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octobre 30, 2024
Votre sante d'abord ( Une étude britannique montre que le vaccin contre le COVID-19 réduit le risque de complications cardiovasculaires )
Presque dès le début de la pandémie de COVID-19, la classe dirigeante a mené une campagne vigoureuse contre toute mesure qui, tout en luttant contre le virus, pourrait interférer avec sa capacité à accumuler des profits.
Les gouvernements du monde entier ont rapidement décidé d’adopter une stratégie basée uniquement sur la vaccination, abandonnant les autres mesures de santé publique. Cette stratégie a aujourd’hui été largement remplacée par une politique de «laisser-sévir» total, car même les vaccins deviennent plus difficiles d’accès pour les populations qui pouvaient même y prétendre en nombre significatif au départ.
Pour justifier cette politique destructrice, les informations sur le virus ont été dissimulées ou déformées et diverses affirmations pseudo-scientifiques ont été avancées pour minimiser la gravité de la maladie. Cela a créé un environnement fertile pour les conceptions rétrogrades anti-vaccin et les théories du complot, ouvertement soutenues par certaines des sections les plus dérangées de la classe dirigeante.
L’un des arguments les plus souvent avancés par les «anti- vaccins» est l’existence de quelques cas de personnes ayant développé des complications cardiovasculaires suite à la vaccination, dont un nombre infime a entraîné la mort tragique des personnes vaccinées. Ils soutiennent que la possibilité de telles complications justifie le rejet du vaccin, minimisant ou niant les bénéfices du vaccin dans la prévention du COVID-19, une maladie grave avec un taux de mortalité important et des conséquences à long terme très bien documentées qui altèrent la vie.
Une étude publiée dans la revue Nature Communications réfute cette affirmation en analysant l’incidence des complications cardiovasculaires sur une très large population d’individus vaccinés.
Une recherche menée par les universités de Cambridge, Bristol et Édimbourg, et rendue possible par le Centre de science des données de la British Heart Foundation (BHF) de Health Data Research UK, a analysé les dossiers médicaux anonymisés de 46 millions d'adultes en Angleterre entre le 8 décembre 2020 et le 23 janvier 2022.
Les scientifiques ont comparé l'incidence des maladies cardiovasculaires après la vaccination avec l'incidence avant ou sans vaccination, au cours des deux premières années du programme de vaccination. Ils ont spécifiquement évalué l'incidence des événements cardiovasculaires et thrombotiques après la première, la deuxième et les doses de rappel des vaccins contre le COVID-19 de décembre 2020 à janvier 2022. Les vaccins étudiés comprennent les vaccins à ARNm (BNT-162b2 de Pfizer et mRNA-1273 de Moderna) et le vaccin à base d'adénovirus ChAdOx1 (AstraZeneca).
L'étude a utilisé des modèles de régression de Cox pour calculer les rapports de risque ajustés (HRa), qui comparent le risque d'événements cardiovasculaires après la vaccination au risque avant ou en l'absence de vaccination. Pour toutes les doses et tous les types de vaccins, l'incidence des événements thrombotiques (par exemple, des caillots sanguins) était plus faible après la vaccination, tant pour les événements artériels que veineux. La réduction était déjà apparente après la première dose, avec un risque 10 pour cent plus faible d'événements thrombotiques artériels après l'administration de la première dose du vaccin Pfizer.
Une réduction encore plus importante des événements cardiovasculaires a été observée après la deuxième dose pour toutes les marques de vaccins. Par exemple, le risque d'événements thrombotiques artériels a été réduit de 27 pour cent après la deuxième dose du vaccin ChAdOx1 d'AstraZeneca. Les taux de risque anormaux d'événements thrombotiques artériels (HRA) pour d'autres pathologies comme l'embolie pulmonaire et la thrombose veineuse profonde ont également été réduits.
Des tendances similaires ont été observées pour les doses de rappel, qui ont permis de maintenir des taux d’événements plus faibles par rapport aux niveaux d’avant la vaccination. L’étude note que la réduction des événements cardiovasculaires était plus prononcée dans les semaines suivant immédiatement la vaccination.
Les vaccins à ARNm (Pfizer et Moderna) et le vaccin à base d'adénovirus d'AstraZeneca ont tous deux montré une réduction des événements artériels et veineux. Cependant, l'ampleur de la réduction du risque variait légèrement selon la marque et la dose, les vaccins à ARNm affichant des HRa légèrement inférieurs dans l'ensemble, en particulier après les doses de rappel.
Bien que les réductions soient restées évidentes jusqu’à 24 semaines après la vaccination, le degré de réduction a diminué au fil du temps.
Des recherches antérieures montraient que l’incidence de complications cardiovasculaires rares est plus élevée après l’administration de certains vaccins contre le COVID-19. Cette étude confirme ces résultats, mais elle n’a pas identifié de nouveaux effets indésirables cardiovasculaires associés à la vaccination contre le COVID-19 et offre une assurance supplémentaire que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques.
Ces complications rares se répartissent en deux catégories: la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (TTIV) avec le vaccin d'AstraZeneca, et la myocardite et la péricardite avec les vaccins à ARNm (Pfizer et Moderna).
La TTIV est une maladie rare caractérisée par des caillots sanguins accompagnés d'une faible numération plaquettaire. Elle peut entraîner de graves complications, comme la thrombose veineuse intracrânienne (TVIC), qui affecte les vaisseaux sanguins du cerveau. L'étude a révélé une incidence supérieure à la normale de TTIV après la première dose du vaccin d'AstraZeneca, le risque le plus élevé apparaissant dans les deux premières semaines suivant la vaccination.
Aucun risque accru de TTIV n’a été observé après la deuxième dose de ChAdOx1 ou après n’importe quelle dose de vaccins à ARNm, ce qui indique que le risque est principalement associé à la première dose du vaccin AstraZeneca.
La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque, tandis que la péricardite est une inflammation de la paroi qui entoure le cœur. Ces deux affections peuvent provoquer des douleurs thoraciques, de la fatigue et d’autres symptômes cardiaques, mais elles sont souvent bénignes et spontanément résolutives. Le risque élevé de myocardite et de péricardite était le plus élevé au cours de la première semaine suivant la vaccination pour les vaccins Pfizer et Moderna, le risque revenant généralement aux niveaux de base dans les quatre semaines suivant la vaccination.
Bien que des complications rares aient été associées aux vaccins contre le COVID-19, elles étaient principalement liées à la première dose et survenaient généralement dans les premières semaines suivant la vaccination. L’étude souligne que ces risques, bien que présents, sont compensés par les avantages protecteurs plus larges de la vaccination contre le COVID-19 et les risques cardiovasculaires qui y sont associés.
L'un des points forts de l'étude est le nombre important de personnes examinées, ce qui a permis aux chercheurs d'évaluer les effets des vaccins sur une grande variété de données démographiques et de sous-groupes cliniques, tels que l'âge, le sexe, l'origine ethnique et les antécédents médicaux. La réduction généralisée des événements thrombotiques a été observée dans tous les sous-groupes, ce qui renforce l'intérêt des vaccins dans la prévention des complications cardiovasculaires liées au COVID-19.
Les effets des vaccins ont été particulièrement efficaces chez les personnes âgées (plus de 40 ans), pour lesquelles le risque de complications rares comme la myocardite était nettement plus faible, tandis que les bénéfices en termes de réduction des événements cardiovasculaires étaient encore plus prononcés.
La co-auteure principale, la Dre Samantha Ip, chercheuse associée au Département de santé publique et de soins primaires de l'Université de Cambridge, a déclaré à Health Data Research UK: «Cette recherche confirme le grand nombre de preuves sur la sécurité du programme de vaccination contre le COVID-19, qui s'est avéré offrir une protection contre les formes graves du COVID-19 et a sauvé des millions de vies dans le monde.»
Le professeur William Whiteley, directeur associé du BHF Data Science Centre et professeur de neurologie et d'épidémiologie à l'université d'Édimbourg, a ajouté que l'étude «démontre que les avantages des deuxièmes doses et des doses de rappel, avec moins d'événements cardiovasculaires courants, notamment des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux après la vaccination, l'emportent sur les complications cardiovasculaires très rares ».
Les résultats montrent l’énorme potentiel des forces créatrices et productives de la société. Cependant, si les vaccins sont un outil important dans la lutte contre la pandémie, ils ne suffisent pas à eux seuls. Sans une politique d’élimination complète du virus par un régime complet de tests, de traçage et de quarantaine, un programme de vaccination n’est qu’un simple soin palliatif.
C'est ce que l'on peut observer actuellement avec la campagne de vaccination de rappel de l'automne au Royaume-Uni. Tout d'abord, la grande majorité des gens ne sont plus éligibles à un vaccin gratuit par le biais du National Health Service et doivent le payer elles-mêmes. Alors que le NHS propose des vaccins gratuits aux personnes âgées et cliniquement vulnérables, ceux qui sont disponibles ont été conçus pour le KP ou même pour des variants plus anciens du virus.
Le variant XEC, actuellement à l’origine d’une nouvelle vague d’infections, (article en anglais) devrait devenir dominant. On ne sait pas exactement quelle est l’efficacité des rappels actuels à son encontre, mais l’expérience montre qu’ils ne seront pas aussi efficaces que contre le variant pour lequel ils ont été conçus. La capacité du virus à muter pour contourner la protection conférée par les vaccins ou les infections antérieures est grandement facilitée par le fait que le COVID-19 a pu se propager sans entrave dans la société après la levée des principales mesures d’atténuation déjà à partir de mars 2022.
(Article paru en anglais le 28 octobre 2024)
Votre vie et sante d'abord ( Exercices de hockey sur glace pour débutants tardifs )
Se lancer dans la pratique du hockey sur glace à l'âge adulte ? Est-il seulement encore possible d'intégrer un club ? Felix Schmid, entraîneur de hockey sur glace des Vikings de Fribourg (en Allemagne), vous explique les conditions à remplir avant de se lancer pour la première fois dans le hockey sur glace et quels exercices de hockey sur glace conviennent aux joueurs amateurs et aux débutants.
Commencer à jouer au hockey sur glace à l'âge adulte ? Est-il encore possible de jouer dans un club ? Avec Felix Schmid, l'entraîneur de hockey sur glace des Vikings de Fribourg, nous vous expliquons les conditions sine qua non pour débuter en hockey sur glace et quels exercices de hockey sur glace conviennent aux joueurs amateurs et aux débutants.
Le hockey sur glace pour les débutants tardifs
Vous aimeriez bien jouer au hockey sur glace, mais pensez être trop vieux pour cela ? Même à l'âge adulte, l'apprentissage d'un nouveau sport ou la reprise tardive sont très sensées. Dans tous les cas, les débutants en hockey sur glace, comme ceux reprenant ce sport après une longue interruption, devraient être « chauds pour la glace », nous dit Felix Schmid, entraîneur de hockey sur glace des Vikings de Fribourg. Il précise également qu'un débutant « ne doit pas se laisser décourager par les premiers obstacles à franchir en entrant dans cette terre inconnue ». Si l'on veut sérieusement pratiquer le hockey sur glace en tant qu'amateur, « un sens de l'équilibre, de la maîtrise corporelle et de la robustesse sont également nécesaires
Portrait de Felix Schmid - Entraîneur de hockey sur glace des Vikings de Fribourg
Felix Schmid
Felix Schmid, entraîneur des Vikings de Fribourg
En plus de ses activités professionnelles en tant professeur de sport, de latin et de biologie, Felix Schmid est vice-président du club des Vikings de Fribourg, dont il entraîne l'équipe d'hockey sur glace amateurs. Il joue au hockey sur glace depuis l'âge de sept ans et a travaillé pendant 10 ans en tant qu'entraîneur de l'équipe jeunes espoirs du EHC de Fribourg.
