonal Médicaments Ablation des glandes de Bartholin Douches vaginales Stress Tabac Mycoses Solutions -22% des femmes et 58% des femmes ménopausées vues en consultation de gynécologie seraient concernées par la sécheresse vaginale, rapporte une enquête d'Opinion Way. La sécheresse vaginale se définit par un manque de lubrification du vagin ressentie lors d'une activité sexuelle (préliminaires, pénétration). Tour des causes possible avec le Dr Carl Saunier, chirurgien gynécologique à l'Hôpital-Clinique Claude Bernard à Metz. 1. La ménopause "La cause la plus "physiologique" d'un manque de lubrification vaginale est celle liée à l'âge, avec la ménopause. Pendant la ménopause, les cellules vont s'affaisser et moins sécréter, de fait les tissus vont être moins souples et la lubrification nettement moins bonne qu'elle n'était pendant le cycle naturel", décrit notre interlocuteur. "A la ménopause confirmée, on remarque que dans la première phase (d'excitation), le temps de réponse à une stimulation efficace s'allonge. La lubrification vaginale est moins abondante et plus longue à obtenir. En effet, alors que la femme, à 20 ans, a besoin de moins de 30 secondes pour avoir une lubrification complète, ce même résultat peut nécessiter plus de 2 minutes après la ménopause", indique le Collège national des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF). Aussi, l'atrophie et la sécheresse vulvovaginale peuvent se manifester lors du post-partum (après l'accouchement) et de l'allaitement. 2. La contraception hormonale : pilule, stérilet hormonal, implant... "Parmi les effets secondaires des contraceptifs hormonaux, il y a les troubles de la libido. La lubrification étant liée au désir sexuel, si ce dernier baisse, la sécheresse vulvo-vaginale sera plus importante", indique le Dr Saunier. Par ailleurs, la baisse d'œstrogènes peut favoriser la sécheresse intime : les femmes sous pilules faiblement dosées en œstrogènes peuvent ainsi avoir les muqueuses plus sèches. -3. La prise de médicaments "Certains médicaments peuvent altérer la qualité de la flore vaginale et de la sécrétion, notamment les médicaments qui agissent sur le système nerveux (traitements des maladies neurologiques ou psychiatriques) comme les antidépresseurs par exemple". 4. L'ablation des glandes de Bartholin "La lubrification vaginale se fait à la fois par le vagin mais aussi par les glandes de Bartholin qui se situent de part et d'autre de l'entrée du vagin et qui sécrètent une substance appelée cyprine. Les femmes qui font des bartholinites à répétition (une inflammation des glandes de Bartholin), peuvent avoir recours à une ablation de ces glandes et souffrir de sécheresse vaginale." 5. Les douches vaginales "Laver la partie intérieure de la zone intime ou faire des douches vaginales peut altérer la muqueuse et la sécrétion vaginale se fait moins bien", indique le Dr Saunier. On conseille plutôt de nettoyer la vulve, autrement dit la partie extérieure de la zone intime "une fois par jour avec un savon à pH alcalin (supérieur à 7)". Avoir des rapports sexuels réguliers participe à la souplesse des tissus et améliore la lubrification. 6. Le stress "Ce ne sont pas des choses prouvées, mais on estime que le stress ou l'anxiété sont des facteurs qui altèrent le désir sexuel et donc cela aurait un impact sur la lubrification vaginale. Et c'est un cercle vicieux : moins vous avez de lubrification, moins vous avez envie d'avoir des rapports. Or, on sait que le fait d'avoir des rapports sexuels réguliers participe à la souplesse des tissus et améliore la lubrification", tient à préciser notre expert. 7. Le tabac "Le tabac altère toutes les cellules, que ce soit celles de la peau ou celles à l'intérieur des muqueuses, donc forcément, si les cellules des muqueuses vaginales sont abîmées, elles sécrètent moins", argue-t-il. 8. Des mycoses à répétition "Les infections vaginales (mycose, vaginose) ou urinaires (cystite) à répétition altèrent la flore. De même, leurs traitements (antibiotiques par exemple) altèrent la flore vaginale, assèchent la paroi vaginale et impactent donc la lubrification". Des visites régulières chez le gynécologue permettent de détecter des éventuelles infections, afin de pouvoir rapidement les soigner. Quelles solutions pour soigner un manque de lubrification vaginale ? ► L'utilisation d'un lubrifiant, idéalement à base d'eau, sans colorant et sans odeur. ► L'utilisation d'un gel hydratant vaginal à base d'acide hyaluronique (AINARA®) à insérer grâce à une pipette, 2 à 3 fois par semaine le soir. "Ce gel (sans ordonnance) a une action locale, avec une efficacité qui reste modérée", indique notre interlocuteur. ► L'utilisation d'hormones locales à base d'œstrogènes (sur ordonnance). Ce sont des crèmes à appliquer sur la vulve ou des ovules à insérer dans le vagin (Colpotrophine®...) ► Le traitement au laser et aux ultrasons pour améliorer l'élasticité des tissus. "Leur efficacité reste selon moi limitée, mais ce sont des traitements qui existent sur le marché et qui sont proposés par certains gynécologues". ► Le respect des bons gestes de prévention de la sécheresse vaginale comme : éviter de porter des pantalons trop serrés au niveau de la vulve, éviter de porter des sous-vêtements en matière synthétique, éviter de faire des toilettes intimes à l'intérieur du vagin ou des toilettes intimes trop fréquentes, en revanche avoir des rapports sexuels réguliers, ne pas négliger les préliminaires, indispensables pour favoriser la lubrification vaginale... ► Si la sécheresse vaginale est liée à des causes psychologiques, il est conseillé d'aller consulter un sexologue ou un psychologue. ► Si la sécheresse vaginale est liée à la ménopause, un traitement hormonal substitutif peut être proposé, quand il est possible et accepté. Ce traitement hormonal améliore la lubrification et la sensibilité clitoridienne.

