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décembre 11, 2024
MONDE D'ANIMAL ( Loup arctique Canis lupus arctos )
Le loup arctique (Canis lupus arctos), aussi appelé loup blanc ou loup polaire, est un grand canidé que l’on trouve essentiellement dans les toundras arctiques d’Amérique du Nord. Carnivore, il se nourrit de toutes sorte de proies qu’il peut attraper.
Sommaire
Taxonomie du loup arctique
Caractéristiques physiques du loup arctique
Performances physiques du loup arctique
Écologie et répartition du loup arctique
Régime alimentaire du loup arctique
Mode de vie du loup arctique
Reproduction du loup arctique
Menaces et conservation du loup arctique
Photos du loup arctique
-Taxonomie du loup arctique
Classification
Règne : Animal
Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré
Classe : Mammifère placentaire
Ordre : Carnivore caniforme
Famille : Canidé
Genre : Canis
Espèce : lupus
Sous-espèce : arctos
Nom scientifique : Canis lupus arctos
Sous-espèces / taxons
Le loup arctique est lui-même une sous-espèce de loup gris, et ne possède donc pas de sous-espèce. Il possède en revanche un équivalent, le loup de Sibérie, que l’on trouve en Europe.
Caractéristiques physiques du loup arctique
Taille
Longueur : 90 cm en moyenne.
Garrot : entre 65 et 80 cm.
Queue : plus de 30 cm.
Poids
45 kg en moyenne (parfois jusqu’à 80 kg). Les mâles sont en moyenne un peu plus lourds que les femelles.
Morphologie et apparence
Le loup arctique est un grand prédateur possédant une allure semblable à celle du chien, très caractéristique de l’espèce. Il possède en effet un grand corps assez imposant, des longues pattes assez fines mais puissantes terminées de grosses griffes non rétractiles ainsi qu’une longue queue touffue. Son museau est allongé et terminé d’une truffe noire, ses yeux sont jaune orangé, ses crocs acérés et ses oreilles triangulaires.
La fourrure du loup arctique est très épaisse, en particulier son pelage d’hiver. La plus grande concentration de poils est au niveau du dos et du cou. Sa robe est entièrement blanche, lui permettant de facilement se dissimuler sur la neige.
Performances physiques du loup arctique
Résistance au froid
Le loup arctique a du s’adapter aux conditions rudes de son habitat naturel : son corps peut ainsi supporter des températures descendant jusqu’à -60°C.
Écologie et répartition du loup arctique
Aire de répartition
Le loup arctique vit dans plusieurs pays d’Amérique du Nord et d’Arctique.
Liste des pays
Présent
Nord du Canada ; Alaska ; Groenland
Habitat
Le loup arctique vit dans les toundras et s’aventure parfois sur la banquise.
Régime alimentaire du loup arctique
Type de régime
Essentiellement carnivore et charognard.
Nourriture et proies
Le loup arctique se nourrit principalement de petits animaux comme le lemming, le lièvre ainsi que de certains oiseaux nicheurs lorsqu’il chasse seul.
Quand il chasse en meute, il s’attaque aux plus grosses proies disponibles comme les bœufs musqués et les caribous.
Mode de vie du loup arctique
Vie sociale
Comme les différentes sous-espèces de loup gris, le loup arctique est particulièrement sociable et vit toujours en meute d’environ 7-8 individus. La hiérarchie dans ces groupes est également très similaire. En effet, le groupe est mené par un couple alpha, qui possède des privilèges et qui sont les seuls individus à pouvoir se reproduire. Chaque membre du groupe possède un statut précis et un rôle particulier.
Les loups arctiques communiquent souvent entre eux, à travers divers cris, gestuelles et signaux olfactifs. Ces derniers servent également à marquer leur territoire, étant des animaux territoriaux. Lorsque les petits naissent (seulement de la femelle alpha), les autres membres de la meute participent également à l’éducation des jeunes.
Comportement
Le loup arctique est actif le jour et la nuit, mais est principalement diurne : il passe la majorité de son temps à chercher de la nourriture. Animal curieux, ces loups ne sont pas très craintifs et s’approchent parfois même des hommes.
Contrairement à certains animaux vivant dans les zones glaciaires, le loup arctique n’hiberne pas, car la majeure partie de ses proies sont actives l’hiver.
Cri et vocalises
Comme les autres loups, le loup arctique hurle, aboie, gronde, grogne et gémit.
Prédateurs
Prédateur vivant en meute, le loup arctique ne possède aucun prédateur en dehors de l’Homme dans son habitat naturel.
Technique de chasse
Les loups arctiques sont d’excellent chasseurs, qui utilisent la cohésion au sein de leur meute pour être efficaces. Tout d’abord, les loups repèrent leur proie. Une fois la cible choisie, ils essaient de l’esseuler (si elle est en troupeau), puis se jettent ensemble sur celle-ci pour la tuer d’une morsure à la gorge. Il arrive que les loups traquent leur proie sur de longues distances et attendent plusieurs heures avant d’attraper leur proie.
Lorsqu’il chasse seul, le loup arctique se jette plus simplement sur sa proie et la tue d’une puissante morsure.
Longévité
L’espérance de vie du loup arctique est de :
A l’état sauvage : 10 à 15 ans environ.
En captivité : jusqu’à 20 ans.
Reproduction du loup arctique
Type de reproduction
Vivipare
Habitudes reproductives
Polygame
Sevrage
Le louveteau commence à manger de la viande vers ses 1 mois, et est totalement indépendant vers 6 mois.
Maturité sexuelle
Le lion est sexuellement mature à 2 à 3 ans environ.
Période de reproduction
La saison des amours du loup arctique a lieu entre mars et avril.
Lieux de mise bas
La louve met bas dans une tanière, généralement une grotte ou une cavité rocheuse.
Nombre de petits par portée
La louve met bas 2 à 3 louveteaux en moyenne, aveugles et sans poils, à raison d’environ 1 fois chaque année.
Gestation
Environ 2 mois.
Taille et poids des petits
1,1 kg à 1,37 kg à la naissance.
Menaces et conservation du loup arctique
Danger d'extinction (Statut UICN)
Le loup arctique est une préoccupation mineure (LC) selon l’UICN.
Population
On dénombre environ 10 000 loups arctiques vivant à l’état sauvage.
La population mondiale de loups arctiques est actuellement stable.
Menaces
Les menaces (potentielles) planant sur le loup arctique sont :
Perte de ses proies et dégradation de son habitat : réchauffement climatique
MONDE D'ANIMAL ( Lion Panthera leo )
Lion
Panthera leo
Le lion (Panthera leo) est un grand félin que l’on trouve dans divers déserts et savanes d’Afrique ainsi que dans quelques rares forêts tropicales sèches en Asie. Carnivore, il se nourrit de toutes les proies qu’il trouve.
Malheureusement, cet animal emblématique de l’Afrique est en voie de disparition.
