Homme et vie - Environnement - Agriculture - Culture générale - Monde d'Animal
novembre 02, 2024
Homme et vie ( Un poulailler dans mon jardin )
Un poulailler dans le jardin
Chéri ? Et si on avait des poules dans notre jardin ? Je veux dire construire un poulailler ... Un parc pour poules, ce serait super ! On les élèverait, les nourrirait et on aurait des œufs tout frais, rien que pour nous. En plus, j’ai lu l’article sur la Pause Jardin, c’est super simple d'avoir ces animaux dans son jardin et tout y est bien expliqué ! Regarde, lis-le tu vas être conquis.
Les poules et la loi
Si le poulet fait régner la loi, la poule quant à elle peut semer très rapidement la zizanie autour de vous. Que dit la loi ? Que vous pouvez avoir des poules à condition qu’elles soient :
Elevées dans un jardin (c’est mieux),
Dans un poulailler ne dépassant pas 20m2 (sinon = permis de construire auprès de la mairie),
Que leur nombre ne dépasse pas 50 crêtes (soit 100 pattes et 50 paires d’ailes). Au delà : vous serez assimilé à une exploitation agricole.
Respecter les règles de bon voisinage (nuisances sonores, olfactives…).
Quelles poules acheter et où ?
Sont-ce des poules d’ornement (qui iront à merveille avec les dahlias de mémé du fond du jardin, et qui pondent aussi - pour certaines - des oeufs) ?
Sont-ce des poules pondeuses (qui comme leur nom l’indique pondront des œufs et sont « moins jolies » à regarder que les premières) ?
Aujourd’hui il est très facile d’acheter des poules ou des poussins. Votre animalerie la plus proche ou votre jardinerie en ont forcément. Vous pourrez même en acheter sur certains marchés.
Il existe aussi les GAEC et les fermes spécialisées dans la vente de poussins démarrés, c’est à dire âgés de 4 à 6 semaines, et de poules pondeuses autosexables (dont on sait qu’elles sont « femelle » ou « mâle » dès le stade du poussin grâce à la couleur de leur plumage).
Il est possible d’acheter des poules rousses ou noires de 1 ,5 Kg à partir de 15 €TTC.
La première question à vous poser est de savoir ce que vous désirez faire avec vos poules !
Mais il en existe de bien d’autres encore :
Pour les poules pondeuses :
Poules grises tachetées et blanches que vous pourrez accompagner d’un coq (compter environ 25 € pour un coq).
Pour les poules dites d’ornement :
La Poule de soie, la Bantam de Pékin (adorable, avec les enfants, si si). la hollandaise huppée (mi-poule / mimolette), la Padoue, la Wyandotte (calme, robuste et rustique), la Sabelpoot (vive et amicale malgré un nom difficile à porter), la Barbue (pas rancunière vis à vis de la nature), la Sebright, la Hollandskriel qui détient le record de la taille mini, la Nagasaki dont l’origine est évidente (elle vient de Chine, je rigole…). Du côté des grands modèles : la Brahma, excellente couveuse, la Coucou de Rennes, la Faverolle ou la Leghorn. Sans oublier l'Araucana qui pond des œufs de couleur verte (idéal pour la St Patrick ou Halloween) !
Les prix sont variables en fonction des espèces et tournent en moyenne autour de 25 €/pièce.
Qui dit poules, dit poulaillers
null
Vous devrez acheter ou construire un poulailler pour votre jardin. Vous en trouverez à tous les prix dans toutes les bonnes animaleries et jardineries ainsi que sur le net.
Il faudra le placer dans un endroit du jardin au calme, abrité du vent et des intempéries. Vous devrez au minimum avoir deux poules, car elles supportent difficilement l'isolement et la solitude. L’idéal est d’avoir des poules d’âge différent pour permettre une alternance dans la ponte des œufs, sachant qu’une poule vit en moyenne entre 4 et 5 ans (et qu’elle pondra un œuf par jour environ).
Construire son poulailler
Le poulailler 4 étoiles comporte un nid par poule, une mangeoire, un abreuvoir, un perchoir et un pondoir. Réservez un coin de votre poulailler pour y placer des cendres ou du sable, car les poules adorent se rouler dans la poussière. La construction s'effectue généralement en bois.
Faut-il un coq dans mon poulailler ? Si derrière cette innocente question se cache le fait de savoir si il faut un coq pour qu’une poule ponde des œufs = NON ! Les œufs que nous mangeons au quotidien sont « clairs » donc non fécondés par le coq (heureusement, car - de vous à moi - je ne suis pas fan du poussin à la coque, au plat ou en brouillade).
Si vous souhaitez que votre basse-cour s’agrandisse naturellement, le coq sera fort utile.
Qui dit poule, dit très souvent (voire tout le temps) présence de souris et de rats à proximité. Ses hôtes peu recommandables doivent être éliminés pour des raisons évidentes d’hygiène et de salubrité. Vous pouvez consulter nos produits anti-nuisibles (cliquez ici pour accéder à la gamme de produits).
Dans les campagnes, les attaques de poules par les renards ne sont pas un mythe, aussi vous apporterez un soin tout particulier à la clôture qui délimitera votre basse-cour et plus globalement votre jardin.
Une dernière chose : placer son poulailler au fond de son jardin c’est chouette. Si votre fond de jardin est mitoyen avec un voisin, veillez à ce que la proximité des poulaillers ne cause aucune nuisance sonore, ni olfactive.
Prendre soin de ses poules
null
Assurez-vous qu’elles ont toujours à boire (de l’eau propre et en quantité : la poule pouvant souffrir rapidement de déshydratation en cas de grosse chaleur) et à manger. Ramassez les œufs régulièrement pour qu’ils ne soient pas cassés et pour éviter que vos poules ne les couvent pour rien. Renouvelez régulièrement la paille et tenez votre poulailler propre. Et oui, rien de mieux qu'avoir des poules pondeuses !
Les poules sont omnivores, aussi vous pouvez leur donner, en plus des graines quotidiennes, les restes de vos repas (pâtes, maïs, laitue… pas de viande hein !!?).
Chaque matin faites leur prendre l’air et un bain de poussière, elles ne doivent pas rester cloitrées dans le poulailler. Quant à leur santé, voici quelques observations qui permettent de déterminer leur bon état :
Une crête jolie, ferme et rouge vif. Des yeux ronds et brillants et des écailles lisses sur les pattes. Si vos gallinacés se mettent à perdre leurs plumes en fin d’été, ne vous effrayez pas, elles font leur mue et de nouvelles plumes toutes neuves vont bientôt apparaître (c’est souhaitable, sinon pour le coup vos poules ont un sérieux problème d’alopécie).
Pour conclure, si une de vos poules s’échappe et picore du pain dur sur un mur, attrapez-la vite, car dès qu’elle lèvera la queue elle s’envolera (mollement et lourdement, mais elle s’envolera, croyez moi).
Un poulailler dans mon jardin
Installer un poulailler dans votre jardin peut être une excellente idée pour profiter d'œufs frais, réduire les déchets alimentaires et même avoir de l'engrais naturel pour votre jardin. Voici les étapes et conseils essentiels pour bien démarrer :
1. Vérifier les règlements locaux
Avant de commencer, renseignez-vous auprès de votre mairie pour connaître les éventuelles réglementations locales concernant l’élevage de poules. Certaines communes imposent des restrictions sur le nombre de poules, la taille du poulailler ou la distance avec les habitations voisines.
2. Choisir l’emplacement
Les poules ont besoin d’un espace sécurisé et confortable. Privilégiez un endroit :
Bien drainé : évitez les zones qui accumulent de l'eau pour que le poulailler reste sec.
À l’abri du vent et du soleil direct : un emplacement partiellement ombragé est idéal.
Protégé des prédateurs : assurez-vous qu’il n’y ait pas d’accès facile pour les prédateurs (renards, fouines, chiens, etc.).
3. Choisir le bon type de poulailler
Un bon poulailler doit être adapté au nombre de poules que vous souhaitez accueillir. Pour 2 à 4 poules, voici les caractéristiques importantes :
Un espace intérieur couvert : pour la nuit et la protection contre les intempéries.
Un enclos extérieur sécurisé : les poules aiment gratter le sol et se promener.
Un perchoir : les poules dorment perchées ; prévoyez donc un ou plusieurs perchoirs en bois.
Des pondoirs : un ou deux pondoirs suffisent pour quelques poules. Un pondoir est un petit espace calme et propre où les poules se sentent en sécurité pour pondre.
Facile à nettoyer : pour éviter les odeurs et les parasites, le poulailler doit être facilement accessible pour l'entretien.
4. Prévoir une alimentation adaptée
Aliments complets : achetez de la nourriture pour poules (graines, granulés) qui leur apporte tous les nutriments nécessaires.
Épluchures et restes de cuisine : les poules mangent une grande variété de déchets alimentaires (sauf oignons, épluchures de pommes de terre, agrumes). Cependant, leurs déchets ne doivent pas excéder 10 % de leur alimentation totale.
Eau fraîche : un abreuvoir propre et toujours rempli est essentiel, surtout en été.
5. Entretenir le poulailler
Nettoyage régulier : enlevez les fientes et changez la litière (paille, copeaux de bois) une fois par semaine environ pour éviter les maladies.
Vermifuger et traiter contre les parasites : les poules peuvent être sujettes à des parasites comme les poux rouges. Prévoir des traitements naturels ou spécifiques selon les besoins.
6. Choisir la race de vos poules
Certaines races de poules sont plus adaptées pour la ponte, tandis que d’autres sont plus décoratives ou résistantes aux climats froids. Pour des œufs réguliers, les poules rousses (race Isa Brown) sont une bonne option pour les débutants, car elles sont dociles et de bonnes pondeuses.
7. Gestion des œufs
Récolte quotidienne : en ramassant les œufs chaque jour, vous limitez le risque de les voir se casser ou être salis.
Conservation : les œufs frais peuvent se conserver plusieurs semaines au réfrigérateur, ou bien quelques jours à température ambiante.
En suivant ces conseils, votre poulailler sera un endroit agréable pour vos poules, et elles vous offriront de bons œufs frais tout au long de l'année !
Votre sante d'abord ( Les champignons comestibles et vénéneux )
A la cueillette des champignons ...
Les fins gourmets peuvent prendre plaisir à chercher eux-mêmes les champignons qu’ils dégusteront à l’occasion d’un repas fait maison. L’automne est la saison idéale pour nous intéresser d’un peu plus près aux meilleures espèces de champignons (et à celles qui sont les plus dangereuses) et apprendre à les distinguer.
C’est entre septembre et novembre que l’on trouve la plus grande variété de champignons, en raison de l’humidité ambiante. Votre cueillette devrait s’avérer particulièrement fructueuse après quelques journées pluvieuses et vous pourriez bien remarquer l’apparition en masse de spécimens que vous n’aviez pas encore remarqués. En vous promenant dans les bois et dans les espaces naturels environnants, vous apprendrez à connaître les endroits regorgeant de telle ou telle espèce.