VOTRE VIE D'ABORD ( Syndrome Turner Guide )

Syndrome de Turner : Espérance de Vie, Taille, C’est Quoi ? Le syndrome de Turner est une anomalie génétique rare qui touche exclusivement les femmes, affectant leur développement physique et parfois leurs capacités cognitives. Si vous cherchez à comprendre ce qu’est le syndrome de Turner, son impact sur la taille et l’espérance de vie, voici un guide complet. Qu’est-ce que le syndrome de Turner ? Le syndrome de Turner est causé par une anomalie chromosomique. Chez les femmes atteintes, il manque tout ou partie d’un chromosome X, ce qui perturbe le développement normal. Cette condition survient chez environ 1 fille sur 2 500 à la naissance. Les principaux symptômes incluent : Une taille inférieure à la moyenne. Une absence ou un développement incomplet des caractères sexuels secondaires. Des malformations cardiaques ou rénales dans certains cas. Bien que les caractéristiques varient d’une personne à l’autre, un diagnostic précoce permet de mieux accompagner les personnes concernées. Taille et croissance L’une des caractéristiques les plus notables du syndrome de Turner est la petite taille. En moyenne, les femmes atteintes mesurent environ 20 centimètres de moins que la taille moyenne des femmes dans leur région. Pour pallier ce retard de croissance, un traitement à base d’hormone de croissance peut être administré dès l’enfance. Ce traitement permet dans de nombreux cas d’améliorer significativement la taille finale. Espérance de vie L’espérance de vie des personnes atteintes du syndrome de Turner est légèrement réduite par rapport à la moyenne. Cette réduction est principalement liée à des problèmes de santé associés, tels que : Les malformations cardiaques congénitales. Une susceptibilité accrue au diabète et à l’hypertension. Cependant, un suivi médical régulier et des traitements adaptés peuvent considérablement améliorer la qualité et la durée de vie des personnes concernées. Accompagnement et traitements Outre les traitements pour la croissance, d’autres solutions médicales peuvent être mises en place, notamment : Une thérapie hormonale pour induire la puberté et maintenir une santé osseuse optimale. Un suivi psychologique pour soutenir les femmes et leurs familles dans leur parcours. Conclusion Le syndrome de Turner, bien que rare, est une condition génétique complexe qui n’empêche pas de vivre une vie pleine et enrichissante. Avec un diagnostic précoce et un suivi médical adapté, les femmes atteintes peuvent surmonter de nombreux défis et profiter d’une meilleure qualité de vie.