Sommaire
Taxonomie du lion
Caractéristiques physiques du lion
Performances physiques du lion
Écologie et répartition du lion
Régime alimentaire du lion
Mode de vie du lion
Reproduction du lion
Menaces et conservation du lion
Photos du lion
-Taxonomie du lion
Classification
Règne : Animal
Embranchement/sous-embranchement : Chordé vertébré
Classe/infra-classe : Mammifère placentaire
Ordre : Carnivore féliforme
Famille : Félin panthériné
Genre : Panthera
Espèce : leo
Nom scientifique : Panthera leo
Sous-espèces / taxons
On compte aujourd’hui 2 sous-espèces de lion :
Liste des sous-espèces
Lion d’Afrique (Panthera leo leo)
Lion d’Asie (Panthera leo persica)
Le lion d’Afrique était auparavant caractérisé par 7 sous-espèces :
Lion de l’atlas
Lion du cap
Lion du Sénégal
Lion du Nord-Est du Congo
Lion des Massais
Lion du Katanga
Lion du Transvaal
Caractéristiques physiques du lion
Taille
Longueur : Femelle : 1,58 à 1,92 m / Mâle : 1,72 m à 2,5 m (queue non comprise).
Garrot: 1 à 1,50 m
Queue: 90 cm en moyenne.
Crâne: 27 à 42 cm de long.
Canines: 6 cm
La taille des lions est variable selon la sous-espèce : le lion d’Afrique est plus grand en tout point que le lion d’Asie.
Poids
Femelle : 83 à 168 kg
Mâle : 145 à 225 kg (le plus lourd jamais pesé pesait 313 kg).
Le poids des lions est variable selon la sous-espèce : le lion d’Afrique est plus lourd que le lion d’Asie.
Morphologie et apparence
Le lion est un grand félin carnivore possédant un corps similaire à celui du chat en bien plus grand. Il possède une silhouette imposante mais élancée, des épaules musclées, un dos arqué, une longue queue terminée par un plumeau, des pattes puissantes (terminées de coussinets) et une tête et un museau allongés. Il est facilement reconnaissable par sa crinière dense, que seuls les mâles possèdent. Ses oreilles sont arrondies, ses griffes puissantes et rétractiles et ses crocs acérés. Les yeux du lion sont jaunes et lui permettent, comme tous les félins, de voir la nuit. Sa langue est très râpeuse, munie de sortes de “piquants”.
Le lion possède un pelage allant du beige jaune au brun clair. Sa crinière et le bout de sa queue sont plus foncés, allant du brun foncé au noir. Il arrive également d’observer des lions blancs : il ne s’agit pas d’une autre sous-espèce, mais simplement de lions possédant une dépigmentation.
Performances physiques du lion
Vitesse
Les lions (surtout les lionnes) peuvent courir jusqu’à 60 km/h.
Saut
Le lion peut sauter jusqu’à 3,70 m sans élan, 11 m avec élan.
Écologie et répartition du lion
Aire de répartition
Le lion vit dans quelques pays d’Afrique (subsaharienne) et d’Asie.
Liste des pays
Présent
Afrique du Sud ; Angola ; Bénin ; Botswana ; Burkina Faso ; Cameroun ; Congo ; République Centrafricaine ; République Démocratique du Congo ; Eswatini ; Éthiopie ; Inde ; Kenya ; Malawi ; Mozambique ; Namibie ; Niger ; Nigeria ; Ouganda ; Sénégal ; Somalie ; Sud-Soudan ; Tanzanie ; Tchad ; Tanzanie ; Zambie ; Zimbabwe
Potentiellement éteint
Côte d’Ivoire ; Ghana ; Guinée ; Guinée-Bissau ; Mali ; Rwanda ; Togo
Éteint
Afghanistan ; Algérie ; Burundi ; Congo ; Djibouti ; Egypte ; Erythrée ; Gabon ; Gambie ; Iran ; Irak ; Israël ; Jordanie ; Koweït ; Liban ; Lesotho ; Libye ; Mauritanie ; Maroc ; Pakistan ; Arabie Saoudite ; Sierra Leone ; Syrie ; Tunisie ; Turquie ; Sahara Occidental
Habitat
Le lion vit dans les savanes et les déserts en Afrique, dans les forêts tropicales sèches en Asie.
Régime alimentaire du lion
Type de régime
Uniquement carnivore (super prédateur).
Nourriture et proies
Animal imposant et assez rapide, le lion se nourrit de nombreux animaux qu’il trouve dans son habitat naturel. Il chasse ainsi principalement divers bovidés, comme les antilopes de toutes tailles (gnous, oryx, élands, …), ainsi que les zèbres, les buffles, les phacochères, les girafes et les lapins.
Il arrive également que les lions s’attaquent à des proies bien plus grosses, comme les rhinocéros noirs, les rhinocéros blancs, les éléphants d’Afrique ou les hippopotames.
Mode de vie du lion
Vie sociale
Contrairement à la grande majorité des autres félins, les lions sont des animaux sociables et grégaires. Ils vivent généralement dans des grands groupes mixtes de 3 à 30 individus, composés de femelles de la même famille, de mâles non apparentés aux femelles et de leurs petits (lionceaux). Les individus d’un groupe font preuve d’une grande sociabilité : les lionceaux sont aussi bien allaités par leur mère que par les autres lionnes de la troupe.
Leur troupe est composée d’un mâle dominant, qui chasse les jeunes mâles du groupe une fois la majorité sexuelle atteinte. Cela lui permet de garder les femelles pour lui, mais également d’éviter la consanguinité.
Une fois les mâles chassés, il arrive qu’ils s’allient pour survivre et être plus forts. Ils essaieront ensuite de trouver un autre groupe mixte, et tenteront de chasser les vieux mâles dominants pour prendre leur place. Cela donne lieu à de violents combats, souvent à mort. Si les nouveaux arrivants gagnent, ils tueront les petits de leurs prédécesseurs pour pouvoir se reproduire au plus vite avec les femelles, afin de s’assurer une descendance. Les vieux mâles chassés meurent dans la plupart des cas, affaiblis par le combat et pas habitués à chasser.
Animaux territoriaux, les troupes de lions possèdent des territoires délimités, qu’ils marquent avec leur urine, leurs selles et d’autres déjections contenues dans les glandes de leurs pattes.
Comportement
Le lion est un animal crépusculaire : il chasse principalement au crépuscule ou à l’aube, moment où sa bonne vision nocturne couplée à la fraîcheur de l’air lui donnent l’avantage. La journée, il passe le plus clair de son temps à l’ombre d’un arbre à se reposer. En effet, les lions sont inactifs près de 20 heures par jour, dont 10 à 15 heures sont réservées pour la sieste.
Au sein d’un groupe, ce sont les lionnes qui s’occupent de la chasse, plus discrètes et rapides que les mâles. Le mâle dominant veille de son côté à protéger son territoire et sa progéniture des hyènes et des autres lions mâles.
Cri et vocalises
Le lion rugit ou feule. Il lui arrive aussi de ronronner et miauler. Il utilise ses différentes vocalises pour faire passer des messages divers : appel de femelle, indication de présence, message d’attaque.
Prédateurs
Le lion adulte ne possède pas de prédateur, mais est en compétition avec les hyènes.
Les petits sont quant à eux vulnérables aux hyènes tachetées et aux léopards.