Une fois familiarisé(e) avec les hauts lieux de la cueillette locale, vous pourrez commencer à sélectionner les champignons que vous rapporterez chez vous. Assurez-vous d’avoir lu de manière exhaustive les fiches d’identification des champignons avant de cuisiner un bœuf Stroganoff.
Si vous n’êtes pas sûr(e) d’avoir correctement identifié un spécimen, ne prenez aucun risque !
Et surtout suivez cette règle d’or : si vous n’êtes pas sûr(e) d’avoir correctement identifié un spécimen, ne prenez aucun risque - réagissez intelligemment face à une nouvelle découverte !
Le système général d’identification repose sur un processus éliminatoire. Travailler par déduction permet de progresser de manière sûre dans la détermination d’une espèce, mais il est également toujours utile de vérifier dans des guides officiels pour être totalement sûr(e) de son choix.
Les différentes étapes de l’identificationun champignon
Caractère individuel d'un Champignon
Pour identifier un champignon, il est judicieux de commencer par faire un examen visuel détaillé de ses différentes parties. Pour tout nouveau spécimen que vous découvrirez au hasard de votre quête, intéressez-vous de près aux caractéristiques ci-dessous afin de catégoriser votre récolte et surtout souvenez-vous que ni une forme ni une couleur particulière ne permettent de déterminer de manière fiable si un champignon est comestible ou vénéneux : ce sont des informations à prendre en considération avec d’autres caractéristiques et à comparer avec des sources secondaires.
Le chapeau (forme et taille)
Le chapeau des champignons peut revêtir de nombreuses formes et tailles différentes, qui fournissent des indications sur la famille à laquelle le champignon en question est susceptible d’appartenir. Voici un panorama des types de chapeaux que l’on peut observer. Il vous sera utile pour vous aider à mettre un nom sur votre récolte.
null
Outre la forme, la couleur, la texture et d’autres caractéristiques du même genre fournissent des indices importants pour l’identification d’un champignon.
Commencez par noter la ou les couleurs du champignon. Observez ensuite si la coloration initiale varie lorsque l’on tale le champignon. Il peut être utile également d’entailler le chapeau afin de voir si l’intérieur du champignon change de couleur lorsqu’il est exposé à l’air.
Ensuite, toute marque particulièrement inhabituelle et le ressenti général « au toucher » peuvent constituer des indicateurs utiles pour déterminer l’appartenance à une famille. Le bord (encore appelé « marge ») du chapeau est un indicateur supplémentaire ; cette marge est-elle incurvée vers le haut ou enroulée vers l’intérieur ? Notez vos observations.
Les spores
Tout d’abord, il est important de déterminer si les spores sont produites par des lamelles, des pores ou des piques : vous les trouverez sur le dessous du chapeau. Les lamelles s’attachent parfois au pied, parfois non, veillez à noter cette caractéristique. La couleur, l’espacement, l’épaisseur et la consistance sont d’autres éléments que vous noterez également.
Le pied
Commencez également par la forme et la taille du pied (encore appelé stipe). Est-il plutôt court ? Épais ? Mince ? Examinez sa couleur, faites-vous les mêmes remarques que ce que vous avez noté pour le chapeau ? Regardez ensuite si la tige porte un anneau, et, dans ce cas, décrivez-le. Le pied a-t-il une consistance différente au-dessus et en dessous de l’anneau ? Comme vous l’avez fait pour le chapeau, regardez si le pied porte des marques telles que des taches ressemblant par exemple à des taches de rousseur ? Examinez la partie basse du pied : est-elle reliée ou non à la terre ? Semble-t-il y avoir une extension sous terre ? Enfin, coupez le pied et vérifiez si l’intérieur est creux ou plein.
Les différentes familles de champignons
Quelques notions sur les différentes familles de champignons que l’on trouve sous nos latitudes seront intéressantes pour le débutant ou la débutante en matière de cueillette. Ces notions seront également très utiles pour se faire une idée du caractère vénéneux ou comestible d’un champignon.
Les agarics
La famille des agaricacées est formée de membres comestibles et de membres vénéneux. Tous ont un chapeau blanc, des lamelles allant du rose au brun/noir et, généralement, un pied robuste doté d’une « jupe ».
Une fois que vous aurez identifié un champignon comme appartenant à la famille des agarics, c’est à son odeur que vous pourrez reconnaître sa toxicité. Les agarics comestibles ont un agréable parfum de champignon révélant parfois des notes d’amande ou d’anis.
Les agarics vénéneux ont pour leur part une odeur désagréable, parfois comparée à celles de l’iode et de l’encre de Chine.
Les bolets
Il est plus compliqué de distinguer les champignons toxiques au sein de cette famille. Pour identifier facilement la famille des bolets (Boletus), sachez que ses membres possèdent tous des pores spongieux au lieu de lamelles (cette caractéristique est commune aux familles Suillus, Leccinum et Boletus).
La règle simple à suivre pour éviter les champignons vénéneux de cette famille est de vérifier que ces pores spongieux sont jaunes, crème ou blancs, et qu’il n’y a pas de rouge sur le pied ni sur le chapeau.
Une fois tout ceci vérifié, entaillez le champignon : s’il ne bleuit pas, il est comestible ! Il y a des exceptions à ces règles, ce qui signifie que vous éviterez certains champignons comestibles savoureux, mais « prudence est mère de sûreté » !
Les lactaires (Famille des Lactarius)
Jusqu’à ce que vous deveniez plus expert(e) dans l’art de distinguer précisément chacun des membres de cette famille, mieux vaut vous tenir à l’écart de ce groupe, car la majorité des lactaires sont vénéneux.
Le moyen de reconnaître les lactaires vous est suggéré par leur nom : une substance laiteuse s’écoule des lamelles des lactaires.
Les russules
La famille des russules (appelées en anglais « brittlegills » c’est-à-dire « lamelles cassantes » car elles possèdent en effet un pied et des lamelles cassants) est l’une des familles les plus diverses, car elle recouvre un vaste ensemble de champignons toxiques et de champignons comestibles, parmi lesquels certains ont un goût agréable et d’autres un très mauvais goût.
En raison de cette nature très diverse, nous vous recommandons d’éviter ce groupe à moins d’être un cueilleur de champignons expérimenté et extrêmement rodé à l’identification des membres individuels de cette famille.
Les amanites
Les champignons les plus toxiques et les plus vénéneux appartiennent à la famille des amanites (c’est probablement pourquoi la prononciation du nom anglais « amanitas » peut se traduire par « mangeuses d’hommes » !).
Tous les champignons de cette famille ont des spores et des lamelles blanches et se développent à partir d’une volve (une espèce de sac en forme de bulbe). À moins d’avoir une confiance extrême en votre capacité à identifier des champignons, prenez vos distances avec les amanites car certains champignons de cette famille peuvent causer la mort.
L’identification des champignons s'appuie sur un raisonnement déductif
Vous vous rappelez avoir joué au jeu de société « Qui est-ce » ? Et bien l’identification des champignons relève un peu de la même logique puisque les deux démarches s’appuient sur le processus d’élimination et la recherche de caractéristiques communes. Cependant, la comparaison s’arrête là car il ne s’agit pas du tout d’un jeu. Faites preuve de sagacité et ne consommez jamais un champignon à moins d’être certain(e) à 100 % de l’avoir correctement identifié en vérifiant à l’aide de multiples sources.
À mesure que vous commencez à découvrir et reconnaître de nouvelles espèces, prenez des notes et des photos afin de constituer un recueil de vos trésors de cueillette.
Agriculture ( Comment et quand planter un rosier ? )
Les roses figurent parmi les fleurs les plus appréciées au jardin… et à juste titre. Des fleurs aux formes et couleurs chatoyantes, s’épanouissant l’été et l’automne, voire une partie de l’hiver… Sans compter pour certaines un parfum envoutant. Mais avant de crouler sous les rosiers et rendre vos voisins jaloux, il va falloir respecter quelques règles de plantation (et de taille de rosier) élémentaires…
Les variétés de rosiers
Il existe littéralement des milliers d’espèces et de variétés de roses. Vous devrez d’abord décider quel type de rosier vous souhaitez, avant de vous fixer sur une couleur ou une fragrance spécifiques.
Les rosiers miniatures ou Patio
Ces rosiers nains ne dépassent pas les 60 cm de haut. Ils sont parfaits pour les bordures et dans des potées.
Les rosiers arbustifs
Cette catégorie inclut les rosiers hybrides de thé (aussi dénommés rosiers à grandes fleurs), les floribunda (rosiers à fleurs groupées) et les roses nouvelles David Austin. Ils atteignent en général 90 cm de haut et sont destinés aux bordures et aux grandes potées.
Les rosiers buisson
Ce terme est attribué à un large groupe de rosiers qui inclut des variétés anciennes (rosier Bourbons, centifolias et Alba) et des rosiers botaniques. Les buissons n’ont pas une hauteur définie : ils peuvent autant être nains qu’atteindre 2,5 mètres. La plupart est assez rustique et vigoureuse, et n’est pas remontante : leur courte floraison ne se produit qu’en été.
Les rosiers grimpants et lianes
Ils sont traditionnellement dévolus à la couverture des façades, clôtures, arches et pergolas. La principale différence entre les grimpants et les lianes réside dans le fait que les seconds sont plus vigoureux et peuvent ainsi coloniser de grandes surfaces, ne sont pas remontants et s’épanouissent en petites fleurs groupées. Les rosiers grimpants sont moins robustes, plus compacts, remontants et leurs fleurs sont de plus gros calibre.
Les rosiers couvre-sol
Ces rosiers à croissance lente sont très utiles pour recouvrir de grandes étendues. Leur feuillage moins épais que celui de leurs congénères est moins efficace pour décourager les mauvaises herbes, mais ils sont imbattables quand il s’agit de produire un tapis de fleurs ultra-coloré.
Les rosiers tiges
Au départ, les rosiers tiges sont des rosiers arbustifs ou des grimpants (pour des rosiers tiges pleureurs), qui ont été greffés sur un tronc droit. Ils sont disponibles dans toutes les tailles : quart, demi et tige.
L’équipement indispensable pour bien planter un rosier
Vous trouverez deux types de conditionnement pour les rosiers :
Rosier à racines nues et rosier sous plastique : le deuxième est simplement un rosier à racines nues dont le système racinaire a été taillé et enveloppé dans du plastique avec un peu de terreau. Pour ce type de conditionnement, prévoyez une plantation en fin d’automne- début de printemps, lorsque la végétation est en repos. Bassinez les plants dans une bassine d’eau fraîche quelques heures avant de planter pour que les racines s’hydratent. Ces rosiers ont l’avantage de proposer une plus large gamme de rosiers, soyez donc attentifs à bien les acheter au bon moment.