L'HOMME ET LA VIE ( Nous sommes sur le point de découvrir une neuvième planète dans notre système solaire, selon la science )

Les indices qui mènent à la Planète 9 Les premières spéculations sur une neuvième planète ont émergé au XIXe siècle, mais c'est en 2016 que les scientifiques Konstantin Batygin et Mike Brown du Caltech ont apporté des preuves plus concrètes. Ils ont observé des anomalies dans les orbites des objets transneptunie Des orbites alignées étrangement : Plusieurs OTN semblent graviter s Un effet gravitationnel inexpliqué : Ces anomalies orbitaires font apparaître la présence d'un objet massif invisible, dont la gravité perturbe les corps voisins. Simulations numériques : Les modèles mathématiques indiquant qu'un objet d'environnement 5 à 10 fois la masse de la Terre pourrait être responsable de ces perturbations. À quoi ressemblerait cette neuvième planète ? Selon les estimations actuelles, la neuvième planète serait : Massif : Environ 10 fois plus ma Lointaine : Située à une distance moyenne de 400 à 800 unités astronomiques (UA) du Soleil (1 UA = distance Terre-Soleil). Froide et sombre : En raison de sa distance, elle serait difficile à détecter, même avec les télescopes les plus puissants. Gazeuse : Elle pourrait être une planète gazeuse semblable à Neptune, bien qu'aucune observation directe n'ait encore confirmé sa composition. Pourquoi est-il si difficile de trouver la Planète 9 ? Malgré les avancées technologiques, la recherche de la neuvième planète reste un défi : Sa distance extrême : À des centaines d'UA, la lumière solaire qui l'atteint est si faible qu'elle devient presque invisible pour les télescopes terrestres. Un mouvement lent : En r Un ciel immense à scruter : Les astronomes doivent couvrir une immense portion du ciel pour localiser ce petit point lumineux. L'importance de cette découverte pour la science La confirmation de l'existence de la neuvième planète pourrait bouleverser notre compréhension du système solaire : Révision des modèles actuels : Elle remettrait en question les théories actuelles sur la formation et l' Impact sur les OTN : Cela expliquerait les comportements étranges des corps transneptuniens et élargirait nos connaissances Nouvelles perspectives d'exploration: Cette planète pourrait devenir une cible future pour des missions spatiales. Quand pourrons-nous enfin confirmer son existence ? Les astronomes du monde entier, équipés de télescopes de nouvelle génération comme le télescope Vera Rubin, travaillent activement pour détecter cette planète mystérieuse. Les prochaines années seront cruciales, car les progrès e Conclusion : Une énigme cosmique prête à être résolue La quête de la neuvième planète est un voyage fascinant qui reflète l'ingéniosité humaine et notre soif de connaissances. Si elle est découverte, cela marquera une avancée majeure en astronomie et ouvrira la voie à de nouvelles explorations. Nous sommes peut-être à l'aube d'une des découvertes les plus excitantes de notre époque, une qui pourrait réécrire l'histoire de no La neuvième planète n'est plus une simple hypothèse ; c'est une promesse scientifique qui pourra

décembre 27, 2024

VOTRE SANTE D'ABORD ( Le grog inutile contre la grippe ? La réponse de ce médecin va ravir les grands-mères )