Technique de chasse
Le lion est un des seuls félins qui chasse, la plupart du temps, en groupe. Ce sont généralement les femelles qui s’occupent de la chasse, les mâles étant trop lourds et pas assez rapides pour être réellement performants. Si un mâle vit seul, il se nourrit d’ailleurs principalement de charognes.
Comme la plupart des autres fauves en revanche, le lion chasse à l’affût, principalement aux heures fraîches de la journée (crépuscule et nuit) qui, couplées avec leur excellente vision nocturne, leur donne un avantage sur leur proie.
Les lionnes s’approchent discrètement au plus près de l’animal pour maximiser leurs chances de réussite, puis se jettent vers lui. Elles le poursuivent sur d’assez courtes distances, et tentent de l’encercler pour lui sauter sur le dos. Grâce à leurs griffes taillées pour la chasse, les lionnes s’accrochent à la peau de la proie sans que celle-ci ne puisse vraiment s’échapper. Elles la tuent ensuite à coups de puissantes morsures à la gorge.
Si cette technique n’est pas infaillible, il est rare de voir une proie sortir totalement indemne d’un combat avec des lions, perdant souvent sa queue, une oreille ou de la chair dans l’affrontement.
Longévité
L’espérance de vie du lion est de :
A l’état sauvage : 12 à 14 ans en moyenne, parfois jusqu’à 20 ans.
En captivité : 20 ans en moyenne, jusqu’à 29 ans.
Reproduction du lion
Type de reproduction
Vivipare
Habitudes reproductives
Polygame
Sevrage
Le jeune lion est sevré à l’âge de 6 mois.
Maturité sexuelle
Le lion est sexuellement mature entre 3 et 4 ans en moyenne.
Période de reproduction
Le lion ne possède pas de réelle saison des amours : le mâle peut se reproduire toute l’année, la femelle 3 mois par an.
Lieux de mise bas
Dans les fourrés.
Nombre de petits par portée
La lionne met bas à 1 à 4 lionceaux.
Gestation
4 mois.
Taille et poids des petits
1,1 kg à 1,37 kg à la naissance.
Menaces et conservation du lion
Danger d'extinction (Statut UICN)
Le lion est un animal Vulnérable (VU) selon l’UICN.
Population
Selon les estimations on compterait 16 500 à 30 000 lions à l’état sauvage, dont seulement 200 à 300 en Asie.
La population mondiale de lions est actuellement en baisse.
Menaces
Les menaces pesant sur le lion sont :
Perte et dégradation de son habitat : urbanisation, réchauffement climatique, …
Menaces directes : chasse au trophée et braconnage pour sa fourrure, ses dents/par peur.
ENVIRONNEMENT ( Les plantes qui souffrent se plaignent, et les insectes les écoutent )
Une nouvelle étude révèle que certains insectes entendent les sons émis par les plantes en mauvaise santé et utilisent cette information pour assurer leur propre survie. C’est le cas d’une espèce de mite.Laissées dans un coin, sans eau ni apport en lumière suffisant, elles se meurent. Certaines plantes, ont découvert des scientifiques l’année dernière, émettent des ultrasons lorsqu’elles sont déshydratées. Une forme de sanglots composés de clics imperceptibles pour les hommes mais audibles par certains animaux, y compris par les insectes, pour lesquels cette partie du spectre sonore est accessible. En lisant cette étude parue dans la revue Cell, le Dr Rya Seltzer a voulu en savoir plus. Après plusieurs mois de recherche, l’entomologiste a découvert qu’en plus d’entendre ces sons, certains insectes les interprétaient pour prendre des décisions.
Dans ses recherches, publiées en novembre dans la revue bioRxiv et relayées par le New York Times, le Dr Seltzer révèle :
-Les plantes émettent des sons et les insectes les écoutent vraiment. Ils font très attention à cette fréquence, savent ce qu’elle signifie et la prennent en compte dans leurs choix.
La spodoptère littorale – aussi appelée ver du cotonnier – une espèce de mite africaine, utilise ces sons pour savoir où pondre.
Les spodoptères littorales ont tout intérêt à pondre sur des plantes en bonne santé
Le moment de la ponte est crucial pour la spodoptère littorale. "Tous ses enfants vont se développer à partir de ce choix. Elle doit prendre une décision rapide et éclairée", explique la scientifique. Sous sa forme de chenille, qui dure de cinq à six semaines, elle est particulièrement vorace et dévore les feuilles des légumineuses et des cotonniers. Les chercheurs ont donc très vite estimé que ces mites avaient tout intérêt à pondre sur des plantes en bonne santé.
Après avoir prouvé ce postulat de départ, l’équipe de scientifiques a tenté de savoir si les lamentations d’une plante pouvaient pousser les spodoptères à la délaisser. Pour cela, les chercheurs ont disposé deux plants de tomates sains à deux extrémités d’un site d’expérimentations. Au niveau de l’un des plants, ils ont émis des sons préenregistrés auprès d’un plant de tomates déshydraté. Les mites ont massivement pondu leurs œufs sur la plante saine et silencieuse.
De nouvelles expériences nécessaires pour comprendre l’étendue du phénomène
Les résultats de l’étude tendent à démontrer que les spodoptères littorales font des choix directement liés aux sons émis par les plantes. Mais pour vérifier cette théorie, l’expérience devrait être réitérée dans la nature. Le Dr Seltzer pense également devoir mettre cette perception du bruit en relation avec les autres signaux qu’une plante peut envoyer, notamment en termes d’odeur.
L’autrice de l’étude est persuadée que les mites ne sont pas les seuls insectes à entendre les cris des plantes et à les prendre en compte dans leurs choix. "Beaucoup d’insectes perçoivent les ultrasons, et de nombreuses plantes en produisent quand elles sont stressées, note-t-elle. Je mettrais ma main à couper que l’interaction entre les deux est un phénomène courant."
L'HOMME ET LA VIE ( Les Anglais s'y connaissent en grisaille hivernale )
Les Anglais s'y connaissent en grisaille hivernale: voici leurs conseils pour surmonter la saison
-Des promenades à l'aube à l'achat de guirlandes lumineuses, les lecteurs du Guardian partagent leurs conseils et idées simples pour lutter contre la grisaille hivernale.Le froid, l'absence de lumière, la neige (au mieux), la pluie (le plus souvent), les arbres sans feuilles et le gris partout : pour peu qu'on ait élu domicile dans l'hémisphère nord, l'hiver, chaque année, sort l'artillerie lourde pour envoyer notre moral dans les chaussettes (des chaussettes en laine, idéalement). On parle d'ailleurs de "spleen hivernal" à tort, puisque les souffrances débutent dès l'automne.
Voilà déjà plusieurs semaines que la météo et le raccourcissement des jours nous mettent en effet à l'épreuve et testent notre solidité. Les Anglais en connaissent un rayon, qui composent avec un climat plus hostile encore que le nôtre et, fuseau horaire oblige, des journées encore plus courtes. De là à se laisser abattre ? Au contraire. L'hibernation n'étant pour l'instant inscrite dans aucun programme politique, la résistance, au contraire, s'organise. La preuve avec ces bons conseils et astuces livrés par les lecteurs du Guardian pour combattre la morosité de l'hiver. Voire réaliser l'impossible : profiter de la saison.