Les rosiers en conteneurs ou en pots
Ces rosiers vendus dans un contenant avec une motte de terre ou du terreau peuvent être plantés toute l’année, à condition d’éviter les grosses périodes de gel et de fortes chaleurs. La plupart des rosiers ont été mis en conteneur : cela signifie qu’ils ont poussé en pleine terre, été arrachés et rempotés. Le plus sage est donc de bien vérifier que les racines sont suffisamment robustes avant d’acheter et de planter votre rosier en conteneur.
Avant l’achat, prenez aussi le temps de bien examiner l’ensemble du rosier (tiges, feuillages et fleurs) pour éviter toute déconvenue.
Une fois trouvé le type de rosier à planter, vous aurez également besoin de :
Fumier ou compost
Bêche
Terreau rosiers
Griffe
Un engrais rosiers
Arrosoir
Comment et quand planter un rosier ?
Un rosier a besoin d’au moins 4 h d’ensoleillement direct par jour. À mi-ombre, la floraison est beaucoup moins abondante et les risques de maladies cryptogamiques accrus (maladies causées à la plante par un champignon ou un autre organisme filamenteux). Il est donc préférable de prévoir une plantation en dehors du couvert ombreux des arbres, à distance entre deux rosiers (60-90 cm) et d’un mur pour les rosiers grimpants (45 cm environ).
Les rosiers n’apprécient pas les terres calcaires. Mélangez au sol d’origine un bon amendement organique (par exemple le Fumier du Jardinier de Fertiligène). N’utilisez pas de fumier frais.
Pour réussir totalement la transplantation de votre rosier, procédez de la façon suivante :
faites un trou de 5 fois le volume du contenant du rosier,
installez un lit de 5 centimètres de graviers dans le fond du trou pour faciliter le drainage
remplissez de moitié le trou de transplantation d’un mélange terre de jardin et terreau rosiers, arbustes à fleurs
retirez le contenant du rosier
à l’aide d’une griffe, grattez les racines de la motte afin de les aérer
placez la motte au centre du trou et veillez à ce que le dessus de la motte arrive à la hauteur du terrain
remplissez les espaces vides avec le mélange terre de jardin + terreau
Epandez de l’engrais spécial rosier autour du rosier et griffez doucement la terre
tassez, avec le reste de terre, faites une cuvette autour du pied
versez un arrosoir de 10 litres d’eau dans la cuvette.
L’entretien du rosier
Comme le système racinaire des roses est assez profond, un rosier n’aura pas un grand besoin d’arrosage une fois installé en terre, sauf en cas de sécheresse prolongée. Le meilleur moyen pour arroser un rosier est d’installer un goutte-à-goutte au pied, afin d’apporter de l’eau régulièrement, et de préférence le soir plutôt que dans la journée pour éviter l’évaporation.
Les rosiers sont de grands gourmands : apportez aux plantes adultes un engrais en granulés en début de printemps ou après la taille, puis en milieu d’été. Si vous préférez une seule application, prévoyez un engrais à libération lente dès le printemps.
Si vous respectez les règles de base énoncées ici, votre rosier ne devrait pas connaître de carence. En revanche, si vous vous demandez pourquoi les feuilles du rosier jaunissent et tombent, sachez que ceci peut indiquer un manque de magnésium ou de fer (une chlorose). Un traitement spécifique permet de remédier à cette déficience.
Le paillage est extrêmement utile pour maintenir de bonnes conditions de culture du rosier : il permet de réduire le désherbage, de conserver l’humidité et même de retenir la chaleur du sol. Pour un bon paillage, épandez une couche d’environ 4 à 7 cm minimum sur une terre légèrement humide et débarrassée de toute mauvaise herbe.
Comment et quand tailler un rosier ?
Pour la taille des rosiers, il convient de savoir si votre rosier est remontant ou non remontant :
- Les rosiers remontants (qui fleurissent plusieurs fois par an ) se taillent à l'automne et en fin d'hiver lorsque les grosses gelées ne sont plus à craindre
- Les rosiers non remontants (qui fleurissent une seule fois dans l'année) ne se taillent qu'en été après la floraison.
- Les rosiers arbustifs ou rosiers lianes, c'est simple, ils ne se taillent quasiment pas !
Les maladies et nuisibles les plus fréquents du rosier et comment les traiter
Oïdium
Les rosiers peuvent être vulnérables à un certain nombre de maladies, dont l’oïdium. Ce champignon dépose une sorte de feutre blanchâtre sur les rosiers, qui dépérissent rapidement. Pour s’en débarrasser, un traitement à base de soufre donne de bons résultats. Le rosier peut également être confronté aux problèmes des taches noires, une autre maladie courante des rosiers.
Pucerons
Pour se débarrasser des pucerons sur les rosiers, pensez à une pulvérisation de savon noir très utile pour piéger ces insectes suceurs de sève. Un insecticide spécial pucerons utilisable en agriculture biologique peut aussi être utilisé, à condition de bien respecter les précautions d’emploi.
Planter un rosier est une étape importante pour lui assurer une bonne croissance et une belle floraison. Voici les étapes et le moment idéal pour planter un rosier :
1. Quand planter un rosier ?
Période idéale : La meilleure période pour planter un rosier est à l'automne, entre octobre et novembre. Cela permet aux racines de s'installer avant l'arrivée du printemps.
Possibilité au printemps : Si vous ne pouvez pas planter à l'automne, il est possible de planter au printemps (mars-avril), mais dans ce cas, le rosier devra être arrosé plus régulièrement.
2. Choisir l'emplacement
Les rosiers préfèrent un emplacement :
Ensoleillé : ils ont besoin de 4 à 6 heures de soleil par jour.
Aéré : éviter les endroits confinés, car l'humidité favorise le développement de maladies.
Sol bien drainé : les rosiers n’aiment pas l’excès d’eau, donc un sol qui évacue bien l’eau est idéal.
3. Préparer le sol
Creuser un trou d’environ 40 cm de profondeur et de large pour permettre aux racines de s'étendre.
Amender le sol : ajoutez du compost ou du fumier bien décomposé au fond du trou pour enrichir le sol en nutriments.
Vérifier le pH : un pH neutre ou légèrement acide (6 à 7) est idéal.
4. Planter le rosier
Tremper les racines : si vous avez un rosier à racines nues, faites tremper les racines dans l'eau pendant 1 à 2 heures avant la plantation.
Installer le rosier dans le trou en veillant à ce que le point de greffe (l’endroit où le rosier a été greffé) soit légèrement au-dessus du niveau du sol (environ 2-3 cm).
Remplir le trou avec de la terre enrichie en compost et tasser légèrement pour bien maintenir le rosier en place.
Arroser abondamment pour aider à la reprise.
5. Pailler et entretenir
Paillage : ajoutez un paillis autour du pied du rosier pour conserver l'humidité et limiter les mauvaises herbes.
Arrosage régulier : les premières semaines après la plantation, arrosez régulièrement, surtout si vous plantez au printemps.
Avec ces soins, votre rosier devrait bien s’installer et fleurir généreusement les saisons suivantes !
novembre 01, 2024
Homme et vie ( Choix de carrières - Conseiller agricole )
En quoi consiste le métier de conseiller agricole ?
Catastrophes naturelles, concurrence, nouvelles normes… : bien des facteurs peuvent menacer la rentabilité d’une exploitation agricole. Heureusement, les agriculteurs peuvent s’appuyer sur les recommandations des conseillers agricoles pour optimiser leur activité.
En quoi consiste le métier de conseiller agricole ? Et comment le devenir ? GEO fait le point.
Quel est le rôle d’un conseiller agricole ?
Le conseiller agricole apporte son expertise technique aux agriculteurs pour les aider à optimiser la gestion de leur exploitation. Il connaît les différentes techniques agronomiques et de gestion, les normes environnementales, le droit rural, la fiscalité ou encore les dernières innovations technologiques. À l’aide de ses connaissances, de la veille technologique et d’outils statistiques, le conseiller agricole peut intervenir dans certaines situations : reprise d’une exploitation, gestion des catastrophes naturelles, agrandissement d’une exploitation, amélioration du rendement, augmentation de la rentabilité, adaptation à de nouvelles normes, réduction de la pollution, passage à l’agriculture biologique… Un conseiller agricole doit se montrer à l’écoute des agriculteurs pour comprendre leurs difficultés, leurs souhaits et leur manière de travailler. Après avoir effectué un diagnostic, il leur propose des solutions : achat de nouveau matériel, utilisation de cultures plus résistantes, diversification, etc. Il peut aussi assurer des formations auprès des exploitants.
Qui emploie le conseiller agricole ?
Le conseiller agricole peut être employé par une coopérative agricole, une chambre d’agriculture, ou un centre d’études techniques agricoles (Ceta). Un Ceta est une "association loi de 1901" formée et gérée par un groupe d’agriculteurs pour s’assurer un support technique personnalisé. Le conseiller agricole peut aussi être salarié dans un institut technique agricole (Ita) comme l’Institut de l’élevage, l’Institut français de la vigne et du vin (IFV) ou encore la Fédération nationale des producteurs de plants de pommes de terre (FN3PT).
Quel bac pour devenir conseiller agricole ?
Pour devenir conseiller agricole, il est préconisé de passer un bac général avec spécialité SVT ou enseignement scientifique, STI2D (sciences et technologies de l’industrie et du développement durable), STL (sciences et technologies de laboratoire) ou STAV (sciences et technologies de l’agronomie et du vivant). Il est possible de devenir conseiller agricole en suivant un BTSA (brevet de technicien supérieur agricole) en deux ans. Il existe plusieurs formations : BTSA analyse, conduite et stratégie de l’entreprise agricole, BTSA productions animales, BTSA viticulture-œnologie, etc. On peut aussi accéder à ce métier en suivant une licence professionnelle (3 ans).
Aujourd’hui, les entreprises sont plus exigeantes et demandent de plus en plus un diplôme d’ingénieur (5 ans) qu’il est possible de suivre par exemple à Angers, AgroParis Tech ou encore à l’Institut supérieur d’agriculture Rhône-Alpes. De grandes écoles comme AgroParisTech, INP Toulouse ou VetAgroSup préparent les conseillers agricoles de demain. Enfin, les masters en biologie, agrosciences et masters biodiversité, écologie et évolution sont aussi des voies d’accès.
Quel est le salaire d’un conseiller agricole ?
Le salaire d’un conseiller agricole varie fortement en fonction des diplômes. Par exemple, un professionnel titulaire d’un diplôme d’ingénieur peut toucher 2 500 euros bruts mensuels en début de carrière, tandis qu’un jeune conseiller agricole titulaire d’un BTSA touchera 1 800 euros bruts. Par ailleurs, un conseiller agricole peut prétendre à un salaire plus élevé s’il justifie d’une spécialisation, comme Développement du territoire.