Est-il un réel remède ou une simple croyance populaire ? -Frissons, fièvre, maux de tête voire même courbatures. Face aux symptômes douloureux de la grippe, tous les remèdes sont bons pour tenter d'aller mieux. Parmi eux, le grog est devenu un incontournable. Cette boisson chaude préparée avec de l'eau chaude, du rhum, du citron et une cuillère de miel, est vue par certains comme un remède miracle. Mais le grog est-il réellement efficace ou s'agit-il simplement d'une tradition sans fondements scientifiques ? La création du grog remonte à plusieurs siècles : "Le grog est originaire d'Inde et a été exporté par les marins anglais. Il s'agissait initialement d'une boisson à base de sève de palmier, remastérisée par les Anglais avec de l'eau chaude et du whisky ou du rhum" nous rappelle le Dr Charles Poignonec, médecin généraliste. En France, cette recette a été adaptée avec les rhums venus des colonies puis a été associée aux médecines de grand-mère pour réchauffer les corps fatigués par les virus. Charles Poignonec nous le confirme : "L'ingrédient le plus efficace dans le grog, c'est l'eau chaude. Elle aide à diminuer les maux de gorge, la fatigue et la fièvre, grâce à ses vapeurs et à son effet thermorégulateur sur le corps." Le citron, riche en vitamine C, peut aussi avoir un impact mais "son effet reste limité si on n'en consomme pas régulièrement". Quant au miel, il agit sur les maux de gorge et favorise un meilleur sommeil. En revanche, l'alcool présent dans le grog n'a qu'un "léger effet vasodilatateur et peut réguler la température corporelle mais il peut aussi aggraver les irritations de la gorge" précise le médecin. Pour lui et "beaucoup de médecins", le grog peut être recommandé en cas de grippe "car il apporte du confort en atténuant les symptômes". Cependant, il conseille de limiter la consommation à un grog par jour si on y met du rhum, pour éviter les interactions avec certains médicaments et les effets néfastes de la consommation d'alcool. Pour ceux qui souhaitent éviter l'alcool, il existe des alternatives simples à préparer : "En retirant le rhum et en ajoutant des ingrédients comme la cannelle ou le gingembre, qui ont des vertus anti-inflammatoires, on peut obtenir une boisson aussi efficace et agréable". Vous l'aurez compris, si le grog n'est pas une potion magique pour soigner la grippe, il peut en atténuer certains symptômes et apporter du réconfort. L'eau chaude, le miel et le citron en sont les principaux alliés, tandis que l'alcool reste un ingrédient optionnel. Ne pas oublier pour finir que le meilleur traitement de la grippe est le repos.

L'HOMME ET LA VIE ( Comment rester en forme sans aller à la salle de sport ? )

Les conseils de notre coach sportif pour rester tonique. -Un maximum d'appareils pour varier les exercices et les zones à tonifier, des coachs de sport pour être bien conseillé, un environnement de sportifs qui motive... La salle de sport séduit de nombreux adeptes... mais pas vous ? Pas de problème. On peut très bien surveiller sa ligne et rester tonique (très important quand on vieillit) sans aller à la salle de sport. Voici les conseils de Vincent Pirou, coach sportif à Paris, pour faire du renforcement musculaire et prendre soin de soi tout en restant à la maison ou en profitant de l'extérieur. L'important c'est de passer un bon moment ! ► Se concocter des circuits courts de 15 à 20 minutes en alternant des mouvements dynamiques comme des burpees, des montées de genoux, des jumping jack et des mouvements statiques comme du gainage. ► En parallèle, faire du cardio léger comme monter les escaliers, danser, marcher. ► Adopter une activité douce comme le yoga ou le pilâtes à domicile pour renforcer de manière assez complète l'ensemble du corps, tout en réduisant les tensions. ► Revoir ses habitudes alimentaires : exit les régimes draconiens et les produits ultra-transformés. Vincent Pirou recommande de miser sur des repas riches en légumes, en protéines variées (poissons, viandes, œufs, légumineuses) et en bonnes graisses (huile d'olive, huile de noix, avocats, oléagineux). "L'hydratation est également indispensable. Il est recommandé de boire entre 1,5 et 2L d'eau par jour pour soutenir son métabolisme, entretenir la qualité de la peau et favoriser sa capacité de concentration au quotidien." ► Dormir suffisamment : le sommeil est souvent sous-estimé. Or, dormir 7 à 8 h par nuit est essentiel à la mémorisation, à l'immunité, à la récupération musculaire, au bon maintien de la forme et du poids, ainsi qu'à une bonne gestion du stress. -Enfin, il est capital pour avoir de bons résultats de trouver son équilibre : "Cela passe par le fait d'apprendre à gérer son stress à l'aide de techniques de relaxation profondes ou de respiration pour aider à apaiser le mental, et donc à améliorer son état de forme général. Plus globalement, la création d'une routine plaisir (danser sur ses musiques préférées, se balader dans la nature, séance d'étirements…) peut aider à rester motivé sur le long terme" informe le coach sportif. A vous de jouer.