-1. Explorer un jardin botanique
La capitale anglaise regorge de parcs certes, mais aussi de jardins botaniques riches en serres tropicales. Comme celui de Kew Gardens dans l'ouest de Londres. "Ces lieux chaleureux et colorés offrent une parenthèse enchantée pour une promenade, une lecture ou un moment entre amis", assure la lectrice londonienne Isabelle.
2. Profiter de l'aube
Le jour se levant plus tard pendant l'hiver, il est moins douloureux de mettre le réveil pour être debout quand pointent les premiers rayons du soleil. "Je recommande de se lever à l’aube et de se rendre à la plage, au bord de la mer, sur une colline, dans une forêt ou un parc local – même s’il y a du brouillard ou un mauvais temps, explique Claire Graham, propriétaire de boutique, West Cork. Même lors d’une journée terne, il y a de la lumière et de l’espoir lorsque le jour commence et que tout s’éveille. De plus, vous profiterez de cette sensation agréable d’avoir pris une longueur d’avance sur la journée."
3. Prendre soin de son corps
L'hiver peut être l'occasion de mettre en place un court rituel au réveil. Lily S Giraud, instructrice de marche nordique et de yoga à Oxford, conseille de consacrer chaque matin cinq minutes à des étirements doux, dans son lit ou près d’une fenêtre. Puis d'enchaîner avec un petit-déjeuner réconfortant et nourrissant à la fois, en évitant le sucre et en privilégiant des ingrédients qui procurent une énergie durable. Les journées sombres constituent enfin, selon l'Anglaise, une belle occasion de cultiver ses relations sociales. "Pensez à inviter un ami pour un café ou un repas. La connexion humaine peut apporter une vraie chaleur et une vraie joie à votre journée."
4. Mettre de la couleur dans son quotidien
Portez des vêtements colorés ! Le conseil peut sembler anodin, mais il est efficace, assure Lynda, brodeuse et ancienne enseignante à Upton. "Lancez-vous dans des créations avec des couleurs vives, cousez, brodez, tricotez… Pour lutter contre les journées grises, remplissez aussi votre intérieur de couleurs. Coussins, murs ou même torchons, les possibilités sont nombreuses pour répondre à la grisaille."
5. Prendre l'air
"J’ai pris l'habitude de faire une courte promenade avant le travail lorsque je télétravaille, explique Mared, fonctionnaire à Londres. Je m'y tiens à l'heure du déjeuner lorsque je suis au bureau. Je fais en sorte de rendre ces balades poétiques : j’emporte un thermos rempli de thé et je m'offre une pâtisserie en chemin. J’écoute de la musique, j’envoie un message vocal à un ami. Je privilégie les grands espaces, les parcs, les larges avenues, pour fuir la sensation d’étouffement."
6. Illuminer sa maison
On aurait tort de négliger le superpouvoir d'une guirlande lumineuse dans un intérieur. "Disposez-en, à piles ou rechargeables, partout où c’est possible, défend Scarlet, calligraphe dans le Devon. Plus elles scintillent, mieux c’est. Programmez-les d'ailleurs pour qu’elles s’allument chaque soir à 17 heures, afin de rentrer dans une maison étincelante lors des soirées sombres et déprimantes."
7. Photographier la brume
Une façon de ne pas subir la morosité hivernale serait aussi de... la prendre en photo. C'est l'idée que soutient Julian Cartwright, gestionnaire d'un domaine et photographe paysagiste dans le comté de Shropshire. "Après une période particulièrement longue et déprimante sans soleil, j’ai un jour décidé de tenter ma chance et suis sorti photographier la brume. Depuis, j’aimerais qu’il y ait plus souvent du brouillard ! Les scènes familières prennent alors un air éthéré, minimaliste. De plus, comme je suis souvent le seul individu assez fou pour aller se promener dans ces conditions, le calme et la concentration sont parfaits pour pratiquer la pleine conscience."
8. S'inspirer des plantes
Vous pensez que l'hiver n'a rien à nous dire côté jardin ? Erreur. "Même si la saison peut sembler sombre, confie Stephen, jardinier à Cardiff, je trouve du réconfort en m'intéressant aux plantes, que nous avons tous hâte de retrouver au printemps. Les bulbes ont besoin d’un sol froid pour se préparer à fleurir au bon moment, tandis que les vivaces plantées en automne développent leurs systèmes racinaires pendant les mois d’hiver. Et si les arbres sans feuilles vous dépriment, pensez à l’incroyable capacité des arbres caducs à perdre leurs feuilles parce qu’ils n’en ont tout simplement pas besoin, et parce que l’eau contenue dans leurs cellules gèlerait autrement. Cela m’aide à voir l’hiver comme une période où les plantes et la nature se ressourcent, ce qui m’encourage à en faire de même."
9. Pratiquer la marche nordique
La marche nordique, rappelle la Fédération française de randonnée, est apparue dans les années 70. "Plus dynamique que la randonnée, elle a pour principe d’accentuer le mouvement de balancier naturel des bras à l’aide de deux bâtons. Le corps est ainsi propulsé vers l’avant."
Pour certains Anglais, comme Jennifer Baker, coach à Bury Saint Edmunds, elle constitue un formidable remède contre la déprime hivernale. "Je fais partie d'un groupe qui la pratique deux à trois fois par semaine, sur des distances de 11 à 16 km, peu importent les conditions météo (sauf en cas de vent violent). Il y a quelque chose de magique à être dehors, à marcher d’un pas vif, à discuter avec ses amis proches. Nous refaisons le monde et, à la fin de la promenade, nous sentons tellement bien."
La discipline, ajoute-t-elle, lui a permis d'explorer la campagne. "Les paysages, la faune et la nature que l’on découvre à pied sont tout simplement incroyables. Cela met le cœur en joie et chasse la morosité."
10. Composer avec la météo
Une dernière façon de profiter de l'hiver consiste à repenser notre perception de la météo que la saison impose. Il fait gris et froid, certes. Mais si c'était l'occasion de composer avec ? "Décidez d’aimer le soleil, la pluie, les nuages et les journées couvertes, propose Felix Sagar, designer en architecture à Brighton. Chaque temps a une qualité différente et permet une façon d’être particulière. L’obscurité, par exemple, est une opportunité pour se recentrer et revenir à la source de ses idées. On peut aussi profiter de ce temps pour apprendre quelque chose de nouveau, pour sociabiliser moins, prendre du temps pour rester chez soi, lire ou développer un projet."
décembre 10, 2024
L'HOMME ET LA VIE ( Laisser un pourboire ne rendait pas plus généreux? )
Et si être un peu trop incité à laisser un pourboire ne rendait pas plus généreux?
-Une expérience menée par deux professeurs de marketing a démontré qu’une trop forte pression sur les clients au moment du pourboire se révèle contre productive pour les entreprises et celles et ceux qu'elles emploient.Donne-t-on plus de pourboire si le serveur nous regarde ? L’essor des pourboires numériques – sur l’écran des machines à carte bleue ou sur les appareils de points de vente – a modifié la dynamique de pourboire, donnant parfois l’impression d’être épié au moment de faire notre choix.