Votre sante d'abord ( Une nouvelle étude pourrait montrer comment prévenir les rides sur votre peau )
Des chercheurs ont fait une découverte scientifique qui, à terme, pourrait être utilisée pour ralentir les signes du vieillissement.
Une équipe a découvert comment le corps humain crée de la peau à partir de cellules souches – et a même reproduit de petites quantités de peau en laboratoire.
La recherche fait partie d’une étude visant à comprendre comment chaque partie du corps humain est créée, une cellule à la fois.
En plus de lutter contre le vieillissement, les résultats pourraient également être utilisés pour produire de la peau artificielle destinée à la transplantation et prévenir les cicatrices.
Le projet Human Cell Atlas est l'un des programmes de recherche les plus ambitieux en biologie. Il est international, mais concentré au Wellcome Sanger Institute de Cambridge, au Royaume-Uni.
L'un des responsables du projet, le chercheur Muzlifah Haniffa, a déclaré que cela aiderait les scientifiques à traiter les maladies plus efficacement, mais aussi à trouver de nouvelles façons de nous maintenir en bonne santé plus longtemps – et peut-être même de nous garder en bonne santé.
"Si nous pouvons manipuler la peau et prévenir le vieillissement, nous aurons moins de rides", déclare Haniffa du Wellcome Sanger Institute.
"Si nous pouvons comprendre comment les cellules évoluent depuis leur développement précoce jusqu'au vieillissement à l'âge adulte, nous pouvons alors essayer de dire : 'Comment puis-je rajeunir les organes, rajeunir le cœur, rajeunir la peau ?'"
Cette projection est encore loin d'être réalisée, mais les chercheurs font des progrès, plus récemment dans la compréhension du développement des cellules cutanées du fœtus au cours des premiers stades de développement de la vie humaine.
Une fois qu’un ovule est fécondé, les cellules humaines sont toutes identiques. Mais après trois semaines, des gènes spécifiques au sein des « cellules souches » sont activés, donnant des instructions sur la façon de se spécialiser et de se regrouper pour former les différentes parties du corps.
Les chercheurs ont identifié quels gènes sont activés, à quels moments et à quels endroits, pour former le plus grand organe du corps, la peau.
Au microscope et traitées avec des produits chimiques, elles ressemblent à ces petites lumières décoratives utilisées sur les sapins de Noël.
Les gènes qui deviennent orange forment la surface de la peau. D'autres, de couleur jaune, déterminent leur couleur. Et il y en a bien d’autres qui forment les autres structures qui font pousser les cheveux, nous permettent de transpirer et nous protègent du monde extérieur.
Les chercheurs ont essentiellement obtenu l'ensemble des instructions permettant de créer de la peau humaine et l'ont publié dans la revue scientifique Nature. Être capable de lire ces instructions ouvre des possibilités intéressantes.
Les scientifiques savent déjà, par exemple, que la peau du fœtus guérit sans laisser de cicatrices.
Le nouvel ensemble d’instructions contient des détails sur la façon dont cela se produit, et un domaine de recherche pourrait être de voir si cela pourrait être reproduit sur la peau adulte, éventuellement pour une utilisation dans des interventions chirurgicales.
Dans le cadre d'une avancée majeure, les scientifiques ont découvert que les cellules immunitaires jouaient un rôle clé dans la formation des vaisseaux sanguins dans la peau et étaient ensuite capables de reproduire les instructions pertinentes en laboratoire.
Ils ont utilisé des produits chimiques pour activer et désactiver les gènes au bon moment et aux bons endroits afin de faire pousser artificiellement de la peau à partir de cellules souches.
Jusqu’à présent, ils ont développé de petites cloques sur la peau, à partir desquelles de petits poils ont poussé.
Selon Haniffa, le but ultime est de perfectionner la technique.
"Si vous savez comment cultiver de la peau humaine, nous pourrions l'utiliser sur des patients brûlés, et cela pourrait être un moyen de transplanter des tissus", dit-elle.
"Un autre exemple est que si vous pouvez créer des follicules pileux, nous pouvons réellement générer la croissance des cheveux chez les personnes chauves."
La peau obtenue en laboratoire peut également être utilisée pour comprendre comment les maladies cutanées héréditaires se développent et tester de nouveaux traitements potentiels.
Les instructions pour activer et désactiver les gènes sont envoyées tout au long de l’embryon en développement et se poursuivent après la naissance jusqu’à l’âge adulte, pour développer tous nos différents organes et tissus.
Le projet Human Cell Atlas a analysé 100 millions de cellules provenant de différentes parties du corps au cours de ses huit années d'activité. Il a déjà produit des projets d'atlas du cerveau et des poumons, et les chercheurs travaillent sur les reins, le foie et le cœur.
La prochaine étape consiste à rassembler les atlas individuels, selon Sarah Teichmann, professeur à l'Université de Cambridge et l'une des scientifiques qui ont fondé et dirige le consortium Human Cell Atlas.
"C'est incroyablement excitant car cela nous offre de nouvelles perspectives sur la physiologie, l'anatomie, une nouvelle compréhension des êtres humains", a-t-elle déclaré à BBC News.
"Cela conduira à une refonte des manuels scolaires en termes de nous-mêmes, de nos tissus et organes, et de leur fonctionnement."
Les instructions génétiques sur la croissance d’autres parties du corps seront publiées dans les semaines et les mois à venir – jusqu’à ce que nous ayons une image plus complète de la façon dont les humains sont créés.
Prévenir les rides est une combinaison d’habitudes saines, de soins quotidiens de la peau et de protection contre les agressions extérieures. Voici quelques conseils pour prévenir les signes de vieillissement cutané :
1. Protection solaire quotidienne
Utiliser un écran solaire avec un indice SPF d’au moins 30, même par temps nuageux. Les rayons UV sont l'un des principaux facteurs du vieillissement cutané.
Appliquer un chapeau et des lunettes de soleil pour protéger la peau du visage et le contour des yeux.
Limiter l'exposition au soleil pendant les heures les plus intenses (entre 10h et 16h).
2. Hydratation
Hydrater la peau matin et soir avec une crème adaptée à votre type de peau. L'hydratation permet de maintenir l'élasticité de la peau.
Boire de l'eau tout au long de la journée pour une hydratation interne qui améliore l’apparence de la peau.
3. Soins de la peau adaptés
Utilisez un nettoyant doux pour éviter d'assécher la peau, car le nettoyage excessif peut accélérer le vieillissement.
Appliquer un sérum antioxydant (comme la vitamine C) le matin pour combattre les radicaux libres.
Utiliser un produit à base de rétinol ou de rétinoïdes, connus pour leur efficacité contre le vieillissement, le soir. Toutefois, introduisez-les graduellement pour éviter les irritations.
4. Mode de vie sain
Manger des aliments riches en antioxydants (fruits, légumes, thé vert) et en oméga-3 (poissons gras, noix) pour nourrir la peau en profondeur.
Éviter le tabac et l'alcool, qui dégradent le collagène et l’élastine, rendant la peau plus vulnérable aux rides.
Dormir suffisamment, idéalement 7 à 8 heures par nuit, pour permettre à la peau de se régénérer.
5. Exercice et réduction du stress
Faire de l'exercice régulièrement pour améliorer la circulation sanguine, ce qui aide à maintenir une peau éclatante et ferme.
Gérer le stress, car le stress chronique libère des hormones qui peuvent endommager le collagène et l'élastine de la peau. Le yoga, la méditation ou même des promenades peuvent être très bénéfiques.
6. Éviter les expressions faciales répétitives
Les mouvements répétitifs (comme plisser les yeux ou froncer les sourcils) peuvent créer des rides. Pensez à détendre les muscles du visage régulièrement.
7. Routine de soin cohérente
Adoptez une routine que vous suivez de façon constante. Les résultats viennent de la régularité plus que de l’utilisation de nombreux produits.
En intégrant ces conseils dans votre quotidien, vous aidez à préserver l’élasticité, la fermeté et la jeunesse de votre peau.
Agriculture ( Cultivez vos propres petits pois )
Comment cultiver ses propres petits pois ?
En jardinière de légumes, accompagnés d'une sauce ou en salade, les petits pois sont incontournables dans nos assiettes. Ils deviennent donc des incontournables dans notre jardin ! Suivez les étapes pour faire pousser des petits pois dans votre potager, de la semis à la récolte !
Notre secret de jardinier ? Lorsque la récolte est finie, coupez les plants à leur base mais ne les arrachez pas ! Les racines aident à fixer l'azote dans le sol, un petit coup de pouce pour votre prochaine culture.
Quand semer et planter les petits pois ?
Relativement simples à cultiver, les petits pois ont l’avantage de figurer parmi les légumes les plus rassasiants de notre régime alimentaire.
Ils sont également riches en vitamines A, C, complexe de vitamines B et K et sont sources de fibres, protéines et antioxydants, tout autant que de calcium, fer, cuivre, zinc et manganèse.
Les variétés de petits pois à cultiver
Vous trouverez comme d’habitude une gamme variée de petits pois, depuis les précoces jusqu’aux super-sucrés, donc prenez un peu de temps pour choisir ceux qui vous conviennent le mieux.
Les pois lisses et ronds sont plus rustiques que les pois ridés, mais ces derniers sont plus sucrés. Parmi les lisses, essayez ‘Petit Provençal’, très doux et ‘Rois des conserves’. Les amateurs de grains ridés n’auront pas de surprise avec ‘Merveille de Kelvedon’ et ‘Téléphone’.
Essayez aussi les pois mangetout (‘Normand’ est une variété très goûteuse) ou gourmands pour ajouter un peu de diversité à votre potager et à vos repas.
L'équipement incontournable pour semer les petits pois
Voici ce dont vous aurez besoin pour une belle récolte de petits pois :
Des graines de petits pois
Des godets ou pots si vous semez en intérieur
Du terreau potager
Un transplantoir
Un arrosoir
Des tuteurs ou un treillage + des liens
Un engrais spécial potager
Du paillage
Un filet anti-oiseaux
Culture des petits pois
Quand planter le petit pois ?
Quand semer le petit pois ? Si vous semez les petits pois directement en pleine terre, faites-le au printemps (de mars à juin), afin que le sol soit suffisamment réchauffé et les pousses épargnées par un froid ou des gelées tardives. Vos graines vont pourrir si vous plantez dans un sol glacé.
Vos petits pois auront besoin d’un emplacement ensoleillé, avec un sol riche et humifère. Assurez-vous également d’avoir de la place pour les variétés les plus hautes.
Avant le semis, prenez le temps de creuser et bien préparer le sol, en ajoutant suffisamment à l’avance du compost ou du fumier bien décomposé.