Pendant cette période, il a voyagé dans toute l'Allemagne avec le EHC Fribourg pour les matchs de championnat et a également joué dans la sélection du Bade-Wurtemberg pendant deux ans. Après une pause dans le hockey sur glace pour se consacrer à la préparation de son baccalauréat, il a recommencé à jouer pendant ses études avec l'équipe universitaire de l'époque, les Vikings de Fribourg. Depuis 2015, les Vikings de Fribourg sont une association sportive déclarée.
Les Vikings de Fribourg
Dans l'équipe des Vikings, on retrouve tous les profils : cela va du joueur amateur pur à l'ancien joueur de l'Oberliga ou du Bayernliga en passant par les étudiants, tous jouants donc à des niveaux très différents.
L'équipe des Vikings de Fribourg regroupe des anciens professionnels, des amateurs et des étudiants.
Les grands débutants ne peuvent pas intégrer l'équipe des Vikings. Pour intégrer le clubs, « il faut être déjà capable de patiner et savoir maîtriser la crosse ».
Les conditions requises pour apprendre à jouer au hockey sur glace
La condition sine qua non pour jouer activement au hockey sur glace est de savoir patiner. Vous devriez pouvoir vous déplacer sur la glace en toute sécurité et maîtriser le freinage et l'accélération. Cela demande beaucoup d'entraînement, mais s'avère payant par la suite quand lorsque vous jourez un match de hockey sur glace ! La plupart des patinoires proposent des horaires d'ouverture quotidiens pour le patinage libre. Il est préférable de s'entraîner à patiner en patins de hockey. En ce qui concerne le choix de vos patins, ils ne doivent ni trop serrer, ni être trop grands.
Un conseil : à ce sujet, il faut savoir qu'il est préférable d'acheter des patins l'après-midi, lorsque le pied n'est pas trop fin (ce qui est le cas le matin) et pas trop gonflé (comme c'est le cas le soir).
Si vous n'avez jamais patiné ou si vous ne maîtrisez pas encore très bien les différentes techniques de base, des vidéos, comme celle de l'UCPA, vous aideront :
Les conseils d'un entraîneur pour les débutants tardifs
Pour Felix Schmid, il est tout à fait possible pour un débutant d'âge adulte de s'entraîner avec succès au hockey sur glace : « en suivant un entraînement approprié, un débutant tardif peut très bien acquérir de bonnes compétences techniques et tactiques et atteindre un certain niveau.»
Il souligne cependant aussi, le fait qu'un débutant d'âge avancé, qui commence tout juste à pratiquer ce sport, aura plus de difficultés à apprendre à lire le jeu, ce qui peut représenter un obstacle : « le hockey sur glace est le sport d'équipe le plus rapide au monde et sans un minimum de compréhension du jeu, un joueur n'arrivera pas à suivre. Il est donc essentiel d'avoir certaines connaissances préalables. La pratique du football est moins utile, mais à l'inverse les joueurs de handball et de basketball ont généralement de bonnes aptitudes ».
Pratiquer le hockey sur glace en loisir : y a-t-il un risque accru de blessure ?
Selon Felix Schmid, les joueurs loisirs ont un risque de blessure moins élevé que les joueurs professionnels : « dans le secteur du loisir, les joueurs jouent très souvent sans mise en échec intentionnelle, c'est-à-dire que les charges volontaires ne sont pas autorisées. Cela réduit considérablement le risque de blessure. Dans l'ensemble, cependant, le hockey sur glace n'est pas un sport qui génère un taux de blessures plus élevé que le handball ou le football, même chez les professionnels. »
Apprendre le hockey sur glace : exercices pour débutants tardifs
Les débutants et les joueurs amateurs qui souhaitent progresser peuvent faire des exercices de hockey sur glace non seulement pendant l'entraînement, mais aussi à la maison ou lors de séances privées sur la glace. Ici, le mot d'ordre est : la pratique ! Nous allons vous montrer comment.
Exercices de hockey sur glace pour l'entraînement de base
« D'un point de vue corporel, le hockey sur glace se base essentiellement sur trois aptitudes physiques : la force (pour les duels 1 contre 1 et le tir), l'endurance et la vitesse. Pour le gardien de but, la force joue un moindre rôle. C'est la mobilité qui est plus importante », nous explique Felix Schmid. Afin d'acquérir une base solide pour jouer au hockey sur glace, « l'entraînement de base le plus simple consiste à intégrer une séance de jogging dans son plan d'entraînement », ajoute l'entraîneur des Vikings.
Exercices de hockey sur glace pour la maison
Les débutants en hockey sur glace n'ont pas forcément la possibilité de se rendre facilement à la patinoire pour pouvoir s'entraîner par exemple en soirée. La saison et les heures d'ouverture des patinoires peuvent également constituer un obstacle. Le conseil de Felix Schmid : « Si la patinoire est fermée en été, le roller est une bonne alternative, même si les techniques sont parfois un peu différentes de celles du patinage (par exemple, lors du freinage), ces deux disciplines ont beaucoup de points communs (le démarrage, la prise de virages, les virages brusques, le maintien de l'équilibre...) »
Palet sur la glace et deux crosses
Pour améliorer sa technique de maniement du palet, il est tout à fait possible de s'entraîner chez soi avec une balle de tennis.
Qu'est-ce qu'un virage brusque ?
Lors d'un virage brusque, l'amorce du virage se fait avec les patins légèrement décalés : le patin situé à l'intérieur du virage est devant. Si vous prenez un virage à gauche, le pied gauche se trouve devant, le genou gauche est légèrement fléchi, vous patinez avec la partie extérieure de la lame du patin gauche, la partie intérieure de la lame du patin droit. Si vous tournez sur la droite, le pied droit doit être devant, genou droit fléchi, vous patinez avec la partie extérieure de la lame du patin droit, la partie intérieure de la lame du patin gauche. Les épaules sont tournées dans la direction que vous souhaitez prendre et le corps est légèrement incliné vers l'intérieur. Un exemple en images :
En plus de l'entraînement de votre techniques de patinage, vous pouvez réaliser « de nombreux exercices de maniement de la crosse et du palet sur la glace, mais aussi chez vous, en utilisant simplement une balle de tennis », nous explique Felix Schmid. Vous pouvez par exemple vous entraîner à la maison à ne pas regarder le palet pendant un déplacement, à utiliser la main supérieure du bâton comme main directrice ou à garder le palet en mouvement constant.
Vous pouvez, à côté du travail d'endurance, vous maintenir en forme pour le hockey sur glace grâce à la musculation. Les haltères et la musculation au poids du corps offrent une bonne base.
Annonce
1er exercice de musculation : flexions des genoux avec haltères courts
Mettez-vous debout et tenez-vous droit. Assurez-vous que vos pieds sont écartés de la largeur des hanches. Laissez pendre vos bras le long du corps avec un haltère dans chaque main. Vos paumes sont tournées vers l'intérieur. Maintenant, accroupissez-vous lentement, votre dos reste droit et vos cuisses horizontales. Ensuite, relevez-vous rapidement sur la pointe des pieds tout en relevant les épaules. Faites cet exercice en trois séries de 10 répétitions.
Si l'utilisation des haltères rend l'exercice trop difficile pour vous, entraînez-vous d'abord sans.
2ème exercice de musculation : fente avant et arrière
Pour réaliser une fente avant : tenez-vous debout, bien droit, les pieds écartés de la largeur des hanches. Placez vos mains derrière la tête.
Faites un grand pas en avant avec votre pied droit et fléchissez les deux jambes jusqu'à ce que votre cuisse droite soit horizontale. Revenez ensuite à la position de départ et répétez le mouvement avec la jambe gauche. La fente arrière fonctionne de la même manière, sauf que vous faites cette fois un pas en arrière. Pour commencer, deux séries de dix répétitions par jambe sont suffisantes.
Complétez votre entraînement avec des pompes, des tractions et de temps en temps du vélo, que ce soit à l'extérieur, ou sur un vélo d'appartement. Pour renforcer les muscles de votre dos, demandez conseils auprès d'un professionnel dans un centre de fitness.
Exercices de hockey à réaliser sur glace
Lors d'un entraînement sur glace « il y a deux choses qui doivent être maîtrisées et couplées dans le hockey sur glace : le patinage et la maîtrise de la crosse et du palet. » Felix Schmid conseille par conséquent de réaliser les exercices de hockey sur glace suivants :
le patinage : « patinez autour des cercles d'engagement dans les deux sens, en avant et en arrière et en intégrant des croisements. »
la conduite du palet : « dibbler le palet en position statique ou à la fin d'un mouvement, c'est-à-dire travailler le contrôle du palet, et en même temps - très important ! - ne jamais le fixer des yeux, mais regarder devant soi (tête haute). »
Si vous cherchez à tout donner sur la glace, vous pouvez aussi, après avoir pris de la vitesse, fléchir les genoux et vous redresser rapidement. En répétant régulièrement cet enchaînement de mouvements, vous entraînez votre force et votre endurance. Si votre technique de patinage est déjà très bonne, vous pouvez tenter des changements de direction rapides, mais cela induit aussi que vous soyez capable de prendre des virages serrés sans aucun problème.
Un conseil : si vous maîtrisez déjà bien la technique de patinage et la technique de conduite du palet avec la crosse, notre article consacré aux techniques de tir au hockey sur glace vous aidera à parfaire vos compétences en hockey sur glace.
La bonne pratique à suivre : 15 exercices à réaliser sur la glace
Nous avons regoupé pour vous quelques exercices appropriés pour une préparation optimale de vos entraînements. La condition préalable essentielle pour la réalisation de tous les exercices sur glace : vous maîtrisez de manière sûre toutes les techniques de patinage, que ce soit en patinage avant, comme en patinage arrière !
L'entraînement des débutants tardifs et des grands débutants devrait être découpé en différentes phases.
Phase 1 : exercices d'équilibre pour favoriser la stabilité sur patins du joueur
Phase 2 : maîtrise en équilibre de la crosse sur la glace
Phase 3 : changements de direction et utilisation de la crosse
Phase 4 : effectuer des virages brusques, des changements de direction et repousser l'adversaire.
Ce n'est qu'après cela, que pourra être abordé au sein du club de hockey, le travail sur les compétences au niveau du contact physique (mises en échec, corporelle ou charge avec la crosse).