Mais alors, sous le coup du stress ou de la gêne, devient-on plus généreux ? Pas forcément, selon les résultats de cette expérience originale publiés sur The Conversation.
Plus de pression : moins de pourboire
Sara Hanson et Nathan B. Warren, deux professeurs de marketing respectivement à l’Université de Richmond et à la BI Norwegian Business School, ont décidé d’analyser 36 000 transactions avec plus de 1 000 participants.
Quatre expériences ont été réalisées en tout dans lesquelles ils ont comparé des systèmes de pourboires plus intrusifs (comme lorsque les employés sont face aux clients et que les applications montrent immédiatement les pourboires aux employés), avec des systèmes plus respectueux de l’intimité (comme les systèmes de paiement sur comptoir où les employés qui ne sont pas face aux clients)."Nos résultats sont clairs : les niveaux élevés de surveillance sont mauvais pour les affaires", soutiennent les professeurs. Les clients qui se sentent surveillés lorsqu'ils donnent un pourboire sont moins enclins à revenir ou à recommander l'établissement. Si le respect de la vie privée permet souvent aux clients de se sentir plus généreux et de maîtriser leurs décisions.
Repenser le système des pourboires
Mais alors, qu’est-ce qui explique ce comportement ? Les chercheurs soulignent tout d’abord un élément pertinent : si une personne peut apprécier d’être observée lorsqu’elle fait un don à une œuvre de charité, ce n’est pas le même mécanisme concernant le pourboire. Celui-ci n’étant pas entièrement volontaire, il est perçu comme une attente et fait perdre aux individus leur sensation de contrôle sur la situation.
Pour fidéliser la clientèle il faudrait donc que les entreprises fassent en sorte que le moment du pourboire soit une expérience positive, renforçant le sentiment de générosité et de statut social.
Pour bien comprendre la pertinence de cette enquête, il est important de rappeler que dans certains pays comme les États-Unis, les pourboires constituent souvent la majeure partie des revenus du personnel d'un établissement.
D'après les professeurs, une entreprise aurait pourtant tout intérêt à garantir des salaires équitables à ses employés. Cela éviterait de trop dépendre des pourboires et risquer de déplaire aux clients. Si l'expérience reste agréable, les clients ne s'en montreront que plus fidèles et généreux.
L'EXERCICE SPORTIFS POUR ETRE BIEN ( Top 5 des sports à pratiquer dans une piscine après le travail )
Après une journée bien remplie au bureau, il est essentiel de trouver une activité qui combine détente et performance physique. La piscine, véritable espace de bien-être, permet de s'évader tout en restant actif. Les sports aquatiques sont particulièrement adaptés pour relâcher la pression tout en travaillant efficacement l'ensemble du corps. Voici une sélection de 5 sports à pratiquer dans l’eau, idéals pour se ressourcer après le travail et booster la productivité dès le lendemain.
1. Aquagym : une remise en forme tout en douceur
L'aquagym est la solution parfaite pour les collaborateurs en quête de relaxation active. En plus d’être douce pour les articulations, cette activité permet de renforcer les muscles et d'améliorer la souplesse sans contrainte physique. Les mouvements, réalisés dans l’eau, sont idéaux pour évacuer les tensions après une longue journée. De nombreuses entreprises partenaires de Gymlib intègrent cette activité à leurs offres bien-être, permettant ainsi aux équipes de profiter de séances revitalisantes, même après une journée de réunions.
Avantages : préserve les articulations, renforce la silhouette et améliore la souplesse.
Astuce : pour une efficacité maximale, variez les exercices et combinez bras et jambes dans vos mouvements.
2. Aqua Cycling : l’intensité à chaque coup de pédale
Pas eu le temps de pratiquer votre sport en entreprise aujourd’hui ? Voici la solution : pédaler dans l’eau, une idée surprenante mais extrêmement efficace ! L'aqua cycling permet de conjuguer les bienfaits du vélo à ceux de l'eau. L'effort est intense, mais l'eau protège les articulations, rendant cette activité idéale pour une récupération active après une journée stressante. De plus, elle favorise une bonne circulation sanguine, idéale pour les collaborateurs passant de longues heures assis. Grâce à Gymlib, les entreprises peuvent offrir à leurs équipes un accès à cette activité dynamique dans de nombreux centres partenaires.
Avantages : améliore l’endurance, affine la silhouette et stimule la circulation sanguine.
Astuce : pensez à bien vous hydrater avant et après la séance, et n'oubliez pas de vous étirer pour optimiser la récupération musculaire.
3. Natation : l’incontournable pour une séance complète de sport dans une piscine après le travail
La natation reste un classique des sports aquatiques et pour cause ! Que ce soit pour un travail cardio ou musculaire, c'est l’un des moyens les plus complets de solliciter l’ensemble du corps tout en se relaxant. Après une journée de travail intense, une séance de natation permet de détendre l'esprit tout en renforçant les muscles. Chez Gymlib, nous savons que la natation fait partie des activités préférées de nos utilisateurs pour sa capacité à évacuer le stress et à améliorer la condition physique globale.
Avantages : renforce le système cardiovasculaire, muscle l’ensemble du corps et favorise la relaxation mentale.
Astuce : variez les styles de nage (brasse, crawl, dos) pour travailler différents groupes musculaires et optimiser les bienfaits.
4. Water Polo : un sport collectif pour fédérer les équipes
Le water-polo, en plus d’être un sport extrêmement cardio, est un excellent moyen de renforcer la cohésion d’équipe. Très physique et demandant à la fois de l’agilité et de l’endurance, il développe non seulement les qualités athlétiques, mais aussi l’esprit d’équipe et la coordination. Organiser des sessions de water-polo permet aux entreprises de renforcer la cohésion d’équipe et les liens entre collaborateurs tout en leur offrant une activité ludique et intense.
Avantages : développe la coordination, l’esprit d’équipe et améliore l’endurance.
Astuce : pour bien débuter, une bonne préparation physique est essentielle, notamment des exercices d’échauffement pour éviter les crampes.
5. Aqua Zumba : défoulez-vous en rythme dans une piscine après le travail
Si vous recherchez une activité plus ludique, l’aqua Zumba est faite pour vous ! Danser dans l’eau tout en faisant du sport est une excellente manière de décompresser après le travail. Les mouvements de danse latino combinés à la résistance de l’eau offrent un entraînement cardio dynamique et amusant. Les entreprises qui souhaitent offrir à leurs équipes une activité fun et énergique trouveront dans l’aqua Zumba un excellent moyen de favoriser la bonne humeur et la convivialité.
Avantages : permet de se défouler, améliore la coordination et booste l’endurance.
Astuce : laissez-vous emporter par la musique et ne soyez pas timide, l’eau dissimule vos mouvements pour plus de liberté !
Proposer des activités aquatiques après le travail permet aux entreprises de promouvoir le bien-être tout en contribuant à la productivité et à la cohésion de leurs équipes. Chez Gymlib, nous mettons à disposition des abonnements sport et bien-être qui donnent accès à une large variété de salles de sport et centres aquatiques, où ces activités sont proposées. Plongez dans l’eau et offrez à vos collaborateurs un véritable moment de décompression tout en optimisant leur santé physique et mentale !