Si vous choisissez deux variétés différentes (hâtive ou tardive, de saison) ou si vous plantez dans un intervalle de deux semaines, vous pouvez escompter une culture de petit pois de juin à octobre.
Semez les graines de petit pois dans la terre de jardin mélangée à un terreau potager, à 2-5 cm de profondeur et 6 cm d’écart (ou 10 cm si vous prévoyez un tuteurage avec des cannes de bambou ou un treillage). Recouvrez les graines de terreau et tassez.
Vous pouvez commencer à tuteurer lorsque les petits pois atteignent environ 6 cm de hauteur. Si vous manquez d’espace, il est tout à fait possible de cultiver des petits pois en pot ou en carré potager.
Cultiver les petits pois
En fonction de la variété choisie, les petits pois arriveront à maturité entre 12 et 16 semaines plus tard. Une fois fleuris, assurez-vous que les plants ne souffrent pas de la soif. Pensez aussi à leur apporter un engrais spécial potager une fois par semaine.
Ajouter un paillage au pied des petits pois contribue à diminuer les arrosages, sans pour autant les diminuer : contrôlez régulièrement l’humidité et arrosez au moins une fois par semaine.
N’oubliez pas que les oiseaux apprécient autant que nous les petits pois. Vous devrez donc les protéger avec un filet ou protéger les graines jusqu’à ce que les pousses soient bien en place.
Comment récolter les petits pois
Lorsqu’ils commencent à mûrir, ne tardez pas à cueillir les petits pois : plus ils sont jeunes, plus ils sont tendres et sucrés. Ne vous reposez pas sur vos lauriers cependant : une récolte régulière encourage la mise en production des petits pois tout au long de la saison. Plus vous cueillez, plus ils poussent !
Commencez la cueillette depuis le bas de la plante, là où les cosses sont plus vite mûres, puis remontez. Coupez les cosses avec des ciseaux. Vous pouvez ensuite congeler les petits pois, mais ils sont meilleurs consommés frais.
A la fin de la saison, taillez le feuillage, mais laissez les racines en place : elles aident à fixer l’azote dans le sol et préparent la prochaine récolte.
Récolte des petits pois
Apprenez-en plus sur les petits pois
L’origine des petits pois remonte à très longtemps : on a découvert des graines dans des tombes égyptiennes.
Les cosses de petits pois sont comestibles.
Une assiette de petits pois contient autant de vitamines C que deux grosses pommes et autant de fibres qu’une tranche de pain complet.
Comment protéger ses petits pois des maladies et ravageurs ?
Pucerons
Peu importe leur couleur, pucerons verts ou gris cendré ne sont pas synonymes de bonne nouvelles pour vos petits pois. En suçant la sève des plantes, ils l’affaiblissent et mettent en danger la récolte. Surveillez donc étroitement vos petits pois pour traiter dès l’apparition des pucerons. Utilisez un insecticide anti-puceron spécial légumes utilisable en agriculture biologique.
Bruche du pois
Plus ravageur encore, la bruche du pois est un insecte qui pond ses œufs dans les pois. Après leur éclosion, les larves voraces sont reconnues pour ne laisser que peu de chances aux grains qui se dressent sur leur passage. Là encore, un contrôle attentif est de mise, ainsi qu’une élimination des plantes atteintes.
Outre leurs bienfaits diététiques avérés, les petits pois sont aussi très faciles à cultiver et ne demandent que peu de soins, ce qui en fait de bons candidats au potager. Nous serions ravis de savoir comment vous vous débrouillez avec la culture de petits pois, si vous avez des astuces pour les cuire ou les cuisiner, ou même pour les servir à table. Partagez vos expériences avec nous sur les réseaux sociaux, ou laissez-nous un commentaire sous l’article.
Les petits pois sont assez faciles à cultiver et s’adaptent bien aux climats frais. Voici quelques conseils pour bien les semer et les planter :
1. Quand semer les petits pois ?
Au printemps : Les semis de petits pois se font idéalement entre février et avril, en fonction du climat. Ils préfèrent des températures comprises entre 10 et 20 °C pour bien germer. Si vous habitez dans une région au climat doux, vous pouvez commencer les semis en février, mais pour les climats plus frais, attendez fin mars ou avril.
En automne : Dans les régions à climat doux, il est aussi possible de semer des petits pois en octobre-novembre pour une récolte précoce au printemps.
2. Où et comment semer les petits pois ?
Emplacement : Choisissez un endroit ensoleillé ou semi-ombragé avec un sol bien drainé, léger et riche en humus. Les petits pois apprécient les sols légèrement calcaires.
Préparation du sol : Ameublissez le sol, enlevez les mauvaises herbes et enrichissez-le avec un peu de compost.
Semis en ligne : Semez les petits pois en lignes espacées de 40 à 50 cm, avec un écart de 3 à 5 cm entre chaque graine. Enterrez les graines à une profondeur de 2 à 3 cm et tassez légèrement la terre.
3. Entretien après la plantation
Arrosage : Maintenez le sol frais sans excès d’eau, surtout pendant la germination. Après, arrosez régulièrement mais sans détremper.
Tuteurs : Certaines variétés de petits pois nécessitent des tuteurs. Placez des petits rames ou grillages pour soutenir les tiges grimpantes.
4. Récolte
Les petits pois se récoltent environ 2 à 3 mois après le semis, selon les variétés. Récoltez-les régulièrement pour encourager la production de nouvelles gousses.
Suivez ces étapes et vos petits pois devraient pousser et vous offrir de belles récoltes !
Agriculture ( Les meilleures variétés de courges à cultiver )
Comment et quand planter des courges ?
En petit nom d’oiseau « courge » n’est pas forcément un qualificatif très apprécié ! Par contre, au jardin, la famille des cucurbitacées fait souvent l’unanimité : on adore.
La famille des courges (Cucurbita sp.) regroupent les potirons, potimarrons, courges spaghetti, citrouilles et autres courges de tous genres. Hormis les coloquintes dédiés exclusivement à la déco, tous les membres de cette famille sont comestibles.
Les meilleures variétés de courges à cultiver
Les courges appartiennent à la grande famille des cucurbitacées. Il existe une large gamme de citrouilles et potirons disponibles, depuis l’énorme ‘Dills’Atlantic Giant’ qui peut produire des fruits de près de 800 kg) à ‘Jack Be Little’, une citrouille mini-format qui ne dépasse pas les 7 centimètres de diamètre.
La plupart des courges ont besoin d’espace, mais si vous ne possédez pas un grand jardin, vous pouvez toujours choisir une variété de petite taille et l’utiliser comme une plante grimpante. Et si vous souhaitez changer de la traditionnelle courge orange, il existe des courges à la peau rayée, verruqueuse ou ridée, et même des blanches ou des bleues. Voici quelques courges à favoriser:
Courge ‘Evergold’ : la citrouille classique, parfaite en cuisine et pour les sculptures d’Halloween
Courge ‘Becky’ : des fruits orangés d’environ 20 cm de diamètre, avec une chair très aromatique.
Courge ‘Munchkin’ : une variété de petite taille qui produit des fruits oranges à peau ridée.
Courge ‘Queensland Blue’ : une variété très originale avec une peau vert-bleu et une chair douce et savoureuse.
L’équipement indispensable pour faire pousser les courges
Pour semer
Des pots de 9 cm de profondeur
Du terreau pour semis
Des étiquettes
Une terrine de semis ou des sacs en plastique
Pour planter
Du terreau potager ou du fumier
Des ardoises ou des briques
De la paille de chanvre
Pour les courges grimpantes
Des tuteurs d’environ 2 m de haut
De la ficelle ou du raphia
Cultiver des courges : Comment s’y prendre ?
Comme 90% des plantes, les courges aiment la chaleur, donc prévoyez-leur une place au soleil. Vous pouvez semer la courge en place dès le mois d’avril, mais le plus simple est d’installer des plants directement en terre au mois de mai, après les risques de gelées printanières.
Planter des graines de courges
Que vous préfériez des courges butternut ou spaghetti, l’idéal est de semer les courges tôt dans l’année, de mi à fin avril, car les plantes mettent longtemps à pousser.
Remplissez des pots individuels de 9 cm de diamètre avec de terreau pour semis.
Plantez les graines à 2,5 cm de profondeur.
Arrosez les pots et placez-les dans une terrine de semis couverte ou recouvrez-le de sachets plastique dans une position ensoleillée, à une température d’environ 20°C. les graines devraient lever en 5 à 7 jours.
Après la levée, enlevez le couvercle ou les sacs plastique et laisser les plantules grandir tranquillement dans une mini-serre ou sur un rebord de fenêtre avant de les repiquer au jardin.
Quand planter les courges ?
Pour déterminer quand planter les courges, fiez-vous à la météo. Les courges n’apprécient pas le froid, donc attendez mai ou début juin avant de les installer dans un endroit ensoleillé et abrité du froid.
Quelques semaines avant la plantation, créez des poquets en creusant un trou pour chaque plant d’environ 20 x 20 cm de profondeur. Laissez 2 à 3 mètres entre chaque plant et entre chaque rangée. Remplissez chaque trou de terreau et de fumier bien décomposé. Les courges sont plutôt gourmandes et ont besoin d’un sol riche en nutriments pour bien pousser, donc vous pouvez sans souci ajouter de l’engrais en granulés au pied de vos courges.
Vous pourrez, au choix, les laisser courir au sol ou les faire grimper sur une structure solidement attachée. Certaines variétés de courges comme les pâtissons, par exemple, ont un port érigé et ne demandent pas beaucoup de place.
Pour faire grimper une courge sur un support, plantez fermement dans le sol juste à côté d’un des poquets trois tuteurs, et attachez-les à la cime pour créer un tipi. Assurez-vous de la solidité de votre structure, car même les plus petites courges pèsent leur poids lorsqu’elles portent des fruits. Espacez vos courges grimpantes d’un mètre les unes des autres.
Endurcissez vos plants une semaine avant la plantation en plaçant les pots dehors la journée et en les rentrant la nuit.
Plantez une courge dans chaque poquet. Tassez le sol autour de la plante et arrosez bien.
Comment réussir l'entretien de vos courges ?
Les courges contiennent pas moins de 95% d’eau, alors évidemment cet élément va être le point-clé de leur développement tout au long de la culture. Un arrosage hebdomadaire des courges est le minimum, mais vous devrez peut-être doubler la fréquence en cas d’épisode de sécheresse. N’oubliez pas d’arroser le sol et non le feuillage pour éviter le développement des maladies.
Bien sûr, pour éviter la corvée d’arrosage, vous pouvez installer du paillage au pied de la plante. Le paillage potager comme la paillette de chanvre ou un paillage avec une très bonne rétention en eau est idéal.