Exercice n° 1 : l'arrêt brusque
Patinez en avant et stoppez de manière contrôlée à un endroit précis de la glace. Lors de cet exercice, pensez à varier votre vitesse de glisse. Faites la même chose, cette fois en patinage arrière. Une fois que vous maîtrisez bien cet exercice, alternez les directions (avant et arrière) et essayez de freiner sur une seule jambe. (Phase 1)
Exercice n° 2 : 'Hip Open' (ouverture des hanches)
Pour cet exercice, vous avez besoin de quatre palets et vous devez être capable de vous arrêter avec une seule jambe. Comme cet exercice est plus facile à expliquer avec des images qu'avec des mots, vous pouvez voir la séquence d'exercice dans la vidéo suivante. (Phase 3)
Exercice n° 3 : départ rapide
En départ arrêté, patinez rapidement vers l'avant. Si vous maîtrisez bien cet exercice, répétez le en marche arrière. (Phase 1)
Exercice n° 4 : la position accroupie
Accroupissez-vous le plus bas possible et gardez votre équilibre. Si cet exercice ne vous pose pas de problème, prenez votre crosse et tenez-la au-dessus de votre tête pendant la réalisation du mouvement. (Phase 1)
Exercice n° 5 : flexion-extension du genou
Debout sur la glace, et tout en maintenant votre équilibre, fléchissez lentement les genoux comme pour vous accroupir, puis remontez et étirez-vous complètement. (Phase 1)
Exercice n° 6 : le contrôle du palet
Sur la glace, conduisez le palet en réalisant des frappes plus ou moins longues et sans toucher la balustrade (ou bande). Essayez de détacher autant que possible votre regard du palet. Cet exercice vous permet de mieux estimer la portée du tir par rapport à votre puissance de frappe et d'ensuite mieux « placer » les palets pendant le jeu. (Phase 2 et 3)
Exercice n° 7 : le palet au corps
Cet exercice est aussi appelé « Toe Drag ». La tête relevée, conduisez le palet avec votre crosse en le rapprochant de votre corps. La main supérieure maintient fermement la crosse tandis que la main inférieure reste plus relâchée. (Phase 2 et 3)
Exercice n° 8 : contrôle du palet dans un espace restreint
Patinez rapidement en formant un petit cercle et conduisez le palet à l'intérieur du cercle dessiné. (Phase 3)
Exercice n° 9 : échange entre deux joueurs
Cet exercice ne fonctionne qu'en tandem. Les deux joueurs se déplacent sur la glace et se passent continuellement le palet, en patinant en avant comme en arrière. (Phase 3)
Exercice n° 10 : le tir
La technique et la puissance de tir sont particulièrement importantes pour marquer des buts. Vous trouverez toutes les informations et conseils utiles à ce sujet dans notre article consacré aux techniques de tir, lancer frappé & Co.
Les débutants tardifs peuvent acquérir de très bonnes bases pour une technique de tir propre avec les exercices suivants (phase 3) :
1. tirer dans une position statique en coup droit.
2. réceptionnez le palet qui vous sera transmis par un autre joueur (ou poussez vous-même le palet en amont) et tirez en coup droit tout en vous déplaçant sur la glace
3. réceptionnez la passe effectuée par un coéquipier avec le revers de votre crosse puis enchaînez sur un tir du palet en coup droit.
4. Prenez votre élan puis frappez le palet immobilisé sur la glace. Réalisez aussi cet exercice en direction de la cage.
Exercice n° 11 : le slalom
En patinage avant, déplacez-vous sur la glace en slalom, c'est à dire en patinant sur les arêtes intérieures et extérieures des lames de vos patins. Si cela fonctionne bien, répétez cet exercice en patinage arrière. (Phase 3 et 4)
Exercice n° 12 : patiner en courbe
Prenez votre élan et patinez sur une jambe en formant un « C » sur la glace, c'est à dire un demi-cercle. Changez de jambe. (Phase 1 et 4)
Exercice n° 13 : exercice de patinage
Partez en patinage avant, tout en contrôlant le palet et en incluant un départ croisé. Stoppez puis redémarrez. (Phase 2 et 4)
Exercice n° 14 : alternance avant-arrière
Alternez patinage avant et patinage arrière. Plus vite vous opérez le changement de direction, mieux c'est. (Phase 4)
Exercice n° 15 : déplacement
Cet exercice doit être réalisé à deux. Vous conduisez le palet, votre adversaire s'approche. Maintenant, essayez de passer devant votre adversaire. Lorsqu'il y a contact corporel, vous devez maintenir une certaine tension corporelle et prendre une position basse. La palette de votre crosse reste au contact de la glace et vous essayez de ramener vos genoux et votre épaule devant l'adversaire. Vous maintenez une pression sur votre pied extérieur et essayez en même temps de récupérer le palet. (Phase 4)
Quel poste dans une équipe est particulièrement adapté aux débutants ?
Apprendre à jouer au hockey sur glace en tant que débutant et amateur
Il explique pourquoi : « le hockey sur glace se joue avec 3 attaquants, 2 défenseurs et un gardien de but. Le fait qu'un débutant joue à un poste d'
de défenseur. De plus, les erreurs commises lors d'une attaque sont
moins susceptibles de provoquer des occasions de buts adverses. »
Si vous voulez éviter de faire trop d'erreurs pendant votre premier match, vous devez connaître les règles du hockey sur glace et vous entraîner de manière assidue. Nous espérons que nos conseils professionnels vous aiderons à vous entraîner de manière encore plus efficace.
Terrain de hockey sur glace avec lignes
Il y a six joueurs sur le terrain de hockey sur glace. Pour les débutants, une position avancée est particulièrement adaptée.
Votre entraînement porte ses fruits ?
Les débutants qui maîtrisent bien les bases du hockey sur glace sont à l'aise dans la position de base, ils sont capables de sauter avec les patins de se réceptionner sur la glace sans problème, ils conservent toujours leur crosse au sol et n'ont pas les yeux rivés sur le palet lorsqu'ils le conduisent. Si vous êtes arrivé à un niveau déjà un peu plus avancé, vous pouvez développer vos connaissances sur le rôle attribué au poste que vous occupez.
Enfin, un grand merci à Felix Schmid pour cette interview, ses conseils précieux et ses recommandations utiles en terme d'entraînement de hockey sur glace !
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Homme et vie ( Choix de carrières - Foreur )
En quoi consiste le métier de foreur ?
Le foreur peut travailler dans des environnements variés, des puits de pétrole aux travaux de fondation, de l’exploitation des ressources naturelles à la construction. Sa mission principale reste l’installation, l’utilisation et la maintenance des machines de forage.
Métier nécessitant des connaissances techniques comme une bonne condition physique, le foreur travaille sur des chantiers nécessaires pour la vie de tous les jours. Découvrez ce métier exercé au cœur du terrain.
Quel est le métier de foreur ?
Le métier de foreur consiste essentiellement à maîtriser les machines de forage, de leur installation à leur réparation en passant par leur maniement. Le foreur a en charge toutes les étapes de la réalisation du trou qui permettra d’atteindre des matières premières telles que le pétrole, le gaz ou l’eau, ou d’obtenir des informations essentielles en vue de la réalisation d’un chantier de génie civil. De nombreuses sous-missions font donc partie du métier de foreur : avant-trou, forage, carottage, gestion de l’étanchéité, injection de mortier et ciment, utilisation éventuelle de pompe… Le foreur doit maîtriser plusieurs types de machines, en particulier le compresseur, la foreuse et la machine à rotation. Il peut également effectuer des tirs de mines. C’est à lui que revient aussi le rôle de contrôleur. Débit, pression, vitesses et autres paramètres de l’installation doivent en effet être régulièrement vérifiés. Les installations sont réalisées sur la base de plans fournis par un bureau d’études en ingénierie. Il faut donc savoir les interpréter correctement.
Quel est le rôle du forage ?
Un forage consiste à creuser un trou afin d’atteindre une ressource ou de connaître l’état d’un milieu souterrain. Le forage a donc à la fois un rôle pratique et informatif. En fonction du milieu dans lequel un forage est construit et de la ressource recherchée, un forage peut servir à alimenter une maison ou un quartier en eau, à irriguer des cultures, à effectuer des prélèvements, à assurer un chauffage par géothermie, à surveiller la qualité des nappes phréatiques, à dépolluer… Le foreur peut donc être amené à intervenir pour des raisons économiques, écologiques, scientifiques, urbaines, et bien d’autres encore. Le forage est souvent associé à une pompe. Il a alors pour rôle de faire remonter à la surface la ressource souterraine pour permettre son exploitation. En effet, un forage ne constitue pas seulement le trou, mais il englobe une installation complète, comprenant le plus souvent margelles, centreur, tubage de protection, pompe, joint d’étanchéité…
Comment devenir drilleur ?
Le détail du parcours à suivre pour devenir foreur ou drilleur dépend largement du secteur visé. En effet, les machines, les normes de sécurité et de forage, ainsi que de nombreux autres critères varient en fonction du milieu dans lequel le forage est effectué ainsi que de son rôle. Une base en mécanique et en hydraulique est cependant commune. La formation pour devenir drilleur commence ainsi par un CAP ou un BTS dans ces domaines (conducteur d’engins, constructeur en béton armé du bâtiment, constructeur en canalisations de TP, géologie appliquée, travaux publics…). Ensuite vient le moment de se tourner vers des formations spécifiques à la conduite de machines de forage dans le respect des plans fournis. Il est important de noter qu’un diplôme supplémentaire est demandé aux drilleurs qui travaillent en milieu sous-marin : le brevet de plongée.