VOTRE SANTE D'ABORD ( Pieds froids : 5 solutions pour vite les réchauffer )
Froid aux pieds la journée, dehors, à la maison, la nuit, même avec des chaussettes ? Les solutions pour les réchauffer avec les conseils de notre médecin généraliste et naturopathe.
Sommaire
Causes
Que faire ?
Pieds froids à la maison
Pieds froids la nuit, dans le lit
Pieds froids dehors
Que c'est désagréable d'avoir froid aux pieds ! "Le froid entraine une vasoconstriction (diminution du diamètre des vaisseaux sanguins) et le sang est ramené vers le centre du corps afin de protéger les organes nobles afin que la majorité du corps soit maintenu à 37 degrés. Les extrémités sont alors délaissées" nous explique le Dr Daniel Caroff, médecin généraliste et naturopathe. Il existe des astuces et conseils très efficaces pour les réchauffer rapidement, qu'on soit dehors, à la maison, dans son lit ou au bureau.Quelles sont les causes quand on a froid aux pieds ?
En naturopathie, il n'est pas normal d'avoir froid aux pieds et aux mains même quand il fait froid. "On considère alors que ces personnes ont un trouble du fonctionnement du foie. Il s'agit de l'organe le plus chaud et lorsqu'il est trop intoxiqué, il fonctionne moins bien et ne produit donc pas assez de chaleur." Même si la sensation de froid se situe au niveau des pieds, on soignera alors en priorité le foie. En médecine chinoise, quelqu'un qui a froid aux pieds "n'a pas assez de yang (yin et yang). Dans ce cas on le traite en faisant de l'acupuncture ou à l'aide d'un bâtonnet de moxa placé par-dessus une tranche de gingembre qui est un ingrédient chaud au niveau du nombril. Cela réchauffe le centre et donc le yang va pouvoir réchauffer le corps". Sachez enfin que certaines personnes sont plus sensibles au froid à cause de la surexpression d'une protéine appelée TRPM-8. Celle-ci est située au niveau des neurones sensoriels qui font office de récepteur, et est directement impliquée dans les sensations de froid. Elles auront donc régulièrement les pieds froids.
Que faire ?
Mettre des chaussettes en soie ou en 100% laine car elles sont thermorégulatrices.
Faire un bain de pieds chaud pour favoriser la vasodilatation. Vous pouvez diluer de l'huile essentielle de thym à thujanol, qui réchauffe, dans un solvant (préparation pour le bain, lait en poudre, savon liquide, sel de bain ou sel d'Epsom…) et en verser dans l'eau du bain de pieds.
Mettre une bouillotte sous ses pieds.
Masser ses pieds avec une crème antifroid (voire les frictionner pour activer la circulation).
Porter des chaussons à la maison pour éviter que les pieds ne soient en contact direct avec le sol. On peut aussi mettre un tapis sous ses pieds quand on télétravaille ou pendant qu'on est à table.
Comment réchauffer ses pieds à la maison ?
Avoir froid aux pieds alors qu'il fait plutôt chaud à l'intérieur de la maison (entre 19 et 23 °C) peut être directement lié au logement. Par exemple, si les sols sont froids, alors la température ressentie est inférieure à celle affichée sur le thermomètre. Un taux d'humidité trop important peut également être la cause d'un ressenti plus faible. Enfin, surveillez qu'il n'y ait aucune infiltration d'air à l'intérieur de votre logement.
► Les effets de la bouillotte : Daniel Caroff conseille de placer une bouillotte sous les pieds et une autre au niveau du foie. Le foie étant l'organe le plus chaud du corps, l'aider à se réchauffer permettra gagner en chaleur dans le tout le corps.
► Masser ses pieds : une crème anti-froid et humidité à la vitamine A est idéale pour un massage des pieds à effectuer avant de sortir de la maison.
Pieds froidsPieds froids et circulation sanguine © barks - 123RF
Comment réchauffer ses pieds la nuit, dans le lit ?
La nuit, la température du corps diminue d'environ 1,5°C. Et priorité aux organes vitaux où la chaleur se concentre. Les extrémités sont donc, là aussi, délaissées.
Surélever légèrement ses jambes pour faciliter le retour du sang vers le cœur et ainsi stimuler la circulation sanguine.
Dormir sans chaussettes pour éviter la transpiration du pied, responsable de la sensation de froid. Si vraiment vous voulez porter des chaussettes, préférez des chaussettes en coton, en laine ou en soie (thermorégulatrices) et amples.
Avant de dormir : faire un bain de pieds dans une eau à 37-39°C, avec des quelques gouttes d'huile essentielle d'eucalyptus, pendant 15 minutes.
Réchauffer son lit en amont à l'aide d'une bouillotte ou d'un galet à réchauffer au micro-ondes.
Bain de pieds : douleur, oedème, goutte, recettes, comment faire ?
Le bain de pieds ou pédiluve est une pratique ancienne qui consiste à tremper ses pieds jusqu'aux chevilles dans de l'eau chaude ou froide. Agréable pour se détendre, il peut aussi soigner (mycose, douleur, goutte...). Comment faire un bain de pieds ? Recette et mode d'emploi avec du bicarbonate, du gros sel, des huiles essentielles...
Quelles solutions pour réchauffer les pieds dehors ?
Porter des semelles adaptées : si vos chaussures et chaussettes ne suffisent pas à vous isoler du froid, vous pouvez essayer des semelles isolantes en feutre. En revanche, éviter les semelles amovibles chauffantes qui favorisent le mauvais retour veineux.
Eviter les chaussures trop serrées qui compriment les orteils et les empêchent de bouger.
Gérer la transpiration : l'eau gèle à cause du froid. Si vous transpirez de cette zone, il sera difficile pour vos pieds de se réchauffer correctement. Un podologue ou un dermatologue peuvent vous conseiller sur les traitements existants.
Limiter le stress et le tabac : ces deux facteurs aggravent la frilosité
Enfin, ne pas oublier de se couvrir la tête quand on sort car c'est pas là que s'échappe 30% de la chaleur corporelle.
Merci au Dr Daniel Caroff, médecin généraliste et naturopathe. Source : La méthode des bains dérivatifs de France Guillain
L'HOMME ET LA VIE ( Dans le Nord du Canada, un hameau habité disparaît petit à petit )
Dans le Nord du Canada, un hameau habité disparaît petit à petit, en s'enfonçant dans le permafrost
-Tuktoyaktuk pourrait être la première ville à disparaître à cause de la fonte des glaces. Ce hameau dans le nord-ouest du Canada doit déjà déplacer ses maisons pour éviter qu’elles ne terminent dans la mer lors d’impressionnants glissements de terrain.Ils vont devoir partir, ce n’est qu’une question de temps. À Tuktoyaktuk, dans les Territoires du Nord-Ouest, au Canada, le pergélisol (ou permafrost) fond à une vitesse inquiétante. Cette couche de sol glacé, censée se maintenir en dessous de 0°C en permanence, ne tient plus. À mesure que la glace fond, des pans entiers du hameau sont emportés dans la mer. Les quelque 1 000 habitants, dont certains qui ont discuté avec le New York Times, regardent leur avenir avec incertitude.