A la pose, optez pour une épaisseur d’au moins 7 centimètres qui va limiter l’évaporation de l’eau due au rayonnement du soleil. La terre restera humide au pied de votre plant… pour son plus grand bonheur et le vôtre !
Au fur et à mesure de la croissance de votre courge grimpante, attachez les tiges sur les tuteurs.
Si votre terre n’est pas assez riche, apportez un engrais utilisable en agriculture bio (l’engrais naturel liquide spécial tomates est idéal en apport hebdomadaire) afin de favoriser la maturation des fruits. Glissez une ardoise ou des briques pour surélever la courge et lui éviter l’humidité du sol et la voracité des limaces. Les courges produisent en général deux à trois fruits par plant, mais les variétés petit format sont plus productives.
La culture des courges peut aussi se faire dans des contenants de 50 cm de toutes parts, utilisez un terreau potager.
La récolte de courges
Laissez les fruits le plus longtemps possible sur la plante pour que leur goût s’épanouisse au maximum. Si des gelées précoces menacent, protégez vos citrouilles avec du carton et de la paille.
Pour savoir quand récolter vos courges, le plus simple est de taper doucement sur les fruits. S’ils renvoient un son creux, c’est qu’ils sont prêts à être récoltés. Pour hâter la maturation, ôtez les feuilles autour du fruit.
Utilisez des sécateurs pour couper les tiges et laissez une bonne longueur sur le fruit. Avant de stocker les citrouilles, laissez les dehors une dizaine de jours pour bien les sécher. Si le temps n’est pas de la partie, placez-les dans une serre ou un rebord de fenêtre ensoleillé.
Comment conserver les courges ?
Une fois cette étape terminée, stockez les courges dans un local frais et bien ventilé, à une température d’environ 7-10°C. vérifiez régulièrement la présence de courges malades et éliminez-les. Vous pouvez garder ainsi les courges jusqu’à six mois.
Les courges se préparent à toutes les sauces. Leur conservation est très simple : la congélation, la mise en bocaux en pickles ou à l’huile, permettront de régaler toute la famille pendant les mois d’hiver.
Les maladies les plus courantes des courges
Les courges peuvent être affectées par l'oïdium, une maladie fongique qui laisse des traces blanches sur les feuilles, et dans certains cas graves léser la plante. L'oïdium se développe plus volontiers pendant les épisodes d'humidité et de chaleur. Minimisez les risques en arrosant régulièrement vos courges et en prenant garde à ne pas arroser le feuillage. Enlevez et débarrassez-vous du feuillage abîmé dès son apparition.
Par temps froid, les fruits peuvent ne pas réussir à mûrir, ou tomber avant d’arriver à maturité. Ceci est dû à un problème de pollinisation. Dès que les températures augmentent, le problème se résout de lui-même.
Homme et vie ( Selon vous, la chasse peut-elle être une activité "durable" ? )
Les chasseurs, le gouvernement français et la Commission européenne ont signé en mars un « Guide interprétatif pour une chasse durable ». Objectif : en finir avec les controverses récurrentes sur les conditions et les dates de la chasse. Environ 1 370 000 personnes chassent en Europe aujourd’hui. Jean-Louis Borloo a salué la signature de ce texte : « La chasse est au cœur de la gestion de nos territoires ruraux », a estimé le ministre de l’Environnement, après avoir annulé, fin février, l’interdiction de chasser la belette et la martre en France.
Selon vous, la chasse peut-elle être une activité « durable » ?
La chasse peut-elle être écolo ?
Alors que la saison de chasse débute peu à peu partout en France, la Fédération nationale des chasseurs (FNC) tient à rappeler le rôle de l’activité cynégétique dans la préservation de la biodiversité. Maintien et amélioration des habitats naturel de la faune, régulation des espèces, les quelque 1,3 millions de chasseurs du territoire français participeraient ainsi à la gestion de la nature.
Les réflexions actuelles pour concilier chasse et développement durable s’appuient largement sur l’écologisation en tensions de cette pratique en France. La chasse-gestion hier proposée comme alternative à la chasse-cueillette, la promotion plus récente de la chasse écologique, puis les réflexions actuelles sur la chasse durable peuvent sans doute être considérées comme autant de stratégies défensives de la part des responsables cynégétiques, mais cette lecture nous paraît trop partielle. Pourquoi la chasse durable connaît-elle un tel succès auprès des responsables cynégétiques français et européens quelques années seulement après les succès électoraux du parti Chasse-Pêche-Nature-Traditions, auquel certains dirigeants cynégétiques avaient participé ? Comment situer la chasse durable par rapport au processus d’écologisation de la chasse ?
La chasse peut être considérée comme une activité "durable" dans certains contextes, mais cela dépend de nombreux facteurs, dont la manière dont elle est pratiquée, les espèces chassées, et le cadre légal et éthique en place. Voici quelques éléments à considérer pour évaluer la durabilité de la chasse :
1. Gestion des populations animales
La chasse peut contribuer à la gestion des populations d'animaux sauvages lorsque ces populations sont surveillées de près et que des quotas sont établis pour maintenir l’équilibre écologique. Par exemple, en régulant les espèces qui risquent de proliférer et de perturber les écosystèmes (comme les sangliers dans certaines régions), la chasse peut potentiellement être bénéfique pour la biodiversité.
Cependant, si elle est pratiquée sans gestion rigoureuse, elle peut déséquilibrer les écosystèmes, épuiser les populations d'animaux et nuire à d’autres espèces par l’effet cascade.
2. Protection des espèces menacées
Dans une démarche de durabilité, seules les espèces en populations stables et non menacées devraient être chassées. La chasse doit éviter les espèces vulnérables ou en déclin, sinon elle risque d'exacerber leur risque d'extinction. La chasse réglementée est parfois un moyen de recueillir des fonds pour la conservation, mais cela reste une approche controversée.
3. Rôle des traditions et de l'économie locale
Dans certains cas, la chasse fait partie de la culture locale et contribue à l’économie, notamment dans les régions rurales. Elle peut être une source d'alimentation et de revenu, particulièrement dans des sociétés où elle est une pratique traditionnelle respectueuse de l’environnement.
Une chasse durable pourrait ainsi tenir compte des besoins des communautés locales et respecter les cycles naturels.
4. Impact environnemental
L'impact environnemental de la chasse dépend aussi des pratiques employées : le type d'équipement, le mode de transport, la gestion des habitats, etc. Des pratiques de chasse peu respectueuses de l'environnement, comme la chasse au trophée ou l'abandon de déchets, nuisent à la durabilité.
Des pratiques encadrées et respectueuses de l’environnement (limitation des munitions en plomb, respect des habitats naturels, etc.) favorisent une approche plus durable.
5. Contrôle et suivi scientifique
Pour être durable, la chasse doit être encadrée par des organismes de gestion de la faune qui assurent un suivi scientifique des populations et adaptent les réglementations en fonction de l’évolution des populations animales et des conditions écologiques.
Conclusion
La chasse peut être durable si elle est pratiquée de manière contrôlée, en tenant compte des limites écologiques, des principes de gestion de la faune, et des besoins des communautés locales. Une chasse respectant ces principes pourrait ainsi s'intégrer dans une approche plus large de conservation et de gestion durable des ressources naturelles.
Votre vie et sante d'abord ( Cela touche également les hommes : les questions les plus fréquemment posées sur le cancer du sein )
Le cancer du sein est le cancer le plus répandu chez les femmes dans 157 pays à travers le monde, selon les statistiques de l'Organisation mondiale de la santé pour 2022.
2,3 millions de cas de cancer du sein ont été diagnostiqués cette année-là et 670 000 décès ont été enregistrés dans le monde.
La détection précoce du cancer du sein augmente le taux de guérison jusqu'à 95 pour cent. C'est pourquoi l'Organisation mondiale de la santé et les institutions de santé de tous les pays attachent une grande importance à la sensibilisation à la nécessité d'un dépistage continu pour détecter le cancer à ses premiers stades.
Le cancer du sein touche-t-il uniquement les femmes âgées ?
Le sexe est le facteur le plus important dans le cancer du sein, c'est pourquoi les femmes représentent environ 99 pour cent des cas de cancer du sein.
Les hommes sont également atteints du cancer du sein. Mais le pourcentage d’hommes infectés reste compris entre 0,5 pour cent et 1 pour cent.
Les statistiques indiquent qu'environ la moitié des cas de cancer du sein concernent des femmes qui ne présentent aucun facteur de risque spécifique d'infection autre que leur sexe (femme) et leur âge supérieur à 40 ans.
Mais cela ne veut pas dire que le cancer ne touche pas les femmes à un âge plus jeune.
L'Organisation mondiale de la santé affirme que le cancer du sein touche les femmes de tous âges après la puberté, mais à un rythme croissant plus tard dans la vie.
Le Dr Bashar Zidan affirme que le nombre d'infections chez les jeunes femmes a augmenté ces dernières années. Il explique : « Cette augmentation peut être liée à l’environnement ou au mode de vie, ou encore refléter une sensibilisation accrue des femmes, qui les incite à recourir à un dépistage précoce, et ainsi détecter la maladie à un stade précoce et à un jeune âge ».
Bien que le risque de cancer du sein soit plus élevé chez les femmes de plus de quarante ans, il touche également les personnes plus jeunes.
Quand faut-il commencer le dépistage du cancer du sein ?
La plupart des personnes infectées ne présentent pas de symptômes aux premiers stades, c'est pourquoi un examen régulier est de la plus haute importance, même en l'absence de suspicion de cancer du sein.
Le Dr Bashar Zidan conseille un auto-examen des seins tous les mois à partir de la puberté pour surveiller l'apparition de grosses ou de modifications dans le sein, puis la personne demande une assistance médicale pour effectuer un examen radiographique.
Il est également recommandé de se soumettre à un examen clinique avec
Au Royaume-Uni, par exemple, toute femme (selon la classification des registres officiels) âgée de 50 à 71 ans est invitée à se soumettre à un examen radiographique une fois tous les trois ans.
Aux États-Unis d'Amérique, il est conseillé aux femmes âgées de 40 à 74 ans de se faire dépister une fois tous les deux ans, ou tous les ans si leur risque de cancer du sein est plus élevé.
Le Dr Zidane souligne l'importance de l'intégration entre l'auto-examen et l'examen clinique, et souligne la nécessité de réaliser régulièrement les deux examens, car une détection précoce augmente les chances de guérison et réduit la complexité des interventions chirurgicales et médicales.
L'examen est-il douloureux ? Les radiations augmentent-elles le risque de cancer ?
Certaines femmes craignent que l’examen clinique aux rayons X soit douloureux. Cependant, le Dr Zidan affirme qu'avec le développement des capacités médicales, l'examen ne provoque pas de douleur, mais il peut être quelque peu gênant, en particulier pour les femmes qui sont plus sensibles au toucher de la poitrine, car elles peuvent se sentir un peu mal à l'aise.