MONDE D'ANIMAL ( Vari roux Varecia rubra )

Le vari roux (Varecia rubra) est un grand lémurien arboricole que l’on trouve exclusivement dans les forêts tropicales de Madagascar. Végétarien, il se nourrit de diverses plantes. Malheureusement, ce petit primate brun est en grand danger de disparition. Sommaire Taxonomie du vari roux Caractéristiques physiques du vari roux Écologie et répartition du vari roux Régime alimentaire du vari roux Mode de vie du vari roux Reproduction du vari roux Menaces et conservation du vari roux Photos du vari roux -Taxonomie du vari roux Classification Règne : Animal Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré Classe : Mammifère placentaire Ordre : Primates Famille : Lemuridé Genre : Varecia Espèce : rubra Nom scientifique : Varecia rubra Sous-espèces / taxons Actuellement, on ne distingue aucune sous-espèce de vari roux. Caractéristiques physiques du vari roux Taille Hauteur : 53 cm environ. Queue : 60 cm Poids 3,3 à 6 kg en moyenne. Morphologie et apparence Le vari roux est un lémurien de grande taille plutôt trapu, qui possède une longue queue épaisse et touffue, des assez grosses pattes munies de mains préhensiles et un museau allongé. Ses grands yeux ronds sont jaunes, ses très petites oreilles arrondies cachées dans les poils. Sa longue langue est rose. Les femelles sont légèrement plus grandes que les mâles. Son pelage épais est composé de poils roux marron clair, noirs sur la queue, le ventre, la face et le postérieur. Les zones les plus nues (museau, mains) sont elles aussi noires. Sa tête (excepté son front) est entourée de longs poils. Écologie et répartition du vari roux Aire de répartition Le vari roux est endémique de l’île de Madagascar, en Afrique. Liste des pays Habitat Le vari roux vit dans les forêts tropicales humides et décidues au Nord-Est de l’île. Régime alimentaire du vari roux Type de régime Végétarien, principalement frugivore. Nourriture et proies Le vari roux se nourrit essentiellement de fruits, en particulier de figues. Il complète son alimentation de jeunes pousses, d’écorce, de pollen, de nectar et de graines. Mode de vie du vari roux Vie sociale Le vari roux est un animal sociable, qui vit généralement en groupes matriarcaux de 2 à 16 individus, dont la taille varie selon la saison et l’abondance en nourriture. Une vie en couple ou en groupes familiaux est d’ailleurs régulièrement observée à la saison sèche. Pour interagir entre eux, les vari roux utilisent différentes vocalises et pratiquent la toilette mutuelle. Comportement Le vari roux est un animal diurne crépusculaire, principalement actif le matin et le soir. Il passe ses heures actives à se nourrir, se toiletter et interagir avec ses congénères. Arboricole, il vit pratiquement uniquement dans les arbres. Cri et vocalises Les varis roux communiquent entre eux avec de puissants cris, audibles à plusieurs kilomètres. Prédateurs Les prédateurs naturels du vari roux sont les rapaces, les grands serpents constricteurs et le fossa. Longévité L’espérance de vie du vari roux est de : A l’état sauvage : 15 à 20 ans. En captivité : jusqu’à 25-30 ans. Reproduction du vari roux Type de reproduction Vivipare Habitudes reproductives Polygame Sevrage Le petit vari roux est sevré vers ses 4 mois environ. Avant cela, il vit dans un arbre, protégé par sa mère et son père. Maturité sexuelle Le vari roux est sexuellement mature vers 2 ans, mais commence à se reproduire à 3 ans. Période de reproduction La saison des amours du vari roux a lieu de mai à juillet. Zone de mise bas La femelle vari roux met bas et élève ses petits dans un nid de feuilles et de brindilles dans la canopée, à 10-20 mètres de hauteur. Nombre de petits par portée La femelle vari roux met bas 1 à 6 petits (2-3 en moyenne). Gestation 102 jours environ. Menaces et conservation du vari roux Danger d'extinction (Statut UICN) Le vari roux est un animal en danger critique (CR) d’extinction selon l’UICN. Population Selon les dernières études, on ne dénombrerait aujourd’hui plus que 1 000 à 10 000 varis roux à l’état sauvage. La population mondiale de varis roux est actuellement en baisse. Menaces Les menaces pesant sur le vari roux sont : Perte et dégradation de son habitat : agriculture, déforestation, … Réchauffement climatique : incendies, … Menaces directes : chasse et braconnage. Catastrophes naturelles : cyclones.

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HOMME ET VIE ( Règle 3-3-3 : la seule façon efficace de mesurer sa tension selon les cardiologues )

La tension artérielle est un indicateur clé de la santé cardiovasculaire. - Pourtant, beaucoup de personnes la mesurent de manière incorrec...