Tuktoyaktuk abrite le peuple Inuvialuit – le nom donné aux Inuits dans cette région du Canada. Ils y vivent depuis des siècles. Mais depuis quelques années, la nature, mise sous pression par le changement climatique d’origine humaine, leur tourne le dos. Tuktoyaktuk a longtemps été le point de départ des missions d’exploration de l’Arctique. Désormais, ce sont les chercheurs spécialisés dans le permafrost qui ne cessent de venir y faire des mesures.Les scientifiques s’intéressent de très près aux évolutions du permafrost à Tuktoyaktuk
L’Arctique se réchauffe quatre fois plus rapidement que le reste du monde. C’est cette augmentation des températures qui mène à la fonte du permafrost. Or, un quart du pergélisol terrestre se trouve au Canada. Et les glissements de terrain n’ont cessé d’augmenter en intensité dans l’ouest de la zone arctique ces vingt dernières années. "Ils surviennent partout désormais", alerte Dustin Whalen, un scientifique missionné par le gouvernement et chargé de former les populations locales aux risques associés à la fonte du permafrost.
William Dillon fait partie des formés. Le sexagénaire a créé sa propre équipe au sein de la communauté pour réaliser des mesures et répertorier les changements visibles dans la toundra. Si les scientifiques s’y intéressent d’aussi près, c’est parce que le permafrost, lorsqu’il fond, libère des gaz à effet de serre capturés depuis très longtemps dans le gel.
Pour le moment, l’émergence de nouveaux végétaux, qui absorbent le dioxyde de carbone, permet de contrebalancer le phénomène de réchauffement. "D’ici la fin du siècle, les émissions dues au permafrost seront équivalentes à celles du troisième ou quatrième pays le plus émetteur dans le monde", alerte toutefois Dustin Whalen.
Les Inuvialuit cherchent de la place pour les vivants comme pour les morts
À Tuktoyaktuk, certains habitants ont déjà déménagé. Les maisons les plus proches de la mer reposent parfois seulement sur du sable. Un terrain très instable maintenant que le permafrost ne le tient plus. Des glissements de terrain auront lieu, c’est une certitude. Avant que cela ne survienne, les maisons sont soulevées et posées ailleurs, plus loin du rivage, sur des crics. Les premiers déménagements du genre ont eu lieu en avril 2020. Les habitants le savent : cette solution ne peut être que temporaire.Les Inuvialuit ont une autre préoccupation majeure : leurs morts. Le cimetière de Tuktoyaktuk penche dangereusement vers la mer. Alors que les habitants devaient auparavant allumer un feu avant d’enterrer leurs morts pour creuser la terre, celle-ci se dérobe désormais sous leurs pieds.
"On ne déplace jamais un cimetière dans la culture Inuvialuit, souligne le maire de la ville, Erwin Elias. Mais on ne veut pas que nos enfants finissent par voir des cercueils flotter dans l’océan."
VOTRE SANTE D'ABORD ( Ces symptômes sont révélateurs d'une fatigue pathologique, il faut consulter )
Ce n'est pas une simple fatigue.
-En cette fin d'année, la fatigue s'invite chez beaucoup d'entre nous. Parfois banale, parfois plus préoccupante, cette sensation d'épuisement aussi appelée "asthénie" peut devenir source d'inquiétudes. "En général, l'anxiété du patient vient du fait qu'il ne sait pas ce qu'il a" nous explique le Dr Lama Giovansili, endocrinologue. Pour distinguer une fatigue passagère d'un problème de santé plus important, il faut observer la présence de certains symptômes.
Lorsque l'on est très fatigué, ce sont les symptômes dits "spécifiques" qui doivent pousser à la consultation. "Par exemple, si la fatigue est associée à une fièvre, de la toux, une diarrhée, une forte douleur ou encore un essoufflement" cela doit encourager à consulter. Dans un premier temps, "il faut faire un examen clinique et un bilan sanguin initial pour chercher une cause de l'asthénie et ne pas oublier un test de grossesse chez la femme" indique le Dr Giovansili. Une asthénie peut indiquer une anémie (carence en fer) et/ou d'autres carences, une maladie de la thyroïde (hypothyroïdie ou hyperthyroïdie), un manque de cortisol (insuffisance surrénalienne), un diabète, une insuffisance rénale, une maladie inflammatoire auto-immune (comme une polyarthrite par exemple) ou encore une infection (Covid ou autre).
"Il faut savoir arrêter l'escalade d'examens complémentaires et rassurer le patient"
L'asthénie peut aussi cacher un syndrome de fatigue chronique (SFC). Il s'agit d'une sensation de fatigue qui évolue depuis plus de 6 mois et qui associe des symptômes variables comme des douleurs musculaires, des douleurs articulaires, des céphalées, un sommeil non réparateur ou encore une sensation de malaise durant plus de 24 heures après un effort. Les causes de ce syndrome ne sont pas encore connues. "Il y a beaucoup d'hypothèses. Certains sont partisans d'une origine psychosomatique et d'autres considèrent qu'il s'agit bien d'une maladie invalidante de cause organique encore inconnue" poursuit l'endocrinologue. Si le syndrome n'entraîne pas de complications spécifiques pour le patient, sa prise en charge est complexe car "peu efficace et non standardisée" d'après notre experte. Il n'y a pas de traitement spécifique, mais sont proposés : la thérapie cognito-comportementale (TCC), l'activité physique graduelle (marche, natation, cyclisme) et les traitements symptomatiques (antidouleur et antidépresseur)
-Parfois, les causes d'une fatigue anormale ne sont pas trouvées. "Une fois les examens réalisés, et en l'absence de contexte évocateur ou en l'absence de symptômes d'orientation (cardiaques, respiratoires, cancer...), il est indispensable de savoir arrêter les investigations inutiles ou d'éviter de mettre une étiquette de problèmes "infra-clinique" (qui ne provoque pas de manifestation décelable ndlr) qui entretiendra le patient dans la recherche d'une explication de ses symptômes, compliquant sa prise en charge longue et complexe. Il faut savoir arrêter l'escalade d'examens complémentaires et rassurer le patient", prévient le Dr Giovansili. Quelquefois, retrouver de l'énergie de manière durable implique uniquement des changements de mode de vie. "Il faut apprendre à vivre avec sa maladie, gérer son énergie, travailler sur soi-même, sur l'anxiété, sur le stress et pratiquer une activité physique régulière" conclut notre interlocutrice.
ENVIRONNEMENT ( Substances chimiques dangereuse )
Substances chimiques dangereuses: les règles européennes sous le feu des critiques
Si elle partait d'une ambition honorable, la législation européenne "Reach" est rapidement devenue la cible de nombreuses critiques.
Critiquée dans un rapport au vitriol lundi, la législation européenne contre les substances chimiques dangereuses subit régulièrement les foudres des ONG environnementales, faute de transparence et de sanctions dissuasives contre les industriels.
La Commission européenne entend proposer de nouvelles règles en 2025.
Comment l'UE encadre les substances chimiques ?
Afin de protéger la santé et l'environnement, l'Union européenne a adopté en 2006 le règlement Reach qui encadre la fabrication et l'utilisation des substances chimiques en Europe.