L'examen est le plus souvent réalisé par des femmes spécialistes.
Il est également largement admis que les rayons X utilisés lors des examens sont nocifs et peuvent contribuer à provoquer le cancer, surtout si une personne y est exposée périodiquement.
Cette croyance découle du fait que l’exposition aux rayonnements en général augmente le risque de cancer.
Le Dr Bashar Zidan a affirmé que ce cancer était un échec : « La radiologie générale augmente le risque, mais le résultat du dépistage donne un appareil de détection du cancer adéquat pour le prochain voyage du voyageur, il entre dans le Moyen-Orient et ». Europe. Par exemple, et c'est un petit arbre à centage qui ne constitue aucun danger.
La génétique détermine-t-elle si une personne est sensible ou non à l’infection ?
L'Organisation mondiale de la santé affirme qu'avoir des antécédents familiaux de cancer du sein augmente le risque.
Cependant, l’absence de cas d’infection antérieurs connus dans les antécédents familiaux n’élimine pas le risque d’infection.
Le Dr Zidane affirme que le facteur génétique est important, mais qu'il ne contribue qu'à 5 % des cas de cancer du sein.
Il souligne l'importance pour les femmes d'être conscientes des antécédents de cancer du sein dans leur famille, car cela peut nécessiter davantage d'examens à un âIl peut y avoir une anomalie génétique héritée dans la famille qui nécessite une intervention proactive pour réduire le risque d'infection.
Les mesures préventives pour les personnes présentant une mutation génétique cancérigène comprennent l'ablation chirurgicale des deux seins ou un protocole de chimiothérapie préventive.ge plus précoce.
Il peut y avoir une anomalie génétique héritée dans la famille qui nécessite une intervention proactive pour réduire le risque d'infection.
Idées fausses courantes sur le cancer du sein
Il existe de nombreuses idées fausses associées au cancer du sein qui sont constamment démenties par la recherche, et pourtant elles continuent de se propager largement, notamment via les sites de médias sociaux.
On pense également que certaines femmes mettant leur téléphone portable dans leur soutien-gorge provoquent le cancer, mais cela n’est pas non plus prouvé scientifiquement.
Les déodorants provoquent le cancer du sein.
La raison de cette rumeur est que l'analyse d'échantillons de tumeurs prélevées contenait des traces de substances présentes dans les déodorants, comme l'aluminium. Un lien a donc été établi entre les deux, mais la recherche a réfuté ce lien entre les déodorants et le cancer du sein.
Le Dr Zaidan affirme qu’il n’existe aucune étude scientifique prouvant un risque accru d’infection chez les femmes ayant des seins plus gros, « bien que cette rumeur soit basée sur la pensée logique selon laquelle une plus grande quantité de tissu mammaire peut signifier un plus grand risque d’infection ».
Des recherches sont toujours en cours sur la possibilité d'un lien entre la densité mammaire et un risque plus élevé de cancer.
Le cancer du sein est contagieux
Ce n’est pas vrai. « Le cancer du sein touche chaque année plus de deux millions de femmes dans le monde. S’il était contagieux, il deviendrait un désastre au-delà de la tragédie du Covid », affirme le Dr Zidane.
Comme pour d’autres cancers, le risque de cancer du sein dépend de l’état de santé général d’une personne.
Faire de l’exercice et maintenir un mode de vie sain en général, tout en assurant un dépistage régulier, réduit le risque de cancer.
Tandis que l’obésité, le tabagisme et la consommation excessive d’alcool augmentent le risque de cancer et d’autres maladies.
Agriculture ( Conseils pour planter des fleurs à bulbes )
Vous les appréciez en général beaucoup dans votre jardin : eh oui, certains d’entre eux sont en effet les premiers messagers du printemps ! Prenons quelques instants pour découvrir cette famille de fleurs à part entière que sont les fleurs à bulb
Qu’est-ce qu’un bulbe ?
Destiné à permettre aux plantes de subsister dans des conditions climatiques très difficiles (froid, sécheresse), l’organe bulbeux se comporte comme une réserve nutritive (bégonia, crocus, dahlia, glaïeul, etc.) ou bien comme une plante embryonnaire (ail, jacinthe, lis, narcisse, tulipe, etc.).
Bon à savoir : la plante doit rapidement reconstituer son organe de réserve (dans les deux mois qui suivent la fin de la floraison pour les bulbes de printemps) sinon il ne lui est pas possible de poursuivre son cycle végétatif.
Dans le premier cas, on a affaire à des rhizomes (agapanthe, canna, iris), des tubercules (Anemone blanda, bégonia, cyclamen, des cormus (crocus, glaïeul, muscari) ou des racines charnues (dahlia, incarvillée), qui sont des parties souterraines renflées gorgées de sucres (amidon) et capables de bourgeonner pour donner une nouvelle plante.
Les véritables bulbes (ou oignons à fleurs) renferment l’ensemble des organes de la plante sous forme embryonnaire. Cette particularité vous permet de faire fleurir ces plantes, avec comme seul élément vital l’eau et sans la moindre substance nutritive (vase à jacinthe, narcisses sur galets, etc.).
Quand planter les bulbes de printemps ?
Les bulbes de printemps s'installent sur la période de mi-septembre à fin novembre. Ils peuvent être plantés en pleine terre ou dans des grands pots (25 cm de profondeur minimum). Une plantation précoce est nécessaire car ces plantes ont absolument besoin du froid hivernal pour que s’induise leur floraison. Disposez dans un premier temps les espèces les plus précoces, pour ne pas provoquer de retard dans la floraison.
Les tulipes tardives peuvent être plantées jusqu’en décembre.
Lors de l'achat, choisissez des bulbes ou des tubercules bien fermes, qui présentent un minimum de signes de germination (pour les achats d’automne, ils doivent être en dormance complète). L’absence totale ou partielle de la « peau » qui recouvre les bulbes (les botanistes l’appellent la tunique) ne joue en rien sur la qualité intrinsèque de l’oignon à fleurs. En revanche, refusez les bulbes tachés, crevassés, nécrosés ou dont la texture molle peut cacher une moisissure.
Mon conseil : les oignons à fleurs de gros calibre, qui sont bien sûr les plus chers, produisent les plus grosses fleurs. Par exemple, la mention 12 + pour une tulipe signifie que la circonférence du bulbe est supérieure à 12 cm. Préférez-les pour les potées et la production de fleurs à couper. En revanche, pour les massifs, plantez des bulbes de grosseur moyenne (11/12 pour les tulipes) afin d’obtenir un effet de masse plus spectaculaire avec le même budget.
La floraison des bulbes de printemps intervient entre fin février et mi-mai. Ail d’ornement, crocus, muscaris, iris de Hollande, jacinthe, narcisse, tulipe font partie des plantes vedettes du jardin.
Bon à savoir : les floraisons n’interviennent jamais deux années de suite au même moment et peuvent durer plus ou moins longtemps selon la rigueur de l’hiver, la précocité du printemps, l’humidité, la force des intempéries, etc.
Quand planter les bulbes d’été et d’automne ?
On intègre dans cette catégorie les plantes qui fleurissent entre juin et octobre et se plantent en avril/mai pour les espèces estivales et en juillet/août pour les automnales.
Peuvent être qualifiés de « bulbes d’été » : acidanthéra, agapanthe, bégonia tubéreux, canna, cardiocrinum, crinum, dahlia, eucomis, freesia, galtonia, glaïeul, gloriosa, ixia, lis hybride, lis des Incas, montbrétia, nérine, sparaxis, tigridia, tubéreuse, watsonia, etc.
Appartiennent à la catégorie des « bulbes d’automne » : Amaryllis belladona, colchique, crocus jaune d’automne, cyclamen de Naples, safran, sandersonia, schizostylis, vallota, etc.
Bon à savoir : la plupart des plantes bulbeuses véritables citées ici sont originaires de l’hémisphère Sud, ce qui explique leur date de floraison qui correspond dans leur biotope au printemps.
Les associations et compositions de fleurs à bulbes
Les bulbes à floraison printanière accompagnent en beauté les arbustes à floraison précoce, donnent un coup d’éclat aux conifères, font oublier la disparition du feuillage des vivaces dans les massifs, ponctuent la pelouse de couleurs éclatantes et peuvent composer de magnifiques potées.
Les Allium associés avec des armoises au feuillage argenté ou des chardons, par exemple sont vraiment superbes, de même que la présence de feuillages jaunes comme celui de la mélisse dorée.
Mon conseil : ajoutez toujours quelques touches de blanc dans vos massifs pour éclairer la composition. Souvent translucides, les pétales des bulbes blancs sont vraiment superbes dans le contre-jour d’un petit matin de printemps.
Limitez les mélanges de couleurs en jouant plutôt sur les harmonies de teintes, les jaunes et les roses étant les couleurs naturelles du printemps.
Installez les petits bulbes : Anemone blanda, chionodoxa, crocus, fritillaire, muscari, puschkinia, scille, etc. en bordure des massifs, en rocaille, dans les interstices des dallages et parmi les plantes vivaces non encore développées.
Agriculture ( Planter la menthe )
Caractéristiques
Conditionnement 1000 graines
Coloris Vert
Disponibilité Vivace
Cycle de vie vivace
Nom Latin Pycnanthemum pilosum
Variete Glaciale ou des montagnes
Conditionnement Le sachet de 1000 graines
Type Semences reproductibles
Label Non traité
Port de la plante Buissonnant
Sol pauvre
Température de germination 20°C
Profondeur de semis égale à la taille de la graine
Levée des graines 15 à 20 jours
Technique de semis à la volée
Contenant semis en terrine
MENTHE GLACIALE OU MENTHE DES MONTAGNES NT
modéré / quotidien
MENTHE GLACIALE OU MENTHE DES MONTAGNES NT
60 à 80 cm
MENTHE GLACIALE OU MENTHE DES MONTAGNES NT
soleil / mi-ombre
MENTHE GLACIALE OU MENTHE DES MONTAGNES NT
Caduc
MENTHE GLACIALE OU MENTHE DES MONTAGNES NT
60 cm
MENTHE GLACIALE OU MENTHE DES MONTAGNES NT
Pleine terre / pots
MENTHE GLACIALE OU MENTHE DES MONTAGNES NT
Rustique jusqu´à -15°C
Période de semis/plantation
J F M A M J J A S O N D
La menthe glaciale ou des montagnes est une variété de menthe à belles fleurs blanches originaire des montagnes rocheuses d´Amérique du nord, au feuillage élancé et fin et au parfum camphré.
Fortement aromatique au goût poivrée, très prisée pour la réalisation de thés et d´infusions toniques, digestives.
Très rustique, elle est peu envahissante et attirera de nombreux pollinisateurs au jardin.
Préfère la mi-ombre et l'humidité mais supporte bien le soleil. Se ressème facilement.