Agriculture ( Comment cultive-t-on les pommes de terre ? )
Comment faire pousser des pommes de terre Choisissez l'article Il existe plusieurs variétés de pommes de terre, et le choix de la bonne variété est la première étape vers le succès de la culture et sa productivité. En général, il convient de choisir une variété adaptée aux conditions de la zone dans laquelle elle doit être cultivée. en plus du fait que cette variété soit commercialisable, les variétés de pommes de terre diffèrent par de nombreuses caractéristiques, dont la plus importante est : le rendement que l'on peut obtenir après la commercialisation de la pomme de terre, qui dépend de la capacité de production de la variété, de la couleur de la pomme de terre. pomme de terre à l'extérieur et à l'intérieur, et sa capacité à résister aux maladies et aux ravageurs, en plus de la composition des glucides qu'elle contient, qui comprend à la fois l'amidon et le sucre, qui sont parmi les caractéristiques les plus importantes à prendre en compte lors du choix de la variété. , car la meilleure variété contient un pourcentage élevé d'amidon et un faible pourcentage de sucres. Comme le glucose et le fructose. [1] Une attention particulière est portée à l'amidon car il indique la présence de matière sèche et la densité des pommes de terre, car 60 à 80 % de la matière sèche est présente sous forme d'amidon. Les variétés qui ont une densité sont riches en amidon, et le pourcentage. La quantité d'amidon affecte la texture des pommes de terre et l'ampleur de leur consommation d'huile pendant la cuisson. Lors de la friture des pommes de terre, l'huile remplace l'eau dans les pommes de terre. Les variétés qui contiennent un pourcentage élevé de matière sèche et ont une plus grande densité absorbent l'huile à un rythme plus élevé. pourcentage inférieur à celui des variétés qui contiennent un faible pourcentage de matière sèche et ont une densité spécifique plus faible, de sorte que la nourriture est plus saine, et la relation entre la matière sèche du tubercule, la densité spécifique et l'utilisation optimale est indiquée dans le tableau suivant : [1] densité spécifique Matière sèche (%) Texture Utilisation optimale Moins de 1.060 (très faible) Moins de 16,2 Très humide Friture, salades, conserves. 1.060-1.069 (bas) 16.2-18.1 humide Friture, salades, ébullition, mise en conserve. 1.070-1.079 (moyenne) 18.2-20.2 cireux Faire bouillir, écraser, chips, mettre en conserve. 1.080-1.089 (élevé) 20.3-22.3 sec Pain, chips, congélation, certains articles peuvent se fissurer à la cuisson. Au-dessus de 1,089 (très élevé) Supérieur à 22,3 Très sec Le pain, les chips, se congèlent, se fissurent à l'ébullition. Une attention particulière est portée au pourcentage de sucres dans les pommes de terre, dont les plus importants sont le glucose et le fructose car ils affectent la couleur des pommes de terre après transformation. Les pommes de terre qui contiennent un pourcentage élevé de sucres brunissent lorsqu'elles sont frites, il est donc important de les choisir. pommes de terre à faible pourcentage de sucres afin de les utiliser comme frites ou sous forme de flocons, le pourcentage de sucres dans le tubercule est généralement de 3% de la matière sèche totale. [1] Il existe plusieurs variétés de pommes de terre avec des caractéristiques différentes, et parmi ces variétés figurent les suivantes : [2] Atahualpa : Ce type est originaire du Pérou et convient à la cuisson au four et à la friture. Nicola : Cette variété pousse aux Pays-Bas et est idéale pour la cuisson bouillie et convient à la salade. Russet Burbank : Il s'agit d'une pomme de terre américaine classique, adaptée à la cuisson au four et à la friture. Kipfler : Ce type est originaire d'Allemagne et convient à la salade. Maris Bard : Cette variété est originaire du Royaume-Uni et convient à la cuisson. Spunta : Une des variétés largement utilisées à la fois dans le Royaume d'Arabie Saoudite et dans les pays méditerranéens à l'exception de la Turquie. [3] Sélection de terrain Les pommes de terre ont besoin d'un climat froid pour pousser, mais dans les régions chaudes, elles peuvent être cultivées en hiver car elles ne tolèrent pas la chaleur, mais tolèrent plutôt de légers gels . [4] Les pommes de terre peuvent être cultivées dans différents types de sols, en particulier dans les endroits qui en dépendent. grâce à l’irrigation par aspersion et non à l’eau de pluie, il est possible de répondre aux besoins en eau du sol en quantité appropriée, quel que soit son type. [5] Parmi les types de sols dans lesquels les tubercules de pomme de terre peuvent être cultivés, on trouve les suivants : ] Sol organique : Ce sol est riche en matière organique qui contribue à produire des pommes de terre de haute qualité. Sol argileux : Ce sol nécessite une attention particulière pour le succès de la culture des pommes de terre, car il est nécessaire d'y faire une rotation des cultures et de ne pas planter un seul type de culture chaque année, en plus de choisir une période de l'année appropriée pour labourer le sol. et maintenir sa capacité de production. Sol sableux : Ce sol contient un faible pourcentage de matière organique, et en général, un sol sableux a une structure faible pour l'agriculture, mais si ce sol est irrigué de manière appropriée et avec une quantité d'eau suffisante, en plus de lui fournir suffisamment de matière organique , il devient capable de produire différents types de pommes de terre. Il est de haute qualité pour la cuisson, mais le sol sableux est généralement exposé à l'érosion due aux vents, car il s'agit d'un sol meuble, il est donc important de couvrir les cultures avec une couverture spéciale, et les grains de seigle peuvent également être plantés après la récolte pour réduire l'érosion . Un certain nombre de conditions doivent être remplies dans le sol pour une culture de pommes de terre réussie, qui sont les suivantes : [5] Le sol doit être d'une profondeur appropriée. Le sol doit être friable. Le sol doit avoir un bon drainage de l'eau. Le sol doit avoir une humidité élevée sans atteindre le stade de saturation. Le sol doit être bien ventilé afin qu'il puisse échanger des gaz avec l'atmosphère . L'un des gaz les plus importants dont la plante de pomme de terre a besoin pour sa croissance est l'oxygène gazeux, car il augmente la capacité des racines à absorber efficacement l'eau et les nutriments du sol. sol. Préparation du terrain Les pommes de terre peuvent être cultivées dans différents types de sols, avec la nécessité de fournir une humidité élevée et une bonne ventilation, en plus de fertiliser le sol avec une quantité appropriée d'engrais afin de lui fournir des matières organiques importantes pour la croissance des pommes de terre. également être constamment surveillé, en particulier dans les premiers stades de leur croissance, car la présence de tout obstacle à la croissance conduit à la production de tubercules de mauvaise qualité. [5] La terre doit être labourée au moment approprié de l'année, car cela contribue à améliorer les propriétés physiques du sol, ce qui aide les racines à croître et à se développer à des profondeurs appropriées afin qu'elles puissent absorber l'eau et les nutriments nécessaires à la croissance. débarrasse-t-il des mauvaises herbes nuisibles et contribue à l’intégration des matières organiques ; Tels que les engrais ou autres composés agricoles avec le sol afin d'augmenter sa fertilité, en plus de préparer la terre pour y planter des graines. D'autre part, un labour excessif détruit la structure du sol, en plus de consommer du carburant sans en bénéficier. processus de labour. Il faut également prêter attention à la nécessité de labourer la terre lorsqu'elle est sèche. Parce que le labour des terres humides augmente le risque de destruction et de désintégration de la structure du sol. [5] Il y a beaucoup de choses qui doivent être prises en considération lors du labourage de la terre, qui sont les suivantes : [5] La terre est d'abord labourée à l'aide d'un ciseau à charrue. Labourer la terre à l’automne contribue à augmenter la température du sol au printemps, offrant ainsi la possibilité de planter tôt. Les processus de gel et de dégel qui se produisent en hiver aident à briser la poussière accumulée et à tirer ainsi le meilleur parti du processus de travail du sol. Le labourage des terres en pente au printemps contribue à réduire l'érosion du sol, qui lui fait perdre sa couche superficielle, ce qui affecte négativement la culture de la pomme de terre. L'érosion peut être combattue en recouvrant les pommes de terre d'une culture de couverture à l'automne et en utilisant des variétés pures de semences. Le paillage du sol à l'automne aide à préparer le sol, à condition qu'il y ait suffisamment de temps et de travail. Le sol est préparé en le labourant, en l'irriguant et en l'aspergeant d'engrais, en plus de préparer les endroits désignés pour planter les graines au printemps suivant. Si les lieux désignés pour planter les graines n'ont pas été préparés à l'avance au printemps, il est important de les réaliser après le labourage de la terre. Si les engrais ne sont pas appliqués avant le printemps, ils peuvent être appliqués après ou immédiatement avant la plantation. Des équipements spéciaux sont placés entre les rangées de graines, comme des bassines, pour empêcher l'eau de s'écouler entre les rangées. Pour contribuer à distribuer régulièrement l’eau d’irrigation et à ne pas la gaspiller. Agriculture Le nombre de saisons pendant lesquelles les pommes de terre peuvent être cultivées varie selon les régions. Chaque région est caractérisée par un nombre de saisons différent de celui des autres régions, et le tableau suivant montre le nombre de saisons dans certains pays : [3] Nom du pays Nombre de saisons Turquie 1-2 Syrie 3 Liban 3 Jordanie 2 Egypte 2-3 Royaume d'Arabie Saoudite 2 Soudan 1 Kenya 2 Tunisie 3-4 Algérie 3 Maroc 4 Afrique du Sud Toutes les périodes de l'année. Vous devez vous assurer de choisir de bons types de graines avant de commencer la plantation. En effet, le processus de culture des pommes de terre est considéré comme quelque peu coûteux et le poids d'une graine doit être compris entre 42,5 et 56,7 grammes. Les graines qui pèsent moins de 42,5 grammes produisent souvent un rendement inférieur. [6] Après avoir sélectionné les graines, ce qui suit. les étapes sont suivies : [6] Coupez les graines avant de les planter et attendez qu'elles guérissent, puis plantez-les. Cependant, s'il n'y a pas assez de temps ou d'espace pour stocker les graines coupées jusqu'à ce qu'elles guérissent, il est parfois possible d'utiliser des fongicides. traitez les plantons afin qu'ils guérissent plus rapidement si ces graines sont conservées avant trois jours ou plus après la plantation. Plantez les graines à environ 10 cm de profondeur sous le sol. Possibilité d'appliquer des engrais et des pesticides en même temps. Laissez une distance d'environ 91 cm entre les rangées de graines. Placez de la terre sur les rangées de graines au début de la plantation, et lorsque les tubercules commencent à se former, de la terre est ajoutée sur une hauteur d'environ 15 cm. Cette hauteur peut varier en fonction des types de graines utilisées. [6] Après la levée des pousses . les tubercules se forment, ces tubercules sont exposés et deviennent verts en raison de leur exposition directe au soleil et deviennent ainsi non comestibles ; Par conséquent, il est important d’y ajouter de la terre pour le recouvrir et le protéger de la lumière directe du soleil. Notez que les pousses apparaissent environ 10 à 14 jours après la plantation, et cette période varie en fonction de la profondeur de plantation des graines. [7] Les mauvaises herbes et les mauvaises herbes qui poussent dans les champs de pommes de terre doivent être contrôlées, car elles rivalisent avec les pommes de terre en consommant de l'eau, de la lumière et des nutriments dans le sol, en plus des insectes qui s'y rassemblent et provoquent la transmission de maladies. Elles sont contrôlées par des systèmes spécifiques suivants. en agriculture ou en utilisant des herbicides, ou les deux, et lors de l'utilisation de l'insecticide, il faut s'assurer qu'il est destiné à la culture de pommes de terre, préciser les types de mauvaises herbes dont vous souhaitez vous débarrasser et suivre les instructions jointes au pesticide. le pesticide peut également être pulvérisé Utiliser un équipement spécial pour le pulvériser, ou en profitant des systèmes d’irrigation par aspersion. [6] Irrigation Les cultures de pommes de terre ont besoin d'une irrigation constante et, en général, la culture de pommes de terre, qui a besoin de 120 à 150 jours pour pousser, nécessite une quantité d'eau comprise entre 500 et 700 millilitres, et la production agricole peut diminuer en raison de l'épuisement de 50 % du total. l'eau disponible dans le sol pendant la période de croissance, et en raison du déficit hydrique, on développe aujourd'hui des types de graines avec de longues racines pour résister à la sécheresse, car ces longues racines sont capables d'atteindre les sources d'eau dans le sol, ce qui Il réduit ses besoins en eau d'irrigation, afin que la culture puisse bénéficier de l'eau stockée dans les racines. Ce processus permet également d'augmenter la teneur en matière sèche des pommes de terre, ce qui contribue à accélérer leur maturité. [8] Un certain nombre de considérations doivent être prises en compte lors de l'irrigation des cultures de pommes de terre, qui sont les suivantes : [9] La capacité des variétés cultivées à répondre à l’irrigation varie. Les variétés avec peu de tubercules ont besoin de moins d’eau que les variétés avec de nombreux tubercules. Maintenir une humidité du sol suffisante, tout en étant conscient qu’une augmentation importante de l’humidité peut accroître les problèmes d’aération du sol. Irrigation peu fréquente avec de l'eau froide ; Il abaisse la température du sol de sorte qu'elle devienne inférieure à la valeur appropriée pour la formation des tubercules, qui se situe entre 15 et 18 degrés Celsius, ce qui affecte négativement la qualité de la récolte. La possibilité d'utiliser différents systèmes d'irrigation, en fonction de la disponibilité de l'eau. Dans les zones qui souffrent d'un manque d'eau ou qui contiennent des sols sableux qui ne peuvent pas retenir l'eau pendant de longues périodes, des systèmes d'irrigation goutte à goutte sont utilisés. Cependant, dans les zones où de grandes quantités d'eau sont disponibles. d'eau sont disponibles, il est possible d'utiliser des sillons adaptés. Ne pas laisser le sol susceptible de se dessécher. Il est nécessaire que le taux de séchage n'atteigne pas 65% de la capacité du champ, mais cela est impossible à réaliser dans un sol sableux car il ne retient pas l'eau. [6] Récolte La récolte de pommes de terre est traditionnellement récoltée à la fin de la saison, surtout lorsque la température baisse . Lors de la récolte de la pomme de terre, un certain nombre de choses sont suivies, qui sont les suivantes : [10] Récoltez la récolte sept jours avant la date de récolte si la température baisse et que la culture est exposée à des vagues de gel répétées. Utilisez des outils spécialisés pour aider à retirer les pommes de terre sans les endommager. Extrême prudence lors de la manipulation des pommes de terre pour éviter les meurtrissures. Conservez les pommes de terre saines et sûres et évitez de conserver les pommes de terre endommagées ou malades. Conserver les pommes de terre dans un endroit sombre, frais et humide. Les conditions idéales pour conserver les pommes de terre sont une température de 3,3 degrés Celsius et une humidité allant jusqu'à 95 %. Cependant, en raison de la difficulté de garantir ces conditions, les pommes de terre peuvent être conservées dans un endroit sombre, frais et humide. un sous-sol. Les ravageurs les plus importants qui affectent les cultures de pommes de terre Teigne des tubercules de pomme de terre La teigne des tubercules de la pomme de terre (en anglais : Potato tuber moth) est l' insecte le plus répandu dans le monde. On la trouve en Afrique du Nord, dans certaines parties de l'Asie, de l'Europe, de l'Océanie et des Amériques. Cet insecte attaque les cultures de pommes de terre. , laissant des cloques transparentes dans les feuilles dues à l'absorption de... Les minéraux en sont extraits par les larves, puis les cloques se déplacent vers la tige, provoquant la mort de la plante. Les tubercules peuvent également être déformés par les larves qui les atteignent. en couver des œufs répartis sur les feuilles, ou en tombant sur le sol et en creusant des fissures dans le sol à travers lesquelles elles atteignent les tubercules, ou en pondant des œufs directement sur ou à proximité des tubercules exposés. Lorsque ces œufs éclosent et se transforment en larves. creusez des tunnels à l’intérieur des tubercules qui constituent des points d’entrée pour plusieurs maladies, comme la pourriture. [11] La tordeuse des tubercules de la pomme de terre peut être prévenue en suivant les instructions suivantes : [11] Évitez de planter des graines ou des tubercules infestés par l’acarien des tubercules de pomme de terre. Plantez les tubercules à une profondeur appropriée, en les recouvrant de terre et en évitant de les laisser exposés. Évitez de planter dans des zones qui ont souffert de l'érosion du sol au cours des saisons précédentes, car l'érosion laissera les tubercules exposés, offrant ainsi à la teigne des tubercules de la pomme de terre la possibilité d'y pondre ses œufs. S'assurer que le sol profond est exempt de fissures résultant de diverses pratiques agricoles, comme l'irrigation, afin d'empêcher la teigne des tubercules de la pomme de terre de pondre ses œufs sur les tubercules. Irriguez la culture par petites quantités à la fois pour éviter la désintégration du sol et récoltez les tubercules dès que la croûte se forme. Évitez de laisser les tubercules de pomme de terre dans les conteneurs jusqu'au lendemain matin, en plus d'éviter de creuser le sol autour des tubercules et de les laisser jusqu'au lendemain pour que les tubercules soient collectés et stockés, car la teigne femelle des tubercules de pomme de terre est plus active dans la ponte. œufs le soir. N'utilisez pas de couvertures pour les plantes, car les vers s'en éloigneront dès qu'ils se faneront vers les tubercules. La nécessité de se débarrasser du bétail demeure. N'utilisez pas de tubercules d'origine inconnue. L'utilisation d'insecticides destinés à la teigne des tubercules de pomme de terre. Certains de ces pesticides peuvent être utilisés en début de saison, et certains sont utilisés à la fin de la saison, lorsque les tubercules sont mûrs. la teigne des tubercules est un adulte ou ses larves sont présentes dans les tissus des feuilles, et certaines sont utilisées lorsque la teigne des tubercules est adulte et ses larves ne se trouvent pas dans les tissus des feuilles. Il existe également des espèces désignées pour les jardins intérieurs. . Ver-gris Le ver-gris est répandu partout dans le monde. On le trouve en Europe, au Canada, aux États-Unis, au Japon, en Afrique du Sud, en Amérique du Sud et en Nouvelle-Zélande. Cet insecte se nourrit de semis situés à la surface du sol et possède le. capacité à entraîner les plantes jusqu'à leurs terriers. Le ver est également présent dans les racines, il se nourrit donc des racines ou de la tige inférieure, causant beaucoup de dégâts le soir, [12] mais pendant la journée il reste dans ses abris souterrains. , et dans les premier et deuxième stades de son alimentation, il commence à se nourrir des feuilles des arbres, et souvent ces vers en grand nombre, ce qui rend difficile leur élimination. Leur emplacement dans le sol ou sous les feuilles des arbres peut empêcher l'utilisation d'insecticides. de les atteindre, sans compter que les vers adultes deviennent plus résistants aux insecticides. [12] Un certain nombre d'étapes doivent être suivies pour prévenir les vers-gris, qui sont les suivantes : [12] Assurez-vous qu'il n'y a pas de vers dans les zones à planter avant de commencer le processus de plantation, car les zones qui ont déjà été exposées à la propagation des vers sont souvent plus sensibles à l'infection que les autres. Se débarrasser des mauvaises herbes, des mauvaises herbes et des résidus de cultures qui ont été enlevés ; Parce qu’ils sont considérés comme de bons endroits pour la propagation des vers. Surveillez continuellement la culture et assurez-vous qu'il n'y a pas de plantes partiellement ou complètement fanées, elles sont enlevées et creusées autour de leur base, puis le sol est tamisé pour éliminer les larves. ou à l'aube. Labourer le sol à une profondeur permettant aux larves d'émerger à la surface de la terre pour être éliminées par la lumière du soleil ou par les animaux qui s'en nourrissent. Utilisez des pulvérisateurs à grand volume pour pulvériser des insecticides, en les dirigeant directement sur les rangées de plantes et en vous assurant que les pesticides atteignent l'eau qui coule sur le sol. Choisissez le moment approprié pour pulvériser l'insecticide, par exemple pendant que les larves se nourrissent des feuilles de la plante ou lorsqu'elles sont à la surface du sol. Appliquer un vaccin contre les larves mélangé à des insecticides avant la levée de la culture. Cicadelle de la pomme de terre La cicadelle de la pomme de terre est de forme longitudinale et est vert vif ou vert jaunâtre. Des taches blanches sont réparties sur la tête et la cage thoracique de l'insecte. Elle possède également deux ailes vertes transparentes. Les larves ressemblent à l'insecte adulte, mais de plus petite taille et sans ailes. . Cet insecte ronge l'extrémité des feuilles des plantes et se nourrit directement de leur sève, ce qui entraîne leur chute. Les symptômes de l'infection de la pomme de terre par cet insecte commencent par l'apparition d'un jaunissement avec une légère boiterie au niveau du site de nécrose, puis il vire au brun. et se développe jusqu'à ce que toutes les feuilles meurent ou sèchent, ce qui affecte la destruction de la récolte entière, [13] et cela peut être évité grâce à une surveillance continue des feuilles et au traitement de celles infectées. que certains types d'insecticides tuent également les feuilles, ils doivent donc être évités. [13] Les maladies les plus importantes qui affectent les cultures de pommes de terre Maladies bactériennes Il existe de nombreuses maladies bactériennes qui affectent les cultures de pommes de terre, notamment les suivantes : [5] Flétrissement bactérien du sud : C'est l'une des maladies bactériennes qui affectent les tubercules ou la plante entière et est causée par un type de bactérie appelée « Ralstonia solanacearum ». Elle peut être contractée par l'utilisation de graines infectées ou par la plantation dans un sol dans lequel elles sont présentes. des bactéries sont présentes. On peut également la prévenir en évitant d’utiliser des semences infectées et en évitant de planter dans des champs infectés par des bactéries. Pourriture molle bactérienne : C'est l'une des maladies bactériennes qui affectent les tubercules et est causée par un type de bactérie appelée « Pectobacterium carotovorum var. carotovora ». Elle peut être contractée par l'utilisation de graines infectées ou par la plantation dans un sol dans lequel ces bactéries. sont présentes. Elle peut se propager par contact avec les tubercules, les graines et le sol, et peut être évitée en utilisant des pommes de terre lavées et séchées et en évitant les pommes de terre concassées. Maladie de la jambe noire (en anglais : Blackleg) : C'est l'une des maladies bactériennes qui affectent les tubercules ou les tiges et est causée par un type de bactérie appelée « Bacterium Pectobacterium carotovorum var. ou en plantant dans un sol dans lequel ces bactéries sont présentes. Cette maladie se propage également mécaniquement et par le biais de sols et de graines infectés. Elle peut être évitée en évitant l'utilisation de graines infectées, en utilisant des tubercules ne contenant pas de fissures et en les traitant s'ils sont présents. . Maladies fongiques Il existe de nombreuses maladies fongiques qui affectent les cultures de pommes de terre, notamment les suivantes : [5] Pourriture sèche : C'est l'une des maladies fongiques qui affectent les tubercules. Elle est causée par un type de champignon appelé « Fusarium spp ». Elle peut être contractée par l'utilisation de graines infectées ou par la plantation dans un sol dans lequel ces champignons sont présents. La maladie se propage à travers le sol et les tubercules infectés, et elle peut être évitée en étant prudent lors de la récolte, en évitant que les tubercules ne soient exposés aux fissures, en traitant les tubercules infectés avec des fongicides et en les stockant à basse température. Mildiou : C'est l'une des maladies fongiques qui affectent les tubercules et les racines et est causée par un type de champignon appelé « Alternaria solani ». Elle peut être contractée par la culture dans un sol dans lequel ces champignons sont présents ou dans des déchets végétaux et animaux. Cette maladie se propage par l'eau et l'air et peut être évitée en alternant les cultures, en pulvérisant des fongicides et en utilisant des variétés saines. Flétrissement fusarien (en anglais : Fusarium Wilt) : C'est l'une des maladies fongiques qui affectent les tubercules et les racines, et est causée par un type de champignon appelé « Fusarium solani var eumartii ». des champignons sont présents ou en utilisant des graines infectées, et cela peut être évité en alternant les cultures et en utilisant des variétés saines. Maladies virales Il existe de nombreuses maladies virales qui affectent les cultures de pommes de terre, notamment les suivantes : [5] Enroulement des feuilles : C'est l'une des maladies virales qui affectent les tubercules et les fleurs et est causée par un type de virus appelé virus de l'enroulement des feuilles de pomme de terre. Elle peut être infectée par l'utilisation de graines infectées et cette maladie se propage par les pucerons . peut également être évité en luttant contre les pucerons, en utilisant des variétés saines et résistantes aux maladies et en isolant les pommes de terre saines des pommes de terre malades. Mop-top : une des maladies virales qui affectent les tubercules et les fleurs et est causée par un type de virus appelé virus de la vadrouille de la pomme de terre. Elle peut également être contractée par l'utilisation de graines infectées, et cette maladie se propage par les graines. elle peut être évitée en alternant les cultures et en utilisant des variétés saines et résistantes aux maladies. Mosaïque : C'est l'une des maladies virales qui infectent les fleurs. Elle est causée par un type de virus appelé « Virus de la pomme de terre Y ». Elle peut être infectée par l'utilisation de graines infectées. Cette maladie se propage également par des graines ou par des méthodes mécaniques. et les pucerons. La prévention grâce à l'utilisation de variétés saines et résistantes aux maladies et la lutte contre les pucerons. pomme de terre La pomme de terre, qui porte le nom scientifique « Solanum tuberosum », est considérée comme l'une des cultures vivrières les plus importantes au monde. C'est une plante annuelle appartenant à la famille des Solanacées. L'origine de la pomme de terre remonte aux Andes péruviennes [14] du Sud. Amérique Il porte de nombreux noms, tels que pommes de terre blanches, pommes de terre espagnoles et pommes de terre irlandaises, [4] et il a de nombreuses utilisations, car il peut être consommé sous forme de grains entiers, coupé ou écrasé. comme farine, en plus d'être utilisée comme épaississant pour les sauces. Les pommes de terre sont considérées comme un aliment facile à manger, elles présentent également de nombreux avantages car elles contiennent de nombreux éléments nutritionnels, tels que : des vitamines ; Comme la vitamine C, la thiamine (vitamine B1) et la niacine (vitamine B3), en plus des protéines. [14] Le plant de pomme de terre se compose de plusieurs parties : une tige ramifiée et un groupe de feuilles de forme ovale à rectangulaire de tailles inégales. La longueur de ces feuilles varie de 10 à 30 cm, tandis que leur largeur varie de 5 à 15 cm. sont cultivés chaque année sous Terre où la profondeur de culture ne dépasse pas 25 cm, et il existe plusieurs types de tubercules de couleurs différentes. Comme le jaune, le rouge et le violet, lorsque ces tubercules commencent à pousser, ils produisent des fleurs blanches ou bleues, puis ces fleurs se transforment en fruits jaunes à verts. [4] Il existe de nombreux pays qui produisent des pommes de terre, et vous pouvez les identifier. cinq pays qui produisent le plus de pommes de terre pour l'année 2017 AD à travers le tableau suivant : [15] État Quantité de pommes de terre produites (tonnes) Chine 99 147 000 Inde 48 605 000 Fédération de Russie 29 589 976 Ukraine 22 208 220 USA 20 017 350 Vidéo Les pommes de terre à la mode des rois Vous pouvez regarder la vidéo suivante pour en savoir plus sur les pommes de terre à travers l’histoire :
Durée de culture de la pomme de terre La période dont un plant de pomme de terre a besoin pour mûrir varie entre 90 et 120 jours lorsqu'il est cultivé, selon le type de fruit, la date de plantation , la nature du sol et les taux d'irrigation des cultures de pomme de terre coïncident avec le stade de maturité. , alors que cette période peut être réduite à environ deux mois en cas de culture domestique. La première étape de la culture de la pomme de terre est celle au cours de laquelle les tubercules se forment, et elle dure entre 5 et 7 semaines. maintenir le sol extrêmement humide, et l'étape suivante, qui est la maturité des fruits, doit également maintenir une humidité du sol d'au moins 60 %, et en général, les signes de maturité des pommes de terre, que ce soit en tant que culture ou cultivées à la maison, sont la formation complète de la peau de la pomme de terre, la difficulté de l'enlever et la facilité de séparer le nouveau tubercule du fruit mère.
Agriculture ( Figuiers)
Figuiers : Plantation, taille et entretien
Connaître le figuier
Le figuier, appartenant à la famille des Moracées, est un arbre fruitier fascinant originaire d'Afghanistan et de Syrie. Pouvant atteindre jusqu'à 5 mètres de hauteur, il s'adapte parfaitement à nos régions si on lui offre une exposition adéquate et une protection en hiver. Rustique jusqu'à -15°C, il nécessite beaucoup de soleil et un emplacement abrité du vent pour s'épanouir.
En France, il est préférable d'opter pour des variétés bifères, car elles sont autofertiles et produisent deux récoltes de figues par an, contrairement aux variétés unifères qui n’en offrent qu’une. Les figues de la première récolte doivent être fécondées, tandis que celles de la seconde récolte ne l’exigent pas.
Nous vous proposons deux variétés bifères de figuiers :
- Le figuier Jaune goutte d'Or : il produit des figues rouges grenat en juin-juillet, puis à nouveau d'août à octobre. Idéal pour la culture en bac ou dans les petits espaces, il atteint une taille de 2,5 à 4 mètres.
- Le figuier Noir de Caromb : il offre des figues brun violet en juillet, puis en septembre-octobre. Lors de la seconde récolte, ses fruits très parfumés peuvent être séchés, ajoutant une dimension supplémentaire à votre récolte.
Baisse de prix
Figuier jaune Goutte d'Or
Disponible
Figuier jaune 'Goutte d'Or'
1 conditionnement disponible
À partir de
22,90 €
Voir le détail
Baisse de prix
Figuier violet 'Noire de Caromb'
Disponible
Figuier violet 'Noire de Caromb'
2 conditionnements disponibles
À partir de
22,90 €
Voir le détail
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Comment planter un figuier ?
Quand le planter ?
Le figuier se plante idéalement d'octobre à avril, en évitant les périodes de gel. Assurez-vous de respecter une distance minimale de 4 mètres entre chaque plant pour favoriser leur développement. Privilégiez une exposition sud ou sud-ouest, idéalement à l’abri d’un mur qui protège des vents froids.
Comment planter un figuier en bac ?
- Les figuiers s'épanouissent parfaitement en bac, mais préférez une variété adaptée à un plus petit développement.
- Optez pour un contenant d'au moins 50 cm de diamètre et de profondeur et installez le figuier dans un mélange composé de 1/3 de terre de jardin, 1/3 de terreau de plantation et 1/3 de sable pour un drainage optimal.
Planter un figuier en pleine terre :
- Creusez un trou d'au moins 50 cm de profondeur et de largeur.
- Retirez soigneusement les cailloux et les racines des mauvaises herbes.
- Ajoutez du fumier composté (1 à 2 pelletées) au fond du trou, en veillant à ce que les racines ne soient pas en contact direct avec le fumier. Intégrez également une poignée d'engrais spécial pour la reprise racinaire, en le mélangeant à la terre.
- Recoupez légèrement les extrémités des racines de votre figuier.
- Placez le figuier au centre du trou de plantation, en veillant à ce que le collet soit au niveau du sol.
- Comblez le trou, tassez légèrement et créez une cuvette autour de la base de l'arbre pour faciliter l'arrosage.
- Arrosez abondamment avec 10 à 15 litres d’eau pour favoriser l'enracinement initial.
- Terminez en taillant légèrement les rameaux à environ 20 cm de leur extrémité pour encourager une croissance saine.
Comment soigner et entretenir le figuier ?
Pour assurer la croissance et la fructification de votre figuier, suivez ces conseils pratiques :
Taille et Ramification : La taille est essentielle pour les jeunes figuiers afin de favoriser la ramification. Effectuez-la au début du printemps. En avril, pincez les jeunes rameaux en sectionnant l’extrémité des bourgeons avec l’ongle, ce qui stimulera une croissance vigoureuse.
Engrais et Nutrition : Apportez un engrais spécial fruitiers au printemps, et renouvelez l'application en juin-juillet pour soutenir le développement et la qualité des fruits.
Protection en Hiver : En hiver, protégez votre figuier en l'isolant avec un bon paillage autour de la base de l'arbre. Ajoutez également un voile d’hivernage dans les régions aux hivers rigoureux pour prévenir les dommages causés par le froid.
Le figuier est un arbre facile à cultiver, qui s’adapte à tout type de jardin. Voici tous nos conseils pour bien le planter.
La plantation
Pour planter un figuier, creusez tout d’abord un trou d’un volume d’environ 5 fois le volume de la motte.
Dans le cas de containers de petits volumes (de 2 à 5 litres), la dimension du trou doit être au moins égale à 40 cm x 40 cm x 40 cm. Si la terre est de mauvaise qualité, augmentez ces dimensions d’une vingtaine de cm.
Ensuite, griffez bien les bords du trou pour permettre un bon développement des racines.
Après avoir enlevé le conteneur, trempez la motte dans l’eau pendant une dizaine de minutes afin qu’elle s’humecte bien.
Si votre terre est de bonne qualité, utilisez-la telle quelle.
Si elle est trop caillouteuse, mélangez-la avec 30% de terreau.
Enfin, si elle est très argileuse, utilisez un mélange de 25% terreau, 25% sable de rivière grossier et 50% terre.
Vous pouvez rajouter un peu d’engrais à la plantation ou du compost. Ce dernier doit être parfaitement décomposé (plus aucune odeur).
Mettez en place la motte de telle sorte que la partie supérieure soit à environ 5 cm en dessous de la surface du sol. Puis, tassez bien la terre.
Si vous avez du compost bien décomposé, remplacez la terre de surface sur 5 cm de profondeur autour du pied par du compost. Faites une cuvette puis arrosez abondamment.
Si vous n’avez pas de compost, répandez un engrais standard en surface.
Bien arroser son figuier
Gérez l’arrosage de votre figuier en fonction des conditions atmosphériques (température, pluie, vent).
En général, en été, prévoyez deux arrosages très abondants par semaine, au moins la première année.
Un figuier qui a besoin d’eau a les tiges de ses feuilles qui font un angle de 90° (voire supérieur à 90°) avec la tige.
Le premier, voire les deux premiers hivers, si vous craignez des températures inférieures à -7°C, protégez le jeune plant.
Protéger son figuier
Buttez le pied avec de la terre sur une hauteur de 15 à 20 cms.
Puis, plantez 4 tuteurs (un peu plus haut que le figuier) et enroulez tout autour un voile d’hivernage qui ne doit pas toucher le bois. Cela permet de préserver une couche d’air isolante plus chaude.
Enfin, remplissez le volume autour du figuier avec des feuilles sèches ou de la paille et refermez l’extrémité.
CULTIVER SON FIGUIER
L’arrosage
Comme tous les arbres méditerranéens, le figuier peut survivre à la sécheresse sans arrosage, en particulier grâce à son système racinaire très développé. Néanmoins, en présence d’eau, il fructifiera abondamment et se développera beaucoup plus rapidement. Ne pas oublier le dicton « Le figuier aime avoir les pieds dans l’eau et la tête au soleil ». En été, dans le sud de la France, un voire deux arrosages abondants par semaine lui apporteront l’eau nécessaire à une croissance rapide et harmonieuse.
La récolte
Le principal intérêt de posséder un figuier est de pouvoir déguster les figues sur l’arbre, mûres à point, légèrement flétries. Compte tenu de la fructification très rapide du figuier, vous devrez, pour éviter la perte de fruits, réaliser au moins deux cueillettes par semaine.
La taille
Le figuier peut parfaitement se développer et produire des fruits sans taille. C’est toutefois un arbre qui supporte parfaitement la taille. Il est préférable de tailler à la fin de l’hiver, après les gros froids, toutes les branches à l’intérieur de l’arbre qui s’élèvent verticalement. Vous pouvez également raccourcir les branches périphériques, en les taillant au dessus d’un œil orienté vers l’extérieur de l’arbre. Pensez à mastiquer les plaies des grosses branches pour éviter l’apparition du chancre du figuier.
Les figues fleurs poussent sur le bois de l’année précédente, par conséquent, si vous possédez un figuier bifère, toutes les pousses que vous taillerez amputeront d’autant votre récolte de figues fleurs.
L’amendement et la fertilisation
Bien que le figuier soit très peu exigeant vis-à-vis de la nature du sol, il croîtra beaucoup plus rapidement s’il s’établit dans un sol riche en matières organiques. Si ce n’est pas le cas, il sera préférable d’enrichir votre sol avant la plantation, en enfouissant à une profondeur de 30 à 40 cms du fumier bien décomposé, des composts urbains, du marc de raisin. Cette pratique doit être préférée à l’apport de matière organique dans le trou de plantation qui ne ferait que légèrement retarder la carence future. Il conviendra ensuite d’apporter annuellement , sous forme d’engrais, de l’ordre de 100 kg/ha de N, 200 kg/ha de P2O5, 250 kg/ha de K2O, ce qui correspond à 1000 kg/ha d’engrais de type 10-20-25, soit pour un figuier de 2 mètres de diamètre (surface = 3,14 m2) une quantité de 315 grammes d’engrais de type 10-20-25.
Quelle est la différence entre une figue mâle et une figue femelle ?
Le figuier mâle et la figue femelle sont souvent un sujet de confusion pour les passionnés de jardinage. Pourtant, il est essentiel de connaître ces distinctions pour profiter pleinement du fruit délicieux de ce bel arbre méditerranéen. Cet article vous guide sur les principales différences entre ces deux types de figuiers et leur influence sur la production de fruits.
Differences dans la structure des fleurs
Pour reconnaître un figuier mâle ou femelle, il faut observer attentivement leurs fleurs. En effet, contrairement aux idées reçues, le figuier porte bien des fleurs. Toutefois, elles restent très discrètes et se développent à l’intérieur du fruit, appelé sycone. La principale différence réside donc dans la présence ou non d’un style allongé au niveau de la fleur.
Figuier mâle : aussi appelé caprifiguiers, leurs fleurs ont en majorité des organes mâles (étamines) et peu, voire pas de styles. Les fleurs n’ont généralement ni nectar, ni pollen attractif pour les insectes pollinisateurs comme le cynips blastophage.
Figuier femelle : quant à lui, possède des fleurs dotées d’un style allongé et de nectar précieux pour les insectes. En revanche, ils n’ont pas d’étamines, donc ne produisent pas de pollen.
Importance du processus de pollinisation
Le rôle principal du figuier mâle est d’assurer la fécondation des figuiers femelles grâce au processus complexe de la pollinisation. Cela permet aux figuiers femelles de donner des fruits comestibles. Voici comment cela fonctionne :
Un minuscule hyménoptère, le cynips blastophage, pond ses œufs dans le sycone du figuier mâle. Ce faisant, il transfère le pollen de l’arbre mâle sur les fleurs femelles à styles courts situées dans ce même fruit.
Les larves éclosent puis se nourrissent des tissus internes du sycone, qui constitue leur seule source de nourriture.
Arrivées à maturation, les adultes quittent le sycone mâle et volent vers les figues femelles. Ils y déposent quelques grains de pollen lors de leur passage, assurant ainsi la pollinisation des figuiers femelles et favorisant la production de nouveaux fruits.
Type de figue et compatibilité avec les variétés de figuiers
Lorsqu’il s’agit de sélectionner une variété de figuier pour votre jardin, il existe trois principales catégories :
Variétés unisexuées : elles portent des fleurs uniquement mâles ou femelles. Les figuiers mâles (caprifiguiers) appartiennent à cette catégorie, ne produisant que des sycones non comestibles avec une surabondance de fleurs mâles.
Variétés bisexuées autofertiles : ces figuiers possèdent des fleurs avec des étamines et styles courts sur le même arbre et sont capables de s’autoféconder sans nécessiter l’intervention du cynips blastophage.
Variétés bisexuées hétérofertiles : pour porter fruits, ils ont besoin d’un figuier mâle à proximité pour assurer la pollinisation car leurs fleurs n’ont ni étamines ni pollen susceptible d’assurer la fécondation de manière autonome.
figues
Taille et forme des fruits
Une autre différence notable concerne la taille et la forme des sycones :
Figuier mâle : les sycones mâles sont généralement plus petits et moins attractifs que ceux des figuiers femelles. Ils présentent souvent une forme irrégulière due à la présence des larves de cynips en leur sein.
Figuier femelle : les fruits sont généralement plus gros, ronds, charnus et juteux que ceux des caprifiguiers. La couche externe des sycones femelles est souvent plus épaisse afin de protéger leur précieux contenu : le nectar et les fleurs avec styles allongés.
Dégustation et utilisation culinaire des figues femelles
Les fruits du figuier femelle, une fois mûrs, se prêtent remarquablement bien à divers usages en cuisine :
Consommer frais ou séchés
Garnir tartes, confitures et chutneys
Agrémenter plats sucrés-salés pour relever viandes et poissons
Composer assortiment de fromages et noix pour apporter texture et goût
La présence d’un figuier mâle dans votre jardin peut également avoir des avantages pour la santé de votre figuier femelle. En agissant comme un point focal pour les insectes pollinisateurs, le figuier mâle peut favoriser une meilleure pollinisation des fleurs femelles et donc une production de fruits plus abondante. Ainsi, en veillant à avoir une combinaison équilibrée de figuiers mâles et femelles dans votre jardin, vous pouvez non seulement maximiser le rendement en fruits, mais aussi encourager un écosystème plus sain et plus dynamique.
Ainsi, connaître la différence entre une figue mâle et une figue femelle vous aidera non seulement à choisir le meilleur emplacement pour votre figuier, mais aussi à profiter pleinement de ses délicieux fruits !
5 choses à savoir absolument sur la figue, ce faux-fruit à la reproduction improbable
Douce et juteuse, la figue suscite autant l'intérêt des botanistes en raison de sa reproduction étonnante que celui des historiens pour les mythes qui la convoquent. Promis, GEO vous explique tout cela sans vous prendre le chou… ni vous rendre chèvre.
Baignés de soleil et abrités du vent, les figuiers font planer dans l'air une odeur de paradis… Bienvenue à la "Maison de la figue", ouverte en 2019. "Site remarquable du goût" dans le Gard, le village de caractère de Vézénobres attire les visiteurs tant pour son architecture témoignant de périodes clés de l'Histoire de France, que pour son verger conservatoire de deux hectares, planté il y a une vingtaine d'années.
Ici, poussent plus de mille figuiers représentant une centaine de variétés venues du monde entier. Figues fraîches et recettes cuisinées – confitures, tapenades, biscuits, sirops… – se dégustent respectivement en saison ou toute l'année, sur réservation. La visite est aussi l'occasion de découvrir à la fois la biologie étonnante et l'importance symbolique de ce fruit… qui n'en est pas un.
"Ceci n'est pas un fruit"
Fruit, la figue ? En cuisine, peut-être. Mais d'un point de vue botanique, c'est en réalité une "inflorescence" : elle est issue du développement de l'ovaire et du réceptacle des fleurs d'un arbre, ou plutôt d'un buisson appelé "figuier commun" (de son nom scientifique, Ficus carica).
Ainsi, avant de mûrir, la figue est "une coque avec des centaines de fleurs à l'intérieur", explique à GEO Alexandre Vannereux, guide conférencier pour l'agglomération d'Alès. La figue mûre, elle, renferme sous sa paroi protectrice une multitude de petits fruits : ce sont les "grains" qui craquent sous la dent.
La figue reste un produit très mystérieux. Alexandre Vannereux, guide-conférencier
Seuls les figuiers femelles donnent des figues comestibles (voir la reproduction de la figue), et il y a, selon les variétés, une ou deux récoltes par an. Si le figuier est un arbre "robuste" qui sait puiser l'eau efficacement grâce à ses racines très étendues, il n'est toutefois pas épargné par les maladies – la mouche du figuier (Silba adipata) peut ainsi provoquer de graves dégâts. D'où l'intérêt d'un verger conservatoire pour préserver les variétés existantes.
⋙ Comment sauver les plantes de l'extinction ? Leurs conditions limites de survie pourraient nous guider
La figue verte n'est pas une figue "pas mûre"
On recense environ 1500 variétés de figue dans le monde, principalement portées par des figuiers communs (Ficus carica) mais aussi par quelques-unes des 750 autres espèces du genre Ficus, lesquelles prennent la forme d'arbres, de lianes et d'arbustes. Parmi ces variétés, on trouve des figues "vertes, jaunes, brunes, grises, parmes ou violettes plus ou moins foncées", énumère la Maison de la figue de Vézénobres.
Environnement ( Les zones touchées par la sécheresse )
Les zones touchées par la sécheresse ont triplé de taille depuis les années 1980, selon une étude
La superficie des terres touchées par la sécheresse a triplé depuis les années 1980, révèle un nouveau rapport sur les effets du changement climatique.
Selon une analyse du Lancet Countdown on Health and Climate Change, 48 % de la surface terrestre de la planète a connu au moins un mois de sécheresse extrême l'année dernière, contre une moyenne de 15 % dans les années 1980.
Près d’un tiers de la planète – 30 % – a connu une sécheresse extrême pendant trois mois ou plus en 2023. Dans les années 1980, la moyenne était de 5 %.
La nouvelle étude offre certaines des données mondiales les plus récentes sur la sécheresse, soulignant à quel point elle s’accélère.
La superficie des terres touchées par la sécheresse a triplé depuis les années 1980, révèle un nouveau rapport sur les effets du changement climatique.
Selon une analyse du Lancet Countdown on Health and Climate Change, 48 % de la surface terrestre de la planète a connu au moins un mois de sécheresse extrême l'année dernière, contre une moyenne de 15 % dans les années 1980.
Près d’un tiers de la planète – 30 % – a connu une sécheresse extrême pendant trois mois ou plus en 2023. Dans les années 1980, la moyenne était de 5 %.
Au cours des dix dernières années, 61 % de la planète a connu une augmentation des précipitations extrêmes, par rapport à la moyenne de référence de la période 1961-1990.
Le lien entre sécheresses, inondations et réchauffement climatique est complexe. Les fortes chaleurs augmentent l’évaporation de l’eau du sol, ce qui rend les périodes sans pluie encore plus sèches.
Mais le changement climatique modifie également les régimes de précipitations. À mesure que les océans se réchauffent, davantage d’eau s’évapore dans l’atmosphère. L’air se réchauffe également, ce qui signifie qu’il peut retenir davantage d’humidité. Lorsque cette humidité se déplace sur terre ou se transforme en tempête, elle entraîne des pluies plus intenses.
Le rapport Countdown du Lancet révèle que les impacts du changement climatique sur la santé atteignent des niveaux records.
L’an dernier, la sécheresse a exposé 151 millions de personnes supplémentaires à l’insécurité alimentaire par rapport aux années 1990, ce qui a contribué à la malnutrition. Les décès liés à la chaleur chez les personnes de plus de 65 ans ont également augmenté de 167 % par rapport aux années 1990.
Parallèlement, la hausse des températures et l'augmentation des précipitations entraînent une augmentation des virus transmis par les moustiques. Les cas de dengue n'ont jamais été aussi nombreux et la dengue, le paludisme et le virus du Nil occidental se sont propagés dans des endroits où ils n'avaient jamais été détectés auparavant.
L’augmentation des tempêtes de poussière a exposé des millions de personnes supplémentaires à une pollution atmosphérique dangereuse.
« Le climat change rapidement », déclare Marina Romanello, directrice exécutive du Lancet Countdown.
« Nous sommes confrontés à des conditions auxquelles nous ne sommes pas habitués et pour lesquelles nos systèmes n'ont pas été conçus. »
Pour la série Life at 50 degrees, BBC World Service s'est rendu dans certaines des régions les plus chaudes du monde, où la demande en eau était déjà élevée. Nous avons constaté que la sécheresse et les précipitations extrêmes avaient encore réduit l'accès à l'eau.
Depuis 2020, une sécheresse agricole extrême et exceptionnelle frappe le nord-est de la Syrie et certaines parties de l’Irak.
Au cours des dernières années, Hasakah, une ville d’un million d’habitants, s’est retrouvée à court d’eau potable.
« Il y a vingt ans, l’eau coulait dans la rivière Khabor, mais cette rivière est à sec depuis de nombreuses années parce qu’il n’y a pas de pluie », explique Osman Gaddo, responsable des analyses de l’eau au sein de la régie des eaux de la ville de Hasakah. « Les gens n’ont pas accès à l’eau potable. »
Lorsqu'ils ne peuvent pas obtenir d'eau, les gens creusent leurs propres puits en creusant dans le sol, mais les eaux souterraines peuvent être polluées, ce qui rend les gens malades.
L'eau potable à Hasakah provient d'un système de puits situé à 25 kilomètres, mais ceux-ci s'assèchent eux aussi et le carburant nécessaire pour extraire l'eau se fait rare.
Les vêtements ne sont pas lavés et les familles ne peuvent pas donner un bain correctement à leurs enfants, ce qui entraîne des maladies de peau et des diarrhées très répandues.
« Les gens sont prêts à tuer leur voisin pour avoir de l’eau », a déclaré un habitant à la BBC. « Les gens ont soif tous les jours. »
Au Soudan du Sud, 77 % du pays a connu au moins un mois de sécheresse l’an dernier et la moitié du pays a connu une sécheresse extrême pendant au moins six mois. Dans le même temps, plus de 700 000 personnes ont été touchées par les inondations.
« La situation se détériore », explique Nyakuma, un ancien du village. « Quand nous allons dans l’eau, nous tombons malades. Et la nourriture que nous mangeons n’est pas assez nutritive ».
Nyakuma a attrapé le paludisme deux fois en quelques mois.
Sa famille a perdu tout son troupeau de bétail après les inondations de l’année dernière et survit désormais grâce à l’aide du gouvernement et à tout ce qu’elle peut trouver.
« Manger ça, c'est comme manger de la boue », dit Sunday, le mari de Nyakuma, alors qu'il cherche dans les eaux de crue des racines de nénuphars.
En cas de sécheresse, les rivières et les lacs s'assèchent et le sol est brûlé, ce qui signifie qu'il durcit et perd sa couverture végétale. En cas de fortes pluies, l'eau ne peut pas s'infiltrer dans le sol et ruisselle, provoquant des crues soudaines.
« Les plantes peuvent s’adapter à une sécheresse extrême, dans une certaine mesure, mais les inondations perturbent réellement leur physiologie », ajoute Romanello. « C’est vraiment mauvais pour la sécurité alimentaire et le secteur agricole. »
Si nous ne parvenons pas à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à empêcher la hausse de la température mondiale, nous pouvons nous attendre à davantage de sécheresse et à des pluies plus intenses. 2023 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée.
« Pour l’instant, nous sommes encore en mesure de nous adapter aux changements climatiques. Mais nous arriverons à un moment où nous atteindrons la limite de nos capacités. Nous verrons alors de nombreux impacts inévitables », explique Romanello.
« Plus nous laissons la température mondiale augmenter, plus les choses vont empirer ».
Votre vie et sante d'abord ( Une étude révèle le groupe sanguin qui a "le plus de risques de faire un AVC précoce" )
C’est dans la revue Neurology qu’une nouvelle étude a mis en évidence qu’un groupe sanguin a plus de risque d’être touché par un AVC que les autres groupes sanguins. Quel est-il ? Et de combien est le risque exactement ? On vous dit tout !
L’accident vasculaire cérébral (AVC) est une pathologie qui peut survenir de manière inattendue et qui a malheureusement des conséquences graves sur la santé. C’est pourquoi depuis des années, un grand nombre de chercheurs s’efforcent de comprendre les facteurs de risque qui peuvent influer comme l’âge, le mode de vie, et désormais… le groupe sanguin. Le groupe sanguin définit une catégorie d’individus, il en existe 4 (A, B, O, AB), déterminant le type de sang qui circule dans notre corps et qui pourrait nous être transfusé en cas d’urgence.
En effet, si le lien entre le groupe sanguin et le risque d’AVC est un domaine de recherche relativement récent, une récente étude a révélé que certains groupes sanguins peuvent être plus exposés au risque d’AVC (accident vasculaire cérébral) précoce, c’est-à-dire avant l’âge de 60 ans. Un constat qui a suscité l’intérêt du public et des professionnels de santé soulignant l’importance de considérer davantage le profil sanguin comme un élément influençant la santé cardiovasculaire. Mais alors que dit cette étude ? On vous dit tout !
Le groupe sanguin A mis en évidence
Ce sont des chercheurs de l’École de médecine de l’Université du Maryland aux États-Unis qui sont arrivés à trouver une corrélation entre groupe sanguin et risque d’AVC précoce. C’est en compilant près de 48 études différentes puis en analysant les profils génétiques d’un large échantillon de personnes, plus de 17 000, ayant été victime d’un AVC, mais aussi en regroupant les témoignages de 600 000 patients n’ayant jamais subi d’AVC que ces chercheurs ont obtenu ces résultats.
En comparant les variantes génétiques de chacun de ces profils, ils ont pu alors trouver un lien potentiel entre le groupe sanguin et le risque d’accident vasculaire cérébral. Selon les résultats de l’étude, les personnes ayant le groupe sanguin A, groupe sanguin le plus fréquent en France et dans le monde, sont davantage exposées au risque d’AVC précoce par rapport aux autres groupes sanguins. En effet, les chercheurs ont constaté qu’ils avaient un risque plus élevé de 16 % que les autres groupes d’être touchés par un AVC précoce c’est-à-dire avant l’âge de 60 ans.
Quelles sont les raisons potentielles de ce constat ?
Bien que l’AVC soit souvent associé au vieillissement, ces résultats montrent que les personnes de groupe sanguin A doivent être plus vigilants que les autres. En revanche, les personnes appartenant au groupe sanguin O ont un risque moins important de 12 % que les autres d’être victime d’un AVC précoce. Les rhésus quant à eux ne semblent pas avoir d’impact sur les résultats. Si l’enquête ne met pas en évidence les raisons claires qui peuvent être à l’origine de ces résultats, Steven Kittner, co-chercheur principal de l’étude et professeur de neurologie s’est exprimé à ce propos.
Nous ne savons toujours pas pourquoi le groupe sanguin A peut entraîner un risque plus élevé de faire un AVC précoce, mais cela a probablement quelque chose à voir avec les facteurs de coagulation sanguine comme les plaquettes et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins ainsi que d’autres protéines circulantes, qui jouent toutes un rôle dans la formation de caillots sanguins » affirme-t-il. En effet, d’autres études ont alors mis en évidence que les personnes du groupe sanguin A présentent une prédisposition à des troubles de coagulation notamment au développement de caillots sanguins dans les jambes, la thrombose veineuse profonde. Les chercheurs espèrent que ces informations permettront de sensibiliser les personnes concernées à surveiller leur santé vasculaire même s’ils tiennent à rappeler qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer.
Homme et vie ( Choix de carrières - Hydrogéologue )
En quoi consiste le métier d’hydrogéologue ?
Spécialiste des eaux souterraines, l’hydrogéologue aide à gérer les ressources en eau d’un point de vue tant quantitatif que qualitatif. Le métier est accessible après au moins cinq ans d’études avec un master ou un diplôme d’ingénieur.
Quelles études pour être hydrogéologue ?
Pour devenir hydrogéologue, il est possible de commencer après le bac avec un BTS en géologie appliquée ou dans les métiers de l’eau. Cependant, ce cursus oblige généralement à s’arrêter au métier de technicien, tandis que l’hydrogéologue est à la fois chercheur, conseiller, concepteur… Il est donc vivement recommandé de poursuivre avec un master dans les sciences de l’eau. Diverses options en fonction de chaque université permettent de se spécialiser vers l’hydrogéologie : hydroressources, hydrogéologie, ingénierie et géosciences de l’environnement… L’hydrogéologue commence en tant que technicien, et peut ensuite évoluer au poste d’ingénieur, puis à un poste d’encadrement. Souvent, l’hydrogéologue a tendance à se spécialiser par expérience dans des domaines spécifiques tels que la géophysique, la géochimie, l’hydraulique ou encore le forage.
Comment devenir hydrogéologue agréé ?
L’hydrogéologue agréé s’intéresse plus particulièrement aux eaux destinées à la consommation humaine. Il travaille donc dans le domaine de l’hygiène publique, et a pour principales missions d’effectuer des prélèvements et d’évaluer les risques de pollution des eaux souterraines. Il est choisi par le préfet, sur conseil d’un autre hydrogéologue agréé en charge de la coordination de projet. L’agrément est accordé par le préfet de région, qui consulte divers avis sur chaque candidat auprès des représentants d’organisations professionnelles et de collectivités. De leur côté, les candidats à l’agrément doivent monter un dossier de candidature comprenant de nombreuses informations sur leur expérience, leurs diplômes, leurs références personnels, les agréments déjà obtenus ou demandés… Les préfets de département reçoivent ces avis, et font une première sélection des candidats, dont ils transmettent la liste au préfet de région. C’est ce dernier qui associe ensuite un hydrogéologue agréé à chaque département. Un hydrogéologue ne peut être agréé dans plus de cinq départements d’une même région (sauf exception dans le cas de départements de régions différentes, mais limitrophes). Un hydrogéologue est agréé pour une période de cinq ans.
Quelles sont les missions d’un hydrogéologue ?
Les tâches de l’hydrogéologue sont variées. Sur le terrain, il effectue des observations et des prélèvements, il repère des nappes phréatiques, et il les analyse. Il identifie les nappes qui pourraient être exploitées pour la consommation d’eau, ainsi que les travaux nécessaires à leur exploitation et les mesures de sécurité à prendre. Il assure le suivi de chantier. Il évalue les risques de pollution liée aux activités humaines (industrie, agriculture, aménagements divers…) et établit les plans de décontamination. Il effectue des simulations informatiques sur les divers risques (pollution, inondation, affaissements du sol…).
⋙ En quoi consiste le métier de garde du littoral ?
Quels sont les métiers en rapport avec l’environnement ?
Le métier d’hydrogéologue est intimement lié à l’environnement et se développe pour faire face aux problématiques actuelles. Si l’hydrogéologue s’attache particulièrement à l’eau souterraine, il peut également se tourner vers d’autres éléments tels que l’air avec les métiers d’analyste de l’air, le son avec le métier d’acousticien de l’environnement ou du bâtiment… Le tourisme durable, les énergies vertes, le traitement de l’eau et des déchets, la gestion des risques ou encore l’hygiène comptent de nombreux métiers liés à l’environnement.
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