Les industriels ont l'obligation de déclarer les substances qu'ils utilisent en quantité supérieure à une tonne par an.
L'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) vérifie les déclarations, et les autorités de chaque pays évaluent les substances utilisées.
Pour les substances les plus dangereuses pour la santé et l'environnement que l'UE tente de faire disparaître, les entreprises doivent obtenir une autorisation préalable de la Commission européenne afin de continuer à utiliser ces produits, sous conditions. Et celles qui ne respectent pas les règles s'exposent à des sanctions de leurs autorités nationales.
Quelles sont les difficultés ?
Depuis plusieurs années, la complexité de la procédure est critiquée de toutes parts.
Dans un rapport lundi, l'ONG environnementale ClientEarth dénonce le manque de sanctions. Pour les substances les plus dangereuses, "les inspections sont rares" chez les industriels. "Les non-conformités sont rarement sanctionnées et les amendes quasiment inexistantes".
"Les autorités européennes n'exercent aucun contrôle sur l'application des lois au niveau national et font peu pour en savoir plus", accuse encore cette organisation.
ClientEarth pointe aussi le manque de transparence des États membres, en reprochant à l'Allemagne et l'Espagne de ne pas lui avoir transmis de données sur le respect ou non du règlement Reach chez leurs entreprises industrielles.
La médiatrice de l'Union européenne avait également tiré la sonnette d'alarme il y a quelques semaines. Dans un rapport d'enquête, Emily O'Reilly dénonçait la lenteur de la Commission européenne pour statuer sur les demandes d'autorisation des entreprises qui utilisent des substances dangereuses.
Très loin du délai légal de trois mois, "il faut en moyenne 14,5 mois à la Commission pour préparer les projets de décision" et "dans certains cas, cela prend plusieurs années", une période pendant laquelle les entreprises peuvent continuer à utiliser les substances dans l'Union.
En France, à l'Anses - l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail - la toxicologue Johanna Barthelemy-Berneron regrette également les "lenteurs" et la "complexité" du dispositif européen.
Les données transmises par les industriels peuvent être "limitées, obsolètes, voire même absentes des dossiers d'enregistrement", reconnaît-elle.
Mais cette réglementation reste pour autant "ambitieuse et indispensable", nuance la spécialiste. Reach a par exemple permis d'interdire "le controversé bisphénol A dans certains produits comme les biberons".Que va faire la Commission européenne ?
Initialement, la Commission européenne comptait réviser ce règlement en 2022, pour le durcir drastiquement et réduire les risques sur l'environnement et la santé.
Mais l'exécutif européen a déjà reporté cette révision à plusieurs reprises, notamment au nom de la préservation de "règles équitables" entre les entreprises européennes et la concurrence internationale.
Au coup d'envoi de son second mandat, la présidente de la Commission Ursula von der Leyen a promis de "simplifier Reach" et de clarifier la législation sur les "polluants éternels", les fameux PFAS, ces substances chimiques synthétiques au long cycle de vie, massivement présentes dans la vie courante.
Le dossier a été confié à la Suédoise Jessika Roswall, commissaire européenne chargée de l'Environnement, et au Français Stéphane Séjourné, vice-président chargé de la Stratégie industrielle. Ils veulent mettre une proposition législative sur la table en 2025.
Stéphane Séjourné entend s'attaquer au temps de réponse de la Commission et simplifier la procédure. Il voudrait "réduire considérablement la nécessité d'autorisations individuelles" pour les entreprises et privilégier des "restrictions plus larges", a-t-il écrit aux eurodéputés.
Cela permettrait de "prendre des décisions plus vite et de manière plus transparente", "sans compromettre le niveau élevé de protection de notre santé et de notre environnement", assure-t-il.
décembre 09, 2024
L'EXERCICE SPORTIFES POUR ETRE BIEN ( Guide : 5 raisons de pratiquer la méditation avant de travailler )
Commencer la journée de travail en douceur est essentiel pour rester productif et bien dans son esprit. La méditation, avec ses nombreux bienfaits prouvés, est une pratique idéale à adopter le matin pour se préparer mentalement et physiquement aux défis de la journée. On vous présente ici cinq raisons qui devraient vous convaincre d’essayer de méditer avant d’ouvrir vos emails !
Améliore la concentration et la productivité
La méditation est reconnue pour améliorer la concentration et la productivité, deux qualités essentielles dans un environnement professionnel. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université de Californie, les employés qui méditent régulièrement avant le travail affichent une augmentation de leur productivité de 16 % grâce à une meilleure focalisation. Cette étude met en évidence que quelques minutes de méditation permettent de réduire la dispersion mentale et d’améliorer la gestion des tâches en évitant les interruptions de pensées parasites.
Pour consulter l’étude, c’est par ici : étude de l’Université de Californie.
Réduit le stress et l’anxiété
Avant de se lancer dans les urgences et la liste interminable des tâches, méditer peut contribuer à calmer le mental et à réduire le stress. Plusieurs recherches démontrent qu’une pratique méditative régulière réduit les niveaux de cortisol, l’hormone du stress. En effet, commencer sa journée avec quelques minutes de respiration et de recentrage peut apaiser les pensées anxieuses et créer une bulle de sérénité avant de se plonger dans les dossiers.
Augmente la créativité et la capacité de résolution de problèmes
La méditation favorise un état mental propice à la créativité et à la résolution de problèmes. En calmant les pensées et en encourageant la clarté mentale, la méditation permet de voir les situations sous un nouvel angle. Pour les professionnels qui ont besoin d’un esprit créatif et flexible, méditer le matin peut s’avérer être un atout majeur. Vous pouvez ainsi entrer dans une réunion avec des idées claires et des solutions innovantes en tête.
La méditation avant de travailler améliore la santé mentale sur le long terme
Au-delà des bienfaits immédiats, pratiquer la méditation régulièrement contribue à améliorer la santé mentale de manière durable. Cela peut réduire les risques de dépression et d’anxiété en offrant un espace quotidien pour se reconnecter avec soi-même. Des études montrent que même dix minutes de méditation quotidienne peuvent avoir un impact significatif sur le bien-être psychologique. C’est aussi un excellent moyen de prévenir l’épuisement professionnel, particulièrement pour les métiers à forte pression.
Favorise une attitude positive pour la journée
Enfin, la méditation permet d’adopter une attitude plus positive face aux défis de la journée. Chez Gymlib, nous encourageons nos utilisateurs à intégrer des pratiques de bien-être comme la méditation dans leur routine matinale. Cela aide non seulement à augmenter leur bien-être au travail, mais aussi à cultiver une ambiance de travail plus sereine et motivante. L’optimisme que procure la méditation est contagieux et peut même contribuer à dynamiser votre équipe.
Comment débuter avec la méditation ?
Si l’envie de méditer avant le travail vous intéresse, pas besoin d’être un expert ! Voici quelques conseils pour bien démarrer :
Privilégiez un endroit calme : une pièce où vous pouvez vous isoler cinq à dix minutes.
Utilisez une application guidée : des applis comme Insight Timer ou Calm sont parfaites pour les débutants.
Fixez-vous un objectif simple : 5 minutes pour commencer, puis augmentez progressivement la durée si cela vous convient.
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