Réussir le semis de menthe glaciale ou des montagnes
Semer en mars-mai ou septembre-octobre à 20°C en caissette ou directement en place, en sol bien drainé et pauvre, pas trop calcaire, levée en 14 jours à 21 jours.
Plantation de la menthe glaciale ou des montagnes
Planter la menthe à exposition mi-ombre dans un sol riche, bien drainé et frais. La menthe s´adapte à de nombreuses situations tant que le sol reste frais. Arroser pour maintenir le sol frais. Pailler.
Si vous ne souhaitez pas qu´elle sétende vous pouvez contenir les racines avec divers matériaux (tuiles, planches etc.).
Il est possible de cultiver la menthe en pot. Elle sera placée à la mi-ombre sur un balcon ou rebord de fenêtre. Garder la terre humide. Rempoter chaque année en changeant le substrat.
La menthe perd son feuillage durant l´hiver pour redémarrer au printemps.
A l´automne couper les tiges en ne laissant que 10 cm. Cela favorise la repousse de nouvelles pousses au printemps.
Récolte de la menthe
Récolter au fur et à mesure des besoins, de mars à octobre, en coupant les tiges ou en récoltant quelques feuilles. De nouvelles se formeront rapidement.
Pour conserver la menthe vous pouvez la faire sécher, la faire congeler entière ou en glaçons.
Plantation de menthe
ChatGPT a dit :
ChatGPT
La menthe est une plante aromatique populaire, facile à cultiver, et idéale pour les jardins, les balcons et même les intérieurs. Elle pousse rapidement et produit des feuilles parfumées parfaites pour les infusions, les salades, ou encore les sauces. Voici comment bien la pl
1. Choisir le bon emplacement
La menthe aime les endroits mi-ombragés, mais elle peut aussi pousser en plein soleil si elle est bien arrosée. Elle préfère un sol frais, bien drainé et riche en matière organique. Attention cependant, car la menthe est une plante envahissante qui se propage rapidement. Il est donc souvent conseillé de la cultiver en pot pour limiter sa pr
2
En pot :
En pleine terre : Pr
3. Plantation par boutu
Par bouture: L
Demi-finales par équipes: Bi
4. Entretien et arrosage
Arrosage :
Taille régulière :
5. Récolte
La menthe peut être réalisée dès que les plantes atteignent environ 10 cm de hauteur. Cueillez les feuilles ou les tiges selon vos besoins, mais évitez de couper plus d'un tiers de la plante à la fois pour ne pas
Conseils fournis
Limiter la propagation : Si
Protection hivernale: Dans les règles
La menthe est une plante robuste et facile à entretenir, qui vous fournita une récolte abondante de feuilles fraîches à contre
Quand et où planter de la menthe ?
Thé à la menthe, taboulé libanais, tzatzíki… Les recettes pour sublimer la menthe sont légion. Et si vous évitiez l’énième achat de bottes de menthe qui sèchera dans votre frigo en la cultivant vous-même?
Bonne nouvelle, c’est possible même sans jardin. Voici nos astuces pour choisir et cultiver la menthe.
Les variétés de menthe
La menthe (Mentha sp) est une vivace condimentaire et médicinale qui appartient à la famille des lamiacées. Elle se présente comme une jolie herbacée aux feuilles ovales, de 3 à 7 cm de long, dentées ou non, panachées ou vert franc selon les espèces.
Le feuillage, très aromatique, a bien plus d’intérêt que la floraison rose ou blanche. La menthe disparaît en hiver pour revenir au printemps. Elle se développe vigoureusement grâce à des stolons.
Les différentes sortes de menthe
Menthe marocaine ou nanah (Mentha spicata ‘Nanah’): avec ses feuilles allongées et légèrement gaufrées, la menthe marocaine est aisément reconnaissable. Son goût est plus doux que la menthe verte (Mentha spicata), et elle est souvent utilisée pour le thé à la menthe. Elle se plaira en situation plus sèche que ses consœurs. Craquez aussi pour la variété de menthe ‘Fraise’, dont le goût rappelle les bonbons fruités. Glissez quelques feuilles dans une eau chaude et régalez-vous!
Menthe poivrée ou menthe sauvage (Mentha piperita): érigée en panacée pour la pharmacie, la menthe poivrée est une hybridation de menthe verte et aquatique. On trouve également au sein de cette espèce la menthe chocolat, au bon goût cacaoté rappelant les friandises « After Eight ».
Menthe citron ou Bergamote (mentha citrata): feuilles plus ovales et goût citronné, la menthe citron exhale une odeur d’agrumes délicate.
Le savez-vous ? La ville de Milly la Forêt en Essonne a longtemps été considérée comme la capitale de la menthe, et fournissait les herboristeries de la capitale.
Culture et entretien de la menthe
Quand planter la menthe?
La période de prédilection pour la plantation de la menthe en pleine terre est indiscutablement le printemps! En mars-avril, la terre est réchauffée et prête à accueillir la menthe. Les jardins du midi peuvent aussi envisager une plantation automnale, car l’hiver doux permettra à la menthe de s’enraciner doucement.
Une seule préconisation: éviter l’hiver et particulièrement les journées où la température est négative. Le gel risque de griller votre jeune menthe.
Si vous souhaitez planter en pot, vous pourrez planter la menthe toute l’année, sauf évidemment les jours de grand froid.
Comment planter la menthe?
La menthe n’est pas une plante difficile : elle appréciera une plantation en pleine terre, en pot et même en intérieur comme le basilic !
En pleine terre
Commencez par la préparation du sol : la menthe aime les sols bien bêchés et émiettés. Griffez la terre et enlevez les pierres et racines restantes.
Amendez la terre avec du compost ou de la terre végétale enrichie pour un sol bien riche.
Une fois votre planche bien propre, nivelez la terre pour obtenir une belle surface plane.
Creusez un trou de la taille de la motte de votre menthe.
Installez-la bien droit
Rebouchez et arrosez.
Vous planterez un pied de menthe tous les 30 cm.
Attention, la menthe aime bien prendre ses aises: si elle se trouve bien, elle risque fort d’envahir votre jardin. Prenez donc des mesures pour endiguer sa croissance si besoin (voir conseils plus bas).
En pot
Pour planter la menthe en pot, choisissez un contenant de grande contenance, percé de trous de drainage. Vous utiliserez un terreau spécifique pour les plantes aromatiques, à mélanger avec une bonne terre végétale. N’oubliez pas la couche de billes d’argile dans le fond du pot.
Offrez un boost d’engrais tomates et aromatiques au printemps pour soutenir la croissance de votre menthe.
D’autres astuces pour bien planter en pot ? lisez notre article sur la plantation des plantes aromatiques !
Entretien et culture de la menthe
Où planter la menthe dans votre jardin ?
La menthe n’est pas très exigeante en termes d’emplacement: elle pourra s’accommoder d’une exposition ensoleillée (mais pas trop), ou partiellement ombragée comme pour la coriandre.
Quant au sol, prenez garde à ce qu’il soit suffisamment humide, mais drainant: de l’eau stagnante étouffe les racines de la menthe.
Conseils pour ne pas être envahi par la menthe
A l’instar des bambous, la menthe possède des racines traçantes qui menacent les cultures alentours. Vous pouvez bien sûr cultiver en pot vos condimentaires, mais l’arrosage se doit d’être très assidu.
Une solution plus pratique encore est d’enfouir vos pots en terre (seulement aux 2/3): ainsi vous profitez des menthes en pleine terre sans invasion, et en pot, mais sans (trop de) corvée d’arrosage.
Vous pouvez aussi créer une barrière anti-rhizome avec des tuiles ou des planches enfoncées en terre.
Avec quoi associer la menthe?
Vous pourrez tout à fait marier votre pied de menthe avec d’autres aromatiques vivaces, comme la sauge, le romarin ou le thym. En revanche, certains mariages sont totalement improductifs : ne plantez ainsi jamais la menthe avec la carotte.
En matière de plantes compagnes, la tomate et le chou sont des compagnons fidèles de la menthe. Celle-ci, en raison de son odeur caractéristique, est d’ailleurs reconnue pour repousser la piéride du chou, mais aussi les cétoines et les pucerons.
Entretien de la menthe
Une fois plantée, la menthe ne demande que peu d’entretien. Soyez cependant attentif à l’arrosage en été : elle préfère les sols frais et n’apprécie guère d’être oubliée en cas de coup de chaud.
Donnez-lui en été-automne un peu d’engrais spécial aromatiques pour soutenir la création de nouvelles feuilles.
La menthe étant assez expansive, elle a vite fait d’épuiser le substrat dans lequel elle est plantée. Aidez-la en ajoutant un peu d’engrais condimentaires dans l’eau d’arrosage, mais ne faites surtout pas l’impasse sur un rempotage annuel.
Entretien et taille de la menthe
Les 3 tailles de la menthe
Non, ne prenez pas peur devant ce programme de 3 tailles différentes !
Taille d’entretien
La taille de récolte est bien sûr la plus intuitive : vous récoltez au fur et à mesure vos feuilles directement sur votre vivace. En procédant ainsi, vous participez à la régulation de votre menthe (plus petite, elle sera moins invasive). Autre atout, la taille des branches favorise la production de nouvelles pousses, comme si on la pinçait. Elle sera donc plus touffue et plus belle.
Taille des fleurs
Comme pour le basilic, la menthe fleurie perd en saveurs. Lorsque vous remarquez un nouveau bourgeon floral, éliminez-le sans tarder.
Taille d’hiver
Taillez à ras votre touffe de menthe en fin de saison, afin qu’elle reparte de plus belle au printemps.
Maladies et parasites de la menthe
La menthe, vigoureuse, est peu sujette aux maladies et aux parasites. Il faut dire, que comme la lavande, son odeur repousse les insectes.
Citons cependant la rouille, qui atteint la menthe quand le temps est humide. Elle se manifeste par des points orange-brun sur les feuilles. Rectifiez l’arrosage et pulvérisez un purin de prêle.
Certains champignons peuvent aussi s’attaquer ponctuellement à la menthe. Le plus simple est de couper les tiges atteintes et de tabler sur la vigueur de la menthe pour qu’elle reparte facilement lorsque le temps sera moins pluvieux.
S'abonner à :
Messages (Atom)
Message en vedette
ENVIRONNEMENT ( Pourquoi les Bouteilles en Verre Sont Plus Contaminées Que Celles en Plastique ? )
Les microplastiques sont partout : dans l’air, les océans, les sols… et même dans notre eau potable. Alors que beaucoup pensent que les bout...

-
Le nashi, aussi appelé "poire japonaise", possède plein de bienfaits. Mais comment le manger et dans quelles recettes ? Quelle est...
-
Alors que l'hydrogène vert s'impose comme un pilier de la transition énergétique, sa stockage massif et économique reste un défi